Seul Trinité-et-Tobago, hôte de la réunion, a signé dimanche la déclaration finale du sommet des Amériques, plusieurs pays, dont le Venezuela, refusant de la parapher pour exiger la réintégration de Cuba dans l'Organisation des Etats américains (OEA). "Il n'y a pas eu d'unanimité, mais il y a eu consensus", a malgré tout affirmé le Premier ministre de Trinité-et-Tobago Patrick Manning lors de la cérémonie de clôture du sommet, qui a rassemblé 34 pays à Port-of-Spain. La déclaration finale fixe des objectifs non-contraignants aux pays de la région en termes de promotion des droits de l'Homme et de protection de l'environnement.
Plusieurs pays, dont le Venezuela, le Nicaragua et la Bolivie, ont refusé de la signer, exigeant que Cuba soit réintégré dans l'OEA, dont elle a été suspendue en 1962.
Patrick Manning a affirmé que plusieurs dirigeants l'avaient autorisé à signer la déclaration en leur nom, mais il n'a pas précisé leur nombre.
Une certaine désorganisation semble avoir entourer la fin de ce sommet ouvert vendredi, puisque la photographie de groupe de clôture n'a pas pu avoir lieu, plusieurs dirigeants n'étant pas présents à ce moment-là.
A P
Plusieurs pays, dont le Venezuela, le Nicaragua et la Bolivie, ont refusé de la signer, exigeant que Cuba soit réintégré dans l'OEA, dont elle a été suspendue en 1962.
Patrick Manning a affirmé que plusieurs dirigeants l'avaient autorisé à signer la déclaration en leur nom, mais il n'a pas précisé leur nombre.
Une certaine désorganisation semble avoir entourer la fin de ce sommet ouvert vendredi, puisque la photographie de groupe de clôture n'a pas pu avoir lieu, plusieurs dirigeants n'étant pas présents à ce moment-là.
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