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Politique Publié le samedi 2 mai 2009 | Le Nouveau Réveil

Le ministre Adjoumani (Délégué PDCI) :"Voici la Côte d`Ivoire de la Refondation !"

N'zuéba est là, la pluie aussi ! La pluie qui précède les saisons d'espérance a encore précédé les pas du Président Bédié à Tanda.
Je voudrais, pour introduire mon propos, saluer le Président Henri KONAN Bédié, Président du PDCI-RDA, au nom de la délégation départementale de Tanda que j'ai l'honneur de conduire, et vous dire merci. Le doyen Adam-Yéboua Patrice, membre du Conseil de discipline du Parti, hors du pays, me charge de vous saluer, et de vous dire merci pour avoir accepté de séjourner à Tanda à l'occasion de votre tournée dans le Zanzan.
Merci, Monsieur le Président, d'être parmi nous ce jour. Les applaudissements, clameurs, chants et danses qui vous ont accueilli en ce lieu, sont l'expression de la joie indescriptible que les peuples Bron, Koulango et Agni, à l'unisson avec leurs frères des autres contrées du Zanzan, tenaient à vous manifester. Depuis l'annonce de votre venue, nos populations, mobilisées, s'impatientaient, comme saint Thomas, de vous voir, et surtout de vous entendre pour espérer.
Je salue, avec le même enthousiasme, Maman Henriette KONAN Bédié, Première Dame digne d'une Côte d'Ivoire jadis respectée ! Durant la riche carrière politique de son illustre époux, elle n'a jamais été impliquée dans une quelconque activité mafieuse, au point de devoir s'expliquer devant un " petit juge… " La Côte d'Ivoire reconnaissante, attend de vous traduire son admiration dans les urnes, parce que vous avez su donner de la fonction de Première Dame l'image qui convient ; car, est-il besoin de l'indiquer, au cours de l'élection présidentielle prochaine, les Ivoiriens auront naturellement à choisir leur Première Dame. Et pour nous, il n'y a aucun doute possible : la Première Dame que le candidat Henri KONAN Bédié présente à la Côte d'Ivoire entière se nomme Henriette KONAN Bédié !… Merci donc, Madame la Présidente, d'être la mère toujours fidèle et exemplaire en qui toute la Côte d'Ivoire fière se reconnaît.
Je salue le Secrétaire Général, les vice-présidents, les cadres et l'ensemble des militants du PDCI qui accompagnent le Président Henri KONAN Bédié dans la visite qu'il nous consacre aujourd'hui. J'adresse également mes salutations à l'intrépide KKB, Président de la JPDCI.
Akwaba ! Tougbalê ! Djassolé pôkô ! Bienvenue à tous dans notre cité, et grand merci !
Tanda est heureuse de vous accueillir en ce jour béni du 30 avril 2009, date commémorative du 60e anniversaire de notre grand Parti. Voici 60 ans que le Président Félix Houphouët-Boigny et ses compagnons du Syndicat Agricole Africain ont créé le PDCI pour libérer le peuple des misères des colons. 60 ans après, tous les dignitaires et les militants de notre Parti se retrouvent autour de notre chef, le Président Bédié, pour communier… Le soleil se lève à l'Est, dit-on. C'est de Tanda qu'il aura plu à l'Histoire de faire lever le soleil du renouveau du PDCI-RDA pour la reconquête du pouvoir d'Etat.
Monsieur le Président,
Regardez la Côte d'Ivoire ! Regardez l'héritage que vous a légué le père fondateur ! Notre pays ressemble à un bâtiment en ruine : les murs semblent n'avoir jamais reçu une seule couche de peinture ; les piliers de l'édifice sont profondément lézardés ; et la charpente menace de s'effondrer sur la tête du visiteur. A l'intérieur, on n'entend que les coassements sourds des crapauds-brousse, les hululements lugubres des hiboux affreux, les cris stridents des chauves-souris galeuses; c'est le règne des monstres de la nuit qui ne supportent pas la clarté du jour.
