Les antennes installées par les opérateurs de la téléphonie mobile ne constituent pas un danger pour la santé de la population ivoirienne. L’information a été donnée le vendredi 17 avril 2009 au cours d’une conférence de presse à Novotel Plateau par le président du Conseil d’administration de l’Union nationale des entreprises de Télécommunications (Unetel)..
Selon Loukou Kouassi Michel, Pca de l’Unetel, les informations données par certains journaux faisant état de décès dus aux rayons émis par les antennes installées par les entreprises de téléphonie mobile sont sans fondement. Il trouve cela ‘‘erroné” et ‘‘désordonné’’. Pour sa part, le directeur délégué de cette structure André Apété a brandi comme preuves, deux documents. L’un provenant de l’Organisation Mondiale de la Santé. Celui-ci stipule que ‘‘compte tenu des très faibles niveaux d’exposition et des résultats des travaux de recherche obtenus à ce jour, il n’existe aucun élément scientifique probant confirmant d’éventuels effets nocifs des stations de base et des réseaux sans fil pour la santé’’. L’autre document émane de l’Académie nationale de médecine en France. Celui-ci précise que les antennes des entreprises de téléphonie mobile ne présentent aucun danger. Au demeurant, le conférencier a dénoncé l’attitude du ministère de l’Environnement qui, au lieu de saisir l’autorité de régulation qui est l’Agence de Télécommunication de Côte d’Ivoire (ATCI) pour lui signifier que ces antennes constituent un danger, s’est répandu dans la presse pour accuser les entreprises de téléphonie mobile. «Nous absorbons plus de fréquences à partir des radios que des téléphonies. Pourquoi c’est nous qu’on convoque. C’est une discrimination dans la démarche’’, a déploré Loukou Kouassi Michel. Qui a fustigé le mutisme du ministère de la Santé face à cette situation. «Les rayons dégagés par le téléphone portable sont 100000 fois supérieur que ceux dégagés par les antennes», a-t-il fait remarquer. Une façon de dire que les portables sont plus ‘’ toxiques’’ que les antennes.
T.A.B
Selon Loukou Kouassi Michel, Pca de l’Unetel, les informations données par certains journaux faisant état de décès dus aux rayons émis par les antennes installées par les entreprises de téléphonie mobile sont sans fondement. Il trouve cela ‘‘erroné” et ‘‘désordonné’’. Pour sa part, le directeur délégué de cette structure André Apété a brandi comme preuves, deux documents. L’un provenant de l’Organisation Mondiale de la Santé. Celui-ci stipule que ‘‘compte tenu des très faibles niveaux d’exposition et des résultats des travaux de recherche obtenus à ce jour, il n’existe aucun élément scientifique probant confirmant d’éventuels effets nocifs des stations de base et des réseaux sans fil pour la santé’’. L’autre document émane de l’Académie nationale de médecine en France. Celui-ci précise que les antennes des entreprises de téléphonie mobile ne présentent aucun danger. Au demeurant, le conférencier a dénoncé l’attitude du ministère de l’Environnement qui, au lieu de saisir l’autorité de régulation qui est l’Agence de Télécommunication de Côte d’Ivoire (ATCI) pour lui signifier que ces antennes constituent un danger, s’est répandu dans la presse pour accuser les entreprises de téléphonie mobile. «Nous absorbons plus de fréquences à partir des radios que des téléphonies. Pourquoi c’est nous qu’on convoque. C’est une discrimination dans la démarche’’, a déploré Loukou Kouassi Michel. Qui a fustigé le mutisme du ministère de la Santé face à cette situation. «Les rayons dégagés par le téléphone portable sont 100000 fois supérieur que ceux dégagés par les antennes», a-t-il fait remarquer. Une façon de dire que les portables sont plus ‘’ toxiques’’ que les antennes.
T.A.B