Désiré Tagro, directeur départemental adjoint du candidat Laurent Gbagbo à Issia et par ailleurs ministre de l’Intérieur, a expliqué, le week-end dernier, le sens de ses actions dans ledit département. C’était à la faveur de l’inauguration d’infrastructures scolaires à Zadihoa et de la journée de l’unité et de la solidarité à Lawa Balam (Saïoua).
A en croire Désiré Tagro, c’est pour régler les besoins d’urgence des populations en attendant le retour à la normalité qu’il est constamment sur le terrain. Et aussi pour prolonger les actes du Président de la République, SEM. Laurent Gbagbo, qui ne peut pas être partout à la fois. En outre, il compte ainsi entretenir la flamme du Fpi dont il est membre du secrétariat général. Cette démarche doit être perçue comme sa participation à la victoire sans bavure à la présidentielle du candidat Laurent Gbagbo: «Ce n’est ni un étalage de richesse, ni la recherche d’un poste, ni encore une guerre politique. Nous n’avons pas attendu d’être ministre pour poser des actes. Cela fait 24 ans que nous menons des actions. Nous continuerons donc de venir sur le terrain. En politique, c’est le terrain, rien que le terrain qui fait gagner», dira-t-il. Avant d’ajouter qu’il a, avec certains cadres, depuis 1990, contribué à l’implantation du Front populaire ivoirien à Issia et Saïoua. Et poursuivra sur cette lancée, quoiqu’il soit devenu ministre, principalement pour que la flamme du parti soit entretenue. Comme en 1990, dans la fraternité et la solidarité.
Désiré Tagro a soutenu que des artistes, ces derniers temps, prônent l’union. Mais «que faire si une main est tendue et que personne ne la saisit?» s’est-il interrogé. Pour lui, il faut qu’on parle à tout le monde. Il a insisté sur le fait que «nous sommes pour l’unité. Et la Côte d’Ivoire est préoccupée par la paix». Qui ne pourra être obtenue sans le redéploiement de l’Administration, des forces de défense et de sécurité et la réunification du pays.
Christian Dallet
Envoyé spécial à Saïoua
A en croire Désiré Tagro, c’est pour régler les besoins d’urgence des populations en attendant le retour à la normalité qu’il est constamment sur le terrain. Et aussi pour prolonger les actes du Président de la République, SEM. Laurent Gbagbo, qui ne peut pas être partout à la fois. En outre, il compte ainsi entretenir la flamme du Fpi dont il est membre du secrétariat général. Cette démarche doit être perçue comme sa participation à la victoire sans bavure à la présidentielle du candidat Laurent Gbagbo: «Ce n’est ni un étalage de richesse, ni la recherche d’un poste, ni encore une guerre politique. Nous n’avons pas attendu d’être ministre pour poser des actes. Cela fait 24 ans que nous menons des actions. Nous continuerons donc de venir sur le terrain. En politique, c’est le terrain, rien que le terrain qui fait gagner», dira-t-il. Avant d’ajouter qu’il a, avec certains cadres, depuis 1990, contribué à l’implantation du Front populaire ivoirien à Issia et Saïoua. Et poursuivra sur cette lancée, quoiqu’il soit devenu ministre, principalement pour que la flamme du parti soit entretenue. Comme en 1990, dans la fraternité et la solidarité.
Désiré Tagro a soutenu que des artistes, ces derniers temps, prônent l’union. Mais «que faire si une main est tendue et que personne ne la saisit?» s’est-il interrogé. Pour lui, il faut qu’on parle à tout le monde. Il a insisté sur le fait que «nous sommes pour l’unité. Et la Côte d’Ivoire est préoccupée par la paix». Qui ne pourra être obtenue sans le redéploiement de l’Administration, des forces de défense et de sécurité et la réunification du pays.
Christian Dallet
Envoyé spécial à Saïoua