La 4ème conférence panafricaine de l’Association mondiale des radiodiffuseurs communautaires d’Afrique (AMARC-Afrique) se déroule depuis hier, au N’Sah hôtel de Grand-Bassam (Côte d’Ivoire), sur le thème,
“Augmenter l’impact de la radio communautaire dans la réduction de la pauvreté, la bonne gouvernance et l’adaptation au changement climatique”. Ainsi durant 4 jours, des délégués issus de 40 pays africains et de 11 pays européens réfléchiront sur des moyens efficaces à dégager en vue d’augmenter l’impact social de la radio communautaire.
“La radio communautaire amplifie les efforts des populations rurales et des couches défavorisées des villes, du fait de sa capacité exceptionnelle à faire partager en temps réel des informations essentielles concernant le développement, les expériences, les connaissances pratiques et les questions d’intérêt général. C’est un outil privilégié de développement communautaire”, a indiqué le ministre de la Communication, président de la cérémonie, Ibrahim Sy Savané. “C’est pourquoi le gouvernement ivoirien a mis en place le Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP) afin de faire face à la problématique des moyens de ces radios communautaires”, a-t-il ajouté.
Pour finir, le ministre exhorté l’AMARC à intensifier les échanges, en dehors des grandes conférences organisées.
Quant à Steve Buckley, président de l’AMARC internationale, il a affirmé que les radios communautaires étaient engagées à exposer tous les méfaits de la société. Il a de ce fait demandé que tout soit mis en œuvre pour que la lumière se fasse sur l’affaire Guy André Kieffer.
De son côté, N’diaye Seck Oumar, représentant la présidente de l’AMARC-Afrique, a fait remarquer que le choix du thème de la conférence demeure dans la volonté des participants de s’inscrire résolument dans l’amélioration des conditions de vie des populations par l’avènement d’une société dans laquelle les populations s’approprient leurs outils de communication, participent au processus de prise de décisions.
En marge de cette 4ème conférence panafricaine, se tiendra une assemblée générale élective en vue du renouvellement des instances de l’AMARC-Afrique. Il s’agit du Conseil d’administration composé de 9 membres, dont la Côte d’Ivoire, et du Bureau du réseau international des femmes.
L’AMARC-Afrique travaille en étroite collaboration avec l’Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (URPCI) pour la réussite de ces assises.
Anne-Marie Eba (Stagiaire )
“Augmenter l’impact de la radio communautaire dans la réduction de la pauvreté, la bonne gouvernance et l’adaptation au changement climatique”. Ainsi durant 4 jours, des délégués issus de 40 pays africains et de 11 pays européens réfléchiront sur des moyens efficaces à dégager en vue d’augmenter l’impact social de la radio communautaire.
“La radio communautaire amplifie les efforts des populations rurales et des couches défavorisées des villes, du fait de sa capacité exceptionnelle à faire partager en temps réel des informations essentielles concernant le développement, les expériences, les connaissances pratiques et les questions d’intérêt général. C’est un outil privilégié de développement communautaire”, a indiqué le ministre de la Communication, président de la cérémonie, Ibrahim Sy Savané. “C’est pourquoi le gouvernement ivoirien a mis en place le Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP) afin de faire face à la problématique des moyens de ces radios communautaires”, a-t-il ajouté.
Pour finir, le ministre exhorté l’AMARC à intensifier les échanges, en dehors des grandes conférences organisées.
Quant à Steve Buckley, président de l’AMARC internationale, il a affirmé que les radios communautaires étaient engagées à exposer tous les méfaits de la société. Il a de ce fait demandé que tout soit mis en œuvre pour que la lumière se fasse sur l’affaire Guy André Kieffer.
De son côté, N’diaye Seck Oumar, représentant la présidente de l’AMARC-Afrique, a fait remarquer que le choix du thème de la conférence demeure dans la volonté des participants de s’inscrire résolument dans l’amélioration des conditions de vie des populations par l’avènement d’une société dans laquelle les populations s’approprient leurs outils de communication, participent au processus de prise de décisions.
En marge de cette 4ème conférence panafricaine, se tiendra une assemblée générale élective en vue du renouvellement des instances de l’AMARC-Afrique. Il s’agit du Conseil d’administration composé de 9 membres, dont la Côte d’Ivoire, et du Bureau du réseau international des femmes.
L’AMARC-Afrique travaille en étroite collaboration avec l’Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (URPCI) pour la réussite de ces assises.
Anne-Marie Eba (Stagiaire )