La 4ème conférence de l’association mondiale des radios communautaires (Amarc) a ouvert, comme prévu, ses portes le lundi 27 avril 2009 à Grand-Bassam, en présence de nombreuses autorités étatiques et de professionnels des médias, venus de partout dans le monde. A cette occasion, le ministre ivoirien de la Communication, M. Ibrahim Sy Savané, a fait une importante communication sur la place de la radio communautaire dans la société.
« La radio communautaire constitue pour nos Etats en développement, un instrument de communication particulière. Elle a pour but, selon l’Unesco, de donner la parole à ceux qui en sont privés, de servir de porte-voix aux populations marginalisées ; elle se situe au cœur du processus de communication et de démocratisation des sociétés », a déclaré Ibrahim Sy Savané. Non seulement la radio communautaire permet aux citoyens de faire connaître leurs points de vue sur les décisions qui les concernent, mais aussi, elle amplifie les efforts de développement des populations rurales et des couches défavorisées des villes. Ce, du fait de sa capacité exceptionnelle à faire partager en temps réel des informations essentielles concernant le développement, les expériences, les connaissances pratiques et les questions d’intérêt général. Au sujet du thème retenu pour cette année : « augmenter l’impact social de la radio communautaire dans la réduction de la pauvreté, la bonne gouvernance et l’adaptation au changement climatique », Ibrahim Sy Savané a indiqué que « c’est une thématique transversale qui prend en compte les principaux défis actuels des médias communautaires ». Ajoutant par ailleurs que le rôle assigné à ces radios est une vision partagée par le département dont il a la charge. Mais avant le ministre, M. Karamoko Bamba a, au nom de l’union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (Urpci) et de l’ensemble des radios communautaires du pays, souhaité la bienvenue à tous les participants venus certes honorer l’invitation de l’Amarc et de l’Urpci, mais surtout celle de la Côte d’Ivoire. Renchérissant son propos, M. Bamba a expliqué que la Côte d’Ivoire voudrait voir dans le choix de Bassam pour tenir cette grande rencontre panafricaine, la marque de la solidarité avec le peuple ivoirien ainsi que le témoignage de l’engagement des radios de l’Amarc auprès de leurs consœurs ivoiriennes.
DY
« La radio communautaire constitue pour nos Etats en développement, un instrument de communication particulière. Elle a pour but, selon l’Unesco, de donner la parole à ceux qui en sont privés, de servir de porte-voix aux populations marginalisées ; elle se situe au cœur du processus de communication et de démocratisation des sociétés », a déclaré Ibrahim Sy Savané. Non seulement la radio communautaire permet aux citoyens de faire connaître leurs points de vue sur les décisions qui les concernent, mais aussi, elle amplifie les efforts de développement des populations rurales et des couches défavorisées des villes. Ce, du fait de sa capacité exceptionnelle à faire partager en temps réel des informations essentielles concernant le développement, les expériences, les connaissances pratiques et les questions d’intérêt général. Au sujet du thème retenu pour cette année : « augmenter l’impact social de la radio communautaire dans la réduction de la pauvreté, la bonne gouvernance et l’adaptation au changement climatique », Ibrahim Sy Savané a indiqué que « c’est une thématique transversale qui prend en compte les principaux défis actuels des médias communautaires ». Ajoutant par ailleurs que le rôle assigné à ces radios est une vision partagée par le département dont il a la charge. Mais avant le ministre, M. Karamoko Bamba a, au nom de l’union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (Urpci) et de l’ensemble des radios communautaires du pays, souhaité la bienvenue à tous les participants venus certes honorer l’invitation de l’Amarc et de l’Urpci, mais surtout celle de la Côte d’Ivoire. Renchérissant son propos, M. Bamba a expliqué que la Côte d’Ivoire voudrait voir dans le choix de Bassam pour tenir cette grande rencontre panafricaine, la marque de la solidarité avec le peuple ivoirien ainsi que le témoignage de l’engagement des radios de l’Amarc auprès de leurs consœurs ivoiriennes.
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