Voici la Côte d'Ivoire de la Refondation ! Depuis ce ridicule coup d'Etat militaire, tout est misère, ruine et désolation. Toutes les populations ici rassemblées sont unanimes pour reconnaître que si la Côte d'Ivoire est encore debout, c'est bien parce que le PDCI-RDA l'a construite sur des fondements solides. Les routes, les ports, les aéroports, les barrages hydroélectriques, les centrales thermiques, la télévision et la radio nationale, les CHU, CHR, etc., tout a été réalisé sous le régime du PDCI-RDA. Il est donc malheureux de voir que le FPI tente de maintenir dans une sorte d'esclavage moral les villages qui ont été électrifiés sous son régime. C'est bien triste et ignoble ; car pour électrifier une localité, il faut bien qu'il y ait une source d'approvisionnement en électricité. Le courant électrique qui est distribué à travers la Côte d'Ivoire et vendue à des pays voisins est produit par des barrages et des centrales que le régime du PDCI a fait construire. D'ailleurs, l'électrification de tous ces villages était prévue et planifiée à travers " l'opération Araignée " initiée par vous, Monsieur le Président. Aujourd'hui, tout le monde est fier de la modernisation de l'Aéroport International Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan. Là encore, c'est le résultat de votre vision prospective. C'est pareil avec les centres de santé que les refondateurs inaugurent avec tant de bruits. Leurs seules réalisations, ce sont les premières pierres qu'ils ont posées dans chaque contrée de la région du Zanzan, et que la broussaille a recouvertes depuis bien longtemps.
Lorsque vous étiez au pouvoir, vous avez mis en œuvre, dans le Zanzan, le Projet Nord-Est pour une allocation de 15 milliards (hors projets FRAR) au titre des investissements, dont 4 milliards pour le seul département de Tanda. En sept années de régime FPI, le Conseil général de Tanda a perçu de l'Etat de Côte d'Ivoire moins de la moitié de ce que le régime PDCI nous destinait pour notre développement. Jusqu'en 1999, le kilogramme d'anacarde se négociait dans le département de Tanda autour de 500 francs CFA. Aujourd'hui, il s'achète à moins de 150 francs CFA. Et le drame, c'est que la plus haute autorité de l'Etat ignore tout de l'anacarde, lui qui affirmait récemment devant les opérateurs du secteur, qu'il croyait que l'anacardier n'était qu'un arbre qui poussait à l'état sauvage. Y a-t-il un mépris plus grand que cela pour nos parents du Zanzan pour qui l'anacarde est ce que sont le café, le cacao, l'hévéa, l'or et le diamant dans d'autres régions ? Hier, vous avez entendu les complaintes de nos populations. Nos parents producteurs d'anacarde sont sous le choc de ces propos qui n'honorent pas son auteur.
Les populations sont donc prêtes à sanctionner ce régime dont le projet de société se décline en 4 mots : violence, destruction, mépris et jouissance !
D'abord, le FPI est né dans un contexte économique et social marqué par la violence. Dans l'opposition, le FPI a toujours revendiqué publiquement la paternité de toutes les insurrections populaires, notamment le violent boycott actif des 28 et 29 octobre 1995. En décembre 1999, le FPI a usé de violence pour se positionner au pouvoir. En octobre 2000, c'est par la violence que le FPI a enjambé les cadavres pour s'installer au pouvoir. Les 24 et 25 mars 2004, à Abidjan, le FPI a utilisé la violence pour se maintenir au pouvoir. C'est toujours par la violence que le FPI gouverne, se croyant encore dans leur opposition violente. C'est donc dans la violence que les refondateurs prospèrent. D'ailleurs, pour le plus illustre d'entre eux, " mille morts à gauche, mille morts à droite… ", il faut avancer, sans état d'âme !
