La paix scellée samedi dernier entre les cadres FPI ouvre de bonnes perspectives pour le parti d’Affi N’Guessan à Soubré.
Miaka Ouretto, secrétaire général du Front populaire ivoirien (FPI) et Gogui Théophile, fédéral de Soubré, main dans la main, saluant leurs parents et camarades militants. C’est l’image forte de la cérémonie de réconciliation, pleine d’émotion qui a eu lieu, samedi dernier à Soubré. A quelques mois des consultations générales, le parti d’Affi N’Guessan peut se targuer d’avoir réussi un grand coup. Pour sûr, ce retour à l’unité constitue une victoire qui va repositionner le FPI dans la région de la Nawa, où les conflits de personnes et de leadership avaient fini par semer le doute dans l’esprit des militants. Ces derniers plus que jamais revigorés sont sortis de la place de l’indépendance (lieu de la cérémonie de réconciliation) avec la ferme conviction que leurs cadres sont résolument déterminés à travailler en parfaite harmonie et dans la fraternité retrouvée pour le triomphe de leur parti.
Cette conviction, ils la tiennent des paroles fortes que les ex-protagonistes se sont adressées et qui sonnent comme de véritable hymne à une paix durable.
Miaka Ouretto et Gogui Théophile, conscients de leurs responsabilités dans la conduite de leur région, ont fait le serment de mettre une croix sur le passé en prenant l’engagement de rester unis et solidaires. L’autre gage de la solidité et la sincérité de la paix qui vient d’être scellée réside dans la confession de Gogui Théophile. Le Directeur général de la SOGEPIE a reconnu honnêtement ses erreurs et demandé pardon à son frère aîné Miaka et à tous. (voir encadré).
Le secrétaire général du FPI, soulagé par le mea-culpa de son collaborateur et jeune frère, a en retour accepté de fermer la parenthèse. “La réconciliation est définitivement scellée”, a-t-il lancé.
La paix revenue entre ses principaux pions à Soubré, le FPI peut à présent être sûr d’asseoir définitivement de Soubré.
Sur la question, le président Pascal Affi N’Guessan qui a parrainé cette réconciliation a donné un mot d’ordre précis : “Soubré doit se mobiliser pour être à la pointe du combat pour la réélection du président Gbagbo au premier tour de la présidentielle”.
A en croire Miaka Ouretto, par ailleurs Directeur départemental de campagne du candidat Laurent Gbagbo à Soubré, le pari est gagné d’avance. “Gbagbo gagnera ici avec au moins 85% des voix”, rassure-t-il.
Comme on le constate, le vent de l’unité et de la solidarité qui souffle sur Soubré annonce des jours prometteurs pour le FPI.
J.D
Miaka Ouretto, secrétaire général du Front populaire ivoirien (FPI) et Gogui Théophile, fédéral de Soubré, main dans la main, saluant leurs parents et camarades militants. C’est l’image forte de la cérémonie de réconciliation, pleine d’émotion qui a eu lieu, samedi dernier à Soubré. A quelques mois des consultations générales, le parti d’Affi N’Guessan peut se targuer d’avoir réussi un grand coup. Pour sûr, ce retour à l’unité constitue une victoire qui va repositionner le FPI dans la région de la Nawa, où les conflits de personnes et de leadership avaient fini par semer le doute dans l’esprit des militants. Ces derniers plus que jamais revigorés sont sortis de la place de l’indépendance (lieu de la cérémonie de réconciliation) avec la ferme conviction que leurs cadres sont résolument déterminés à travailler en parfaite harmonie et dans la fraternité retrouvée pour le triomphe de leur parti.
Cette conviction, ils la tiennent des paroles fortes que les ex-protagonistes se sont adressées et qui sonnent comme de véritable hymne à une paix durable.
Miaka Ouretto et Gogui Théophile, conscients de leurs responsabilités dans la conduite de leur région, ont fait le serment de mettre une croix sur le passé en prenant l’engagement de rester unis et solidaires. L’autre gage de la solidité et la sincérité de la paix qui vient d’être scellée réside dans la confession de Gogui Théophile. Le Directeur général de la SOGEPIE a reconnu honnêtement ses erreurs et demandé pardon à son frère aîné Miaka et à tous. (voir encadré).
Le secrétaire général du FPI, soulagé par le mea-culpa de son collaborateur et jeune frère, a en retour accepté de fermer la parenthèse. “La réconciliation est définitivement scellée”, a-t-il lancé.
La paix revenue entre ses principaux pions à Soubré, le FPI peut à présent être sûr d’asseoir définitivement de Soubré.
Sur la question, le président Pascal Affi N’Guessan qui a parrainé cette réconciliation a donné un mot d’ordre précis : “Soubré doit se mobiliser pour être à la pointe du combat pour la réélection du président Gbagbo au premier tour de la présidentielle”.
A en croire Miaka Ouretto, par ailleurs Directeur départemental de campagne du candidat Laurent Gbagbo à Soubré, le pari est gagné d’avance. “Gbagbo gagnera ici avec au moins 85% des voix”, rassure-t-il.
Comme on le constate, le vent de l’unité et de la solidarité qui souffle sur Soubré annonce des jours prometteurs pour le FPI.
J.D
