Hier, en présence du directeur général, ont été remis, au titre des droits d’auteur, des chèques de plus de 9 millions à 22 écrivains de Frat-Mat éditions.
La salle de conférences Charles Diagne du Groupe Fraternité Matin a abrité, hier, pour la troisième fois, la cérémonie de remise de chèques pour le paiement des droits d’auteur des écrivains de son écurie.
C’était en présence du directeur général, Jean-Baptiste Akrou. Les chèques remis à vingt-deux écrivains sont d’une valeur de 9.426.789 millions, et concernent seulement les livres édités et vendus en 2008.
Le directeur général, les remerciant pour avoir porté leur choix sur Frat Mat Editions a souligné qu’un éditeur tire sa satisfaction et sa renommée de son catalogue qui se doit d’être riche, varié et actualisé par des publications régulières. C’est pourquoi, il est important, en tant que mandataire, d’assurer le règlement de la rémunération de l’auteur. Car, «si un écrivain accepte de céder à un éditeur les droits d’exploitation sur son œuvre c’est, d’une part, bien sûr pour communiquer son œuvre, au public grâce à l’action d’un professionnel de la commercialisation des livres, mais, d’autre part, pour percevoir une rémunération sur la diffusion et la vente de sa propriété intellectuelle et littéraire». Il a souligné par ailleurs que la littérature est devenue de nos jours un produit de grande consommation. Et par conséquent entre «comme un acteur majeur dans les circuits économiques avec tout le poids d’une industrie lourde». Toutefois, le directeur général a rappelé que l’arrêté des comptes, les inventaires, les calculs, la mise en place de la trésorerie et le paiement des droits d’auteurs sont des opérations qui exigent de la minutie et de la rigueur. Jean Moboye, écrivain, au nom des auteurs a remercié Frat Mat Editions pour la remise des chèques. Il a encouragé ses collègues à persévérer dans ce métier difficile.
Grâce Ouattara
La salle de conférences Charles Diagne du Groupe Fraternité Matin a abrité, hier, pour la troisième fois, la cérémonie de remise de chèques pour le paiement des droits d’auteur des écrivains de son écurie.
C’était en présence du directeur général, Jean-Baptiste Akrou. Les chèques remis à vingt-deux écrivains sont d’une valeur de 9.426.789 millions, et concernent seulement les livres édités et vendus en 2008.
Le directeur général, les remerciant pour avoir porté leur choix sur Frat Mat Editions a souligné qu’un éditeur tire sa satisfaction et sa renommée de son catalogue qui se doit d’être riche, varié et actualisé par des publications régulières. C’est pourquoi, il est important, en tant que mandataire, d’assurer le règlement de la rémunération de l’auteur. Car, «si un écrivain accepte de céder à un éditeur les droits d’exploitation sur son œuvre c’est, d’une part, bien sûr pour communiquer son œuvre, au public grâce à l’action d’un professionnel de la commercialisation des livres, mais, d’autre part, pour percevoir une rémunération sur la diffusion et la vente de sa propriété intellectuelle et littéraire». Il a souligné par ailleurs que la littérature est devenue de nos jours un produit de grande consommation. Et par conséquent entre «comme un acteur majeur dans les circuits économiques avec tout le poids d’une industrie lourde». Toutefois, le directeur général a rappelé que l’arrêté des comptes, les inventaires, les calculs, la mise en place de la trésorerie et le paiement des droits d’auteurs sont des opérations qui exigent de la minutie et de la rigueur. Jean Moboye, écrivain, au nom des auteurs a remercié Frat Mat Editions pour la remise des chèques. Il a encouragé ses collègues à persévérer dans ce métier difficile.
Grâce Ouattara
