A l’initiative du Réseau d’action sur les armes légères en Afrique de l’ouest, section Côte d’Ivoire (Rasalao-ci), les maires, députés et présidents des Conseils généraux planchent sur le thème : «Mécanismes de lutte et de contrôle des armes légères et de petit calibre (Alpc)».
En acceptant de prendre part à cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre de la campagne nationale d’information et de sensibilisation sur les dangers de la prolifération et de l’utilisation abusive des armes légères et de petit calibre, les élus locaux prennent l’engagement de s’approprier le combat que mène le Rasalao. Mieux, le président de l’Association des Districts et Départements de Côte d’Ivoire (Addci), Jean-Claude Kouassi, président dudit séminaire, les y a conviés, après avoir fait remarquer que partout où sévissent les armes légères, elles ne sèment que mort et désolation.
Le député Akoun Laurent qui représentait le Président de l’Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, parrain, est allé droit au but : «Les élus doivent s’approprier cette campagne de sensibilisation».
Il a, auparavant, condamné les activités lugubres des marchands d’armes. Qui, selon lui, sont à la base de la prolifération des armes légères et de petit calibre.
Le Directeur- pays du Pnud, André Carvallo, a exprimé le soutien de son institution à ce combat on ne peut plus noble contre la prolifération des armes légères.
Quant à la présidente du Rasalao-ci, Michèle Pépé, elle a, encore une fois, insisté sur les objectifs que sa structure s’est assignés : le plaidoyer pour la signature du décret de ratification de la Convention de la Cedeao sur les armes légères par le Chef de l’Etat, la création et l’installation effective de la Commission nationale de lutte contre les Alpc et le soutien, par le gouvernement ivoirien, du Traité international sur les armes légères.
Plusieurs communications dont celle du Contrôleur général de la police Désiré Adjoussou sur la problématique de la prolifération et de la circulation illicite des Alpc en Côte d’Ivoire, ont constitué les temps forts de cette rencontre qui prend fin aujourd’hui.
Emmanuel Kouassi
En acceptant de prendre part à cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre de la campagne nationale d’information et de sensibilisation sur les dangers de la prolifération et de l’utilisation abusive des armes légères et de petit calibre, les élus locaux prennent l’engagement de s’approprier le combat que mène le Rasalao. Mieux, le président de l’Association des Districts et Départements de Côte d’Ivoire (Addci), Jean-Claude Kouassi, président dudit séminaire, les y a conviés, après avoir fait remarquer que partout où sévissent les armes légères, elles ne sèment que mort et désolation.
Le député Akoun Laurent qui représentait le Président de l’Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, parrain, est allé droit au but : «Les élus doivent s’approprier cette campagne de sensibilisation».
Il a, auparavant, condamné les activités lugubres des marchands d’armes. Qui, selon lui, sont à la base de la prolifération des armes légères et de petit calibre.
Le Directeur- pays du Pnud, André Carvallo, a exprimé le soutien de son institution à ce combat on ne peut plus noble contre la prolifération des armes légères.
Quant à la présidente du Rasalao-ci, Michèle Pépé, elle a, encore une fois, insisté sur les objectifs que sa structure s’est assignés : le plaidoyer pour la signature du décret de ratification de la Convention de la Cedeao sur les armes légères par le Chef de l’Etat, la création et l’installation effective de la Commission nationale de lutte contre les Alpc et le soutien, par le gouvernement ivoirien, du Traité international sur les armes légères.
Plusieurs communications dont celle du Contrôleur général de la police Désiré Adjoussou sur la problématique de la prolifération et de la circulation illicite des Alpc en Côte d’Ivoire, ont constitué les temps forts de cette rencontre qui prend fin aujourd’hui.
Emmanuel Kouassi