Fini les tracasseries liées à la gestion foncière et la guéguerre entre les partenaires au projet Sophia. Ainsi en a décidé Touré Ahmed Bouah, PCA de Sophia, pour garantir un franc succès et une bonne exécution dudit projet. Désormais, c’est l’Etat de Côte d’Ivoire qui s’empare de la semi-gestion des activités liées au projet. Cette volonté du promoteur se traduit par la signature de plusieurs conventions entre son entreprise et les structures compétentes étatiques que sont le Bnetd et le Cepici. La dernière convention en date est celle signée mardi dernier avec l’Agence de gestion foncière (Agef). Ces différents accords ont pour objectif, selon les signataires, de définir le cadre général de collaboration technique que les parties entendent instaurer entre elles pour la réalisation, tant du programme immobilier dénommé “Programme de création d’un pôle urbain à Attinguié-Ebimpé” que de divers programmes spécifiques de la Sophia. “Par cette convention, Sophia confie à l’Agef, dont l’expertise est reconnue dans la filière du foncier urbain, d’une part, la gestion pleine et entière des aspects fonciers, le suivi administratif, financier et juridique de l’aménagement foncier, d’autre part, conformément à la loi n° 97-524 du 04 septembre portant concession d’aménagement foncier”, a déclaré M. Kety Lansiné, directeur général de l’ AGEF. Avant de préciser que, “dès à présent, l’Agef prend immédiatement en charge la gestion de la parcelle de 1200 ha et s’entoure de toutes les garanties afin que les détenteurs de droits coutumiers soient indemnisés selon un échéancier établi d’un commun accord avec eux. Quant aux acquéreurs des lots sur ladite parcelle, l’Agef veillera particulièrement à ce que les prélèvements dont ils font l’objet soient destinés à mettre à leur disposition dans les délais impartis, les terrains pour lesquels ils sont réservataires. C’est l’Agef qui est désormais leur interlocutrice et elle est dans son rôle”.
La signature de cette convention avait donc pour objet, selon le promoteur Touré Ahmed Bouah, de palier ce déficit. “L’action de l’Agef va garantir la maîtrise de l’assiette foncière et la bonne gestion du portefeuille client qui reste une clientèle sensible FDS et enseignants”, a-t-il déclaré. L’Agef vient donc apporter son expertise pour les opérations foncières du projet et surtout pour garantir un titre de propriété aux souscripteurs. La recherche des ressources financières du projet est confiée au Cepici.
En effet, les autorités qui avaient fini par comprendre que l’un des obstacles à la bonne marche du projet de 12.000 logements des FDS était la guéguerre entre Touré Ahmed Bouah (Sophia) et Djédjé Louis Durand (Azuréenne de Promotion) ont fini par rendre autonome chaque structure partenaire au projet. Et recadré le projet dans un canevas institutionnel bien précis qui est la loi 97-524 du 04 septembre 1997.
Ainsi, dans sa quête de garantir un succès franc au projet, Touré Ahmed Bouah s’était tourné vers le Bnetd pour la réalisation d’un audit multiforme dont les résultats ont obligé la direction de ladite structure à recadrer le projet, en s’appuyant sur les dispositions de cette loi.
Les nécessaires études techniques et financières étant désormais à sa charge. Le Bnetd a par ailleurs fait consolider les droits de Sophia sur deux assiettes foncières d’une contenance de 1 200 ha pour les anciens clients (FDS et enseignants) et 12.000 ha pour un projet de création de pôle urbain sur l’axe Abidjan/Anyama. Cette assiette foncière de 12.000 ha située sur l’axe Abidjan/Anyama est délimitée au Sud par la voie (y 4) qui part de N’Dotré à l’autoroute du Nord : au Nord par la forêt classée et les talwegs de M’Brago, à l’Est la route nationale Abidjan/Agboville et à l’Ouest par l’autoroute du Nord.
Il restait donc l’un des maillons fort de cette chaîne qui est la maîtrise de l’assiette foncière, qui vient d’être confiée à l’Agef. “Il faut saluer ici l’esprit républicain de l’équipe dirigeante du Bnetd qui a su faire fédérer les institutions étatiques autour projet pour lui donner un intérêt public et national tout en maintenant le caractère privé dans un partenariat privé/public sous l’œil vigilant du ministère de la Construction, de l’Urbanisme et de l’Habitat”, a conclu Touré Ahmed Bouah.
Etienne Ban
La signature de cette convention avait donc pour objet, selon le promoteur Touré Ahmed Bouah, de palier ce déficit. “L’action de l’Agef va garantir la maîtrise de l’assiette foncière et la bonne gestion du portefeuille client qui reste une clientèle sensible FDS et enseignants”, a-t-il déclaré. L’Agef vient donc apporter son expertise pour les opérations foncières du projet et surtout pour garantir un titre de propriété aux souscripteurs. La recherche des ressources financières du projet est confiée au Cepici.
En effet, les autorités qui avaient fini par comprendre que l’un des obstacles à la bonne marche du projet de 12.000 logements des FDS était la guéguerre entre Touré Ahmed Bouah (Sophia) et Djédjé Louis Durand (Azuréenne de Promotion) ont fini par rendre autonome chaque structure partenaire au projet. Et recadré le projet dans un canevas institutionnel bien précis qui est la loi 97-524 du 04 septembre 1997.
Ainsi, dans sa quête de garantir un succès franc au projet, Touré Ahmed Bouah s’était tourné vers le Bnetd pour la réalisation d’un audit multiforme dont les résultats ont obligé la direction de ladite structure à recadrer le projet, en s’appuyant sur les dispositions de cette loi.
Les nécessaires études techniques et financières étant désormais à sa charge. Le Bnetd a par ailleurs fait consolider les droits de Sophia sur deux assiettes foncières d’une contenance de 1 200 ha pour les anciens clients (FDS et enseignants) et 12.000 ha pour un projet de création de pôle urbain sur l’axe Abidjan/Anyama. Cette assiette foncière de 12.000 ha située sur l’axe Abidjan/Anyama est délimitée au Sud par la voie (y 4) qui part de N’Dotré à l’autoroute du Nord : au Nord par la forêt classée et les talwegs de M’Brago, à l’Est la route nationale Abidjan/Agboville et à l’Ouest par l’autoroute du Nord.
Il restait donc l’un des maillons fort de cette chaîne qui est la maîtrise de l’assiette foncière, qui vient d’être confiée à l’Agef. “Il faut saluer ici l’esprit républicain de l’équipe dirigeante du Bnetd qui a su faire fédérer les institutions étatiques autour projet pour lui donner un intérêt public et national tout en maintenant le caractère privé dans un partenariat privé/public sous l’œil vigilant du ministère de la Construction, de l’Urbanisme et de l’Habitat”, a conclu Touré Ahmed Bouah.
Etienne Ban