Le premier responsable du département a fait une révélation concernant la délivrance des actes de naissance.
Arrêtez de vendre la nationalité ivoirienne en délivrant de faux extraits d’actes de naissance, moyennant 10 000 à 500 000 Fcfa à des personnes qui n’en ont pas la qualité». Cette révélation, le préfet du département d’Adzopé, Paul Méo Dérou, l’a faite, vendredi dernier, à l’occasion de la passation des charges entre le sous-préfet sortant Kokora Mauni, promu secrétaire général de la préfecture de Dimbokro et le nouveau, Mme Kamelan née Ahui Solange dont Adzopé est le premier poste. La cérémonie a eu lieu, à la salle de mariage de la mairie d’Adzopé.
L’administrateur civil a même déploré que des personnes qui n’en ont pas droit, aient en leur possession des cachets d’état civil avec lesquels, elles opèrent. «Arrêtez cette autre forme de criminalité», a-t-il lancé aux agents de l’Etat et à tous ceux qui interviennent dans la délivrance des extraits d’actes de naissance ou de jugements supplétifs. Aussi, a-t-il exhorté les uns et les autres, notamment tous ceux qui interviennent dans la chaîne de délivrance de ces papiers administratifs à travailler en toute honnêteté.
Par ailleurs, à Adzopé, a-t-il déploré, les malfrats n’hésitent pas à tuer. Le préfet faisait allusion au vieux Ghanéen Yao Mensah, récemment abattu devant sa famille. Très inquiet, devant la montée en puissance des attaques à main armée des opérateurs économiques, étant légion ces derniers temps, il a exhorté la population, dans la recherche de voies et moyens, à une franche collaboration avec les Fds.
Adou Félix
Correspondant local
Arrêtez de vendre la nationalité ivoirienne en délivrant de faux extraits d’actes de naissance, moyennant 10 000 à 500 000 Fcfa à des personnes qui n’en ont pas la qualité». Cette révélation, le préfet du département d’Adzopé, Paul Méo Dérou, l’a faite, vendredi dernier, à l’occasion de la passation des charges entre le sous-préfet sortant Kokora Mauni, promu secrétaire général de la préfecture de Dimbokro et le nouveau, Mme Kamelan née Ahui Solange dont Adzopé est le premier poste. La cérémonie a eu lieu, à la salle de mariage de la mairie d’Adzopé.
L’administrateur civil a même déploré que des personnes qui n’en ont pas droit, aient en leur possession des cachets d’état civil avec lesquels, elles opèrent. «Arrêtez cette autre forme de criminalité», a-t-il lancé aux agents de l’Etat et à tous ceux qui interviennent dans la délivrance des extraits d’actes de naissance ou de jugements supplétifs. Aussi, a-t-il exhorté les uns et les autres, notamment tous ceux qui interviennent dans la chaîne de délivrance de ces papiers administratifs à travailler en toute honnêteté.
Par ailleurs, à Adzopé, a-t-il déploré, les malfrats n’hésitent pas à tuer. Le préfet faisait allusion au vieux Ghanéen Yao Mensah, récemment abattu devant sa famille. Très inquiet, devant la montée en puissance des attaques à main armée des opérateurs économiques, étant légion ces derniers temps, il a exhorté la population, dans la recherche de voies et moyens, à une franche collaboration avec les Fds.
Adou Félix
Correspondant local