Deux délégations venues de la sous-région visitent depuis mardi, le système de fonctionnement de ces structures dans l’arrière-pays.
Mme Clémence Fatoké, directrice de la promotion de la scolarisation au ministère des Enseignements maternel et primaire du Bénin, et les membres de sa délégation ont entendu dire que les cantines scolaires marchent bien en Côte d’Ivoire et ils ont, selon elle, été séduits par ce qu’ils ont vu.
Elle l’a signifié mardi dernier, au nom de tous au professeur Hortense Essis Tomé, directeur de cabinet représentant le ministre Bleu-Lainé en mission. Elle a surtout exprimé ses impressions après la visite de la cantine scolaire de Andé, village situé à Agou, dans la région d’Adzopé. Où la délégation était avec une autre venue de la Guinée Conakry, à l’initiative du Programme alimentaire mondial (Pam), dans le cadre d’une mission d’échange d’expériences et d’études… pour s’imprégner des réalités des cantines scolaires en Côte d’Ivoire. Les deux délégations ont pu voir comment à Andé un groupement de femmes, doté d’une plantation de manioc, d’une palmeraie, et faisant de l’aviculture, arrive à prendre en charge la cantine scolaire avec l’appui du Programme alimentaire mondial..
Hadja Passy Kourouma, directrice nationale adjointe de l’enseignement élémentaire de Guinée, a, elle, apprécié le choix de la Côte d’Ivoire. Car ce pays associe aux cantines scolaires les microprojets qui contribuent au développement durable : “Les femmes donnent à manger aux enfants, et tirent des bénéfices de leurs activités”. Ce qui contribue à la lutte contre la pauvreté. La représentante de la Guinée a salué l’engagement du directeur national des cantines scolaires, Mme Odette Lago Daléba, pour la vitalité qu’elle insuffle à cette activité des cantines scolaires. Mme Essis Tomé qui a accueilli les deux délégations au cabinet ministériel à l’issue de la visite de terrain a déclaré que pour le ministre de l’Education nationale, “les cantines scolaires sont essentielles dans la réduction du taux de déscolarisation et de la perdition scolaire”. Elle a par ailleurs remercié le Pam “le maître d’œuvre de l’alimentation scolaire qui, pendant la crise, est resté aux côtés de la Côte d’Ivoire pour donner à manger aux enfants qui allaient à l’école”.
Marie-Adèle Djidjé
Envoyée spéciale
Mme Clémence Fatoké, directrice de la promotion de la scolarisation au ministère des Enseignements maternel et primaire du Bénin, et les membres de sa délégation ont entendu dire que les cantines scolaires marchent bien en Côte d’Ivoire et ils ont, selon elle, été séduits par ce qu’ils ont vu.
Elle l’a signifié mardi dernier, au nom de tous au professeur Hortense Essis Tomé, directeur de cabinet représentant le ministre Bleu-Lainé en mission. Elle a surtout exprimé ses impressions après la visite de la cantine scolaire de Andé, village situé à Agou, dans la région d’Adzopé. Où la délégation était avec une autre venue de la Guinée Conakry, à l’initiative du Programme alimentaire mondial (Pam), dans le cadre d’une mission d’échange d’expériences et d’études… pour s’imprégner des réalités des cantines scolaires en Côte d’Ivoire. Les deux délégations ont pu voir comment à Andé un groupement de femmes, doté d’une plantation de manioc, d’une palmeraie, et faisant de l’aviculture, arrive à prendre en charge la cantine scolaire avec l’appui du Programme alimentaire mondial..
Hadja Passy Kourouma, directrice nationale adjointe de l’enseignement élémentaire de Guinée, a, elle, apprécié le choix de la Côte d’Ivoire. Car ce pays associe aux cantines scolaires les microprojets qui contribuent au développement durable : “Les femmes donnent à manger aux enfants, et tirent des bénéfices de leurs activités”. Ce qui contribue à la lutte contre la pauvreté. La représentante de la Guinée a salué l’engagement du directeur national des cantines scolaires, Mme Odette Lago Daléba, pour la vitalité qu’elle insuffle à cette activité des cantines scolaires. Mme Essis Tomé qui a accueilli les deux délégations au cabinet ministériel à l’issue de la visite de terrain a déclaré que pour le ministre de l’Education nationale, “les cantines scolaires sont essentielles dans la réduction du taux de déscolarisation et de la perdition scolaire”. Elle a par ailleurs remercié le Pam “le maître d’œuvre de l’alimentation scolaire qui, pendant la crise, est resté aux côtés de la Côte d’Ivoire pour donner à manger aux enfants qui allaient à l’école”.
Marie-Adèle Djidjé
Envoyée spéciale
