La ville de Séguéla, la zone 5, contrôlée par les éléments des Forces armées des forces nouvelles et sous le commandement du commandant Ouattara Issiaka alias Wattao, a vécu, dans la journée d`hier, mercredi 29 avril, une panique générale suite à une rumeur faisant état d`une attaque imminente sur ladite ville.
Les populations affolées rentrent chez elles
Les populations effrayées, affolées, couraient dans tous les sens. Le centre-ville s`est vidé de ses occupants.
Selon nos sources jointes hier dans la ville, c`est aux environs de 8 heures 35 mn que suite à une fausse rumeur d`attaque de la ville lancée par certaines personnes civiles que la cité du Worodougou a été prise de panique générale. Quelques minutes plus tard, vers 8 heures 45 mn, magasins, boutiques etc., ont fermé et les propriétaires sont retournés chez eux pour se mettre à l`abri. Le marché de ladite ville s`est vidé très rapidement.
Les éléments des FAFN en alerte bouclent la ville
Alertés par la fausse rumeur aux alentours de 9 heures, les éléments des Forces armées des forces nouvelles, puissamment armés, afin de parer à toute éventualité, se sont aussitôt déployés dans les endroits stratégiques de la ville. Armes au poing, ils étaient visibles partout dans les différentes rues et autres artères principales. Quelques instants après, la ville était bouclée. Après des renseignements récoltés çà et là, les responsables militaires ont rassuré la population de ce qu`il ne s`agissait que d`une fausse alerte.
La vie reprend son cours normal
Quelque temps après, c`est-à-dire vers 15 heures 30 mn, ne voyant rien venir et rassurés par les responsables militaires, quelques magasins, boutiques et autres petits commerces ont rouvert timidement leurs portes. Certains habitants sont ressortis de leurs maisons. Tandis que d`autres, sous le choc, sont restés terrés chez eux.
Les éléments des FAFN restent tout de même sur le qui-vive
Hier, jusqu`à 19 heures, les éléments des FAFN veillaient au grain pour assurer la sécurité des populations de la zone 5. Ils ont maintenu leur position dans la ville toute la soirée afin de faire face à toute menace d`attaque de la cité du Worodougou.
DELMAS ABIB
Les populations affolées rentrent chez elles
Les populations effrayées, affolées, couraient dans tous les sens. Le centre-ville s`est vidé de ses occupants.
Selon nos sources jointes hier dans la ville, c`est aux environs de 8 heures 35 mn que suite à une fausse rumeur d`attaque de la ville lancée par certaines personnes civiles que la cité du Worodougou a été prise de panique générale. Quelques minutes plus tard, vers 8 heures 45 mn, magasins, boutiques etc., ont fermé et les propriétaires sont retournés chez eux pour se mettre à l`abri. Le marché de ladite ville s`est vidé très rapidement.
Les éléments des FAFN en alerte bouclent la ville
Alertés par la fausse rumeur aux alentours de 9 heures, les éléments des Forces armées des forces nouvelles, puissamment armés, afin de parer à toute éventualité, se sont aussitôt déployés dans les endroits stratégiques de la ville. Armes au poing, ils étaient visibles partout dans les différentes rues et autres artères principales. Quelques instants après, la ville était bouclée. Après des renseignements récoltés çà et là, les responsables militaires ont rassuré la population de ce qu`il ne s`agissait que d`une fausse alerte.
La vie reprend son cours normal
Quelque temps après, c`est-à-dire vers 15 heures 30 mn, ne voyant rien venir et rassurés par les responsables militaires, quelques magasins, boutiques et autres petits commerces ont rouvert timidement leurs portes. Certains habitants sont ressortis de leurs maisons. Tandis que d`autres, sous le choc, sont restés terrés chez eux.
Les éléments des FAFN restent tout de même sur le qui-vive
Hier, jusqu`à 19 heures, les éléments des FAFN veillaient au grain pour assurer la sécurité des populations de la zone 5. Ils ont maintenu leur position dans la ville toute la soirée afin de faire face à toute menace d`attaque de la cité du Worodougou.
DELMAS ABIB