Ensuite, tout ce que le PDCI a bâti, le FPI l'a détruit en seulement deux années de tâtonnements, divisant le pays en deux, à l'image de leurs " 2 doigts " qu'ils brandissent pour narguer le ciel. En plus de 8 ans de pouvoir, le FPI a ouvert grandement les portes de notre beau pays à toutes sortes de crimes : crimes économiques, crimes écologiques, crimes contre les libertés individuelles, arrestation et emprisonnement de journalistes nationaux, menaces permanente de destruction d'organes de presse proche de l'opposition, disparition et assassinat de journalistes étrangers. La ville de Bouaké a été bombardée et détruite en partie. A intervalles réguliers, le feu détruit de façon suspecte les Institutions de l'Etat : le Trésor, l'Assemblée Nationale, le Ministère de la Défense… Avec le FPI, c'est la course effrénée à la destruction.
Pour la première fois, au mépris de toute considération, des magistrats sont frappés par des bandes de jeunes aux ordres. Pour la première fois, des déchets toxiques ont été importés et répandus sur le territoire national pour tuer… Depuis l'accession des refondateurs au pouvoir d'Etat, la mort est célébrée au quotidien à travers la construction de nombreux monuments et l'organisation de grandioses funérailles aux victimes du système FPI. Occasionner la mort de dizaines d'individus et venir verser des larmes de crocodile en public est devenu un spectacle très courant avec ce parti !
Enfin, alors que le peuple n'arrive pas à assurer un seul repas par jour, le pouvoir FPI est dans la jouissance avec des châteaux de rêves, des véhicules acquis à un milliard de francs CFA en guise de cadeaux de fin d'année à distribuer aux membres de la famille restreinte. Juste pour satisfaire des fantasmes, pendant que le peuple est pris de vertige dans le tourbillon de la galère quotidienne.
Militantes, Militants du PDCI-RDA,
Mesdames, Messieurs,
La Côte d'Ivoire n'avance plus du fait du FPI. De 2003 à ce jour, la Côte d'Ivoire est à son 3e Premier Ministre. Il y a eu l'Ambassadeur SEYDOU Elimane Diarra, dont la compétence et l'expérience ne souffrent aucune contestation. Dès qu'il a voulu aborder la question de l'identification, le FPI a tout mis en œuvre pour le faire partir de la Primature. Est arrivé ensuite le Gouverneur Charles KONAN Banny, Technocrate compétent et expérimenté. Il a cru pouvoir compter sur la bonne foi de celui qui dit avoir fait de la politique un métier, en lui proposant de gérer la sortie crise en tandem. Dès qu'il a voulu aborder la question de l'identification, le FPI a tout mis en œuvre pour le faire partir de la Primature. Aujourd'hui, le Premier Ministre Guillaume SORO a réussi le pari de franchir des étapes essentielles vers les élections en Côte d'Ivoire. Et comme le " chien ne change jamais sa façon éhonté de s'asseoir ", c'est au moment où il ne reste plus qu'à fixer la date des élections que les refondateurs se réveillent pour tout mettre en œuvre en vue de déstabiliser le Premier Ministre Guillaume SORO et le chasser aussi de la Primature.
Les Premiers Ministres ne sont donc pas un problème pour la Côte d'Ivoire ! Le problème de la Côte d'Ivoire, c'est KOUDOU Gbagbo et ses camarades refondateurs qui ont peur d'affronter le verdict des urnes, parce qu'ils savent qu'ils ont menti au peuple. Ils peuvent toujours continuer de se croire malins : c'est leur moment, le moment du règne du Diable, qui semble long pour les humains ; mais qui est si bref dans l'échelle de la temporalité divine. Ce n'est qu'un moment. Dieu laisse toujours Satan jubiler jusqu'à la limite de son pouvoir. Et un jour, quand il décide de frapper, Satan disparaît pour de bon ! Et la refondation disparaîtra pour de bon !
Aujourd'hui, l'alternative salutaire qui nous reste, c'est de changer la tête de l'exécutif ivoirien et le régime qui le soutient. Gbagbo et le FPI ont largement montré leurs carences et leur incapacité à gouverner la Côte d'Ivoire. Et la plus belle preuve de leur imposture est leur incompétence à restaurer l'école qu'ils ont contribué à détruire. Le commun des mortels pouvait leur pardonner les errements constatés dans tous les autres domaines, sauf dans celui de l'école ; car le professeur d'histoire aurait dû tenir sa promesse de rétablir l'Ecole dans son droit, plutôt que d'entretenir des histoires inopportunes qui retardent le développement de notre pays ! C'est pour cela que le peuple de Côte d'Ivoire doit prendre son destin en main. Dieu nous aidera dans ce combat que nous menons contre ce pouvoir satanique, car il est juste et légitime !
Monsieur le Président,
Il nous revient, de manière récurrente, que le FPI a ouvert un site internet en prévision de la proclamation en ligne des résultats des prochaines élections présidentielles. L'adage dit qu'" il n'y a jamais de fumée sans feu ! " En 2000, cette stratégie de confiscation du pouvoir par le FPI a fonctionné à merveille. En effet, Monsieur KOUDOU Gbagbo s'est autoproclamé Président avec la complicité de RFI, aujourd'hui leur bête noire, sans attendre la proclamation officielle des résultats par la Commission Nationale Electorale. Chacun connaît la suite de ce hold up électoral et continue d'en subir les conséquences. Les refondateurs ambitionnent de remettre le couvert ! Mais 2000, c'était 2000 ! L'histoire ne se répétera pas ! Nous n'admettrons plus jamais que les résultats des élections présidentielles soient publiés par une entité autre que la Commission Electorale Indépendante. Nous le disons tout net : nous n'admettrons jamais ce genre de forfaiture ! Le Zanzan ne tolérera pas que soit à nouveau confisqué le pouvoir par les refondateurs pour nous faire souffrir davantage ! Au lieu de s'asseoir dans leurs laboratoires pour concevoir des stratégies de prise en otage des élections, les dignitaires du FPI gagneraient à nous rejoindre sur le terrain du débat politique pur.
Monsieur le Président,
Avec votre permission, je voudrais, depuis Tanda, interpeller la jeunesse ivoirienne pour lui dire que la Refondation est une jungle ; et que ceux qui l'animent sont des monstres qui n'hésitent pas à manger leurs propres enfants ! Eugène Djué et Al Moustapha, serviteurs zélés de la galaxie des frondeurs, ont été châtiés par d'autres zélateurs du FPI. Tapé Do, Henri Amouzou, Angeline Kili, Placide Zoungrana, et tous les autres responsables de la filière café-cacao ont servi le système FPI avec loyauté. Aujourd'hui, ils croupissent en prison sans jugement. ORE Gnézé, fils de Gagnoa, Conseiller du Chef de l'Etat est au sec à la MACA, parce qu'il serait impliqué dans une tentative de coup d'Etat. N'eurent été la mobilisation et la vigilance des militants et du Directoire du RHDP, le Président Innocent ANAKY Kobenan aurait connu un sort identique, lui qui s'est sacrifié pour que naisse le FPI.
Jeunes de Côte d'Ivoire, ainsi fonctionne le FPI. Combien étiez-vous le 18 février 1992, le 28 octobre 1995, les 24, 25 et 26 mars 2004, instrumentalisés pour interdire, casser, brûler et au besoin assassiner dans l'intérêt du FPI ? Combien étiez-vous, devant l'hôtel Ivoire d'Abidjan, boucliers humains offerts en sacrifices pour sauver le régime pourtant machiavélique et sanguinaire du FPI ? Que vous ont rapporté vos sacrifices pour le pouvoir FPI, en dehors du monument aux Martyrs ? Combien êtes-vous, sacrifiés du FPI, qui vivotez chaque jour à l'ombre des souvenirs douloureux que vous avez consentis ?
Ne vous laissez plus abuser par certains individus peu crédibles, dont le plus grand mérite a été de faire du faux sur l'âge et le nom qu'il porte, pour finalement tricher en vue d'obtenir une licence universitaire. Le Président Bédié n'a jamais changé de jugement dans le but de paraître plus jeune pour continuer d'aller à l'école. Et nous, militants du PDCI-RDA, sommes heureux et fiers de savoir que HKB a longue vie, et qu'il fêtera son anniversaire le 05 mai 2009 sur les terres du Zanzan. Comparé à plus jeunes que lui, et déjà décoiffés, notre Président paraît un Iroko, cet arbre magnifique et rare de nos forêts tropicales ; car " même quand l'Iroko est sec, il est plus résistant que le jeune Fromager " ! Au demeurant, ainsi que nous l'enseigne un adage malinké : " djara koroni ka fissa souroukou kan mélé yé " ; c'est-à-dire qu' " il est préférable d'être un vieux lion, plutôt qu'une jeune hyène. "
La Côte d'Ivoire a besoin d'un Président qui ne brandit pas l'épée contre l'épée, un Président qui a la sagesse de s'humilier pour préserver son pays de tous les désastres, un Président qui ne tient pas son courage de l'affrontement, mais du sacrifice de soi, un Président qui est sage, qui a de l'expérience, qui est assez imaginatif pour créer des emplois pour les jeunes, un Président qui honore ses engagements et sa signature, un Président qui a une vision pour le pays. Le Président Aimé Henri KONAN Bédié a le profil de cet emploi ! Le moment est donc venu de vous déterminer en vous mettant dans la direction du bon vent, le vent de la reconstruction et du renouveau intégral de la Côte d'Ivoire.
Monsieur le Président,
Les Ivoiriens savent que les refondateurs sont au pouvoir, non pas pour servir la Côte d'Ivoire, mais pour se remplir les poches et faire broyer du noir au peuple. C'est pour cela que beaucoup de militants du FPI ont décidé de rejoindre la grande famille du PDCI-RDA. Ils ont tenu à venir vous le signifier en public, parce qu'ils sont convaincus de leur choix. Ces revirements ne font que consolider la position de leader incontesté du PDCI-RDA dans le département de Tanda, où nous avons remporté tous les postes électifs. Maire : PDCI ; Député : PDCI ; Conseil général : PDCI ! C'est vous dire que le PDCI-RDA se porte très bien ici. La confiance que nos populations gardent dans le Parti est grande et intacte ; en témoigne la mobilisation de ce jour, expression de la volonté des militants d'impulser le mouvement du changement, de la prospérité, du progrès pour tous et du bonheur partagé que vous incarnez.
Pour atteindre cet objectif, la délégation départementale a entrepris des actions de proximité pour encadrer et suivre le processus d'identification en cours. A la date du 31 mars 2009, 62 125 personnes sur une population cible estimée à 108 604 ont été enrôlées dans les 253 centres de collectes ouverts à travers le département de Tanda ; soit un taux de couverture de 57,20%. Les débuts de l'opération ont été extrêmement difficiles parce que tous les sites n'étaient pas couverts ; et la logistique pour transporter le matériel technique nous a fait cruellement défaut. Nous nous attelons à tout mettre en œuvre pour aider les 46 479 électeurs potentiels restants à se faire enrôler dans la phase de rattrapage qui aurait dû commencer depuis le mardi 21 avril 2009, et qui tarde à se faire.
C'est pour sauver la Côte d'Ivoire que vous avez décidé de mener le combat politique qu'il faut pour bouter hors d'état de nuire davantage le régime diabolique du FPI. Cet engagement nous comble d'aises, car notre pays doit se remettre rapidement au travail pour redorer son lustre d'antan, dans la tolérance, le respect des différences et la paix. Tanda est votre terre promise, Monsieur le Président ! Et c'est d'ici que vous partirez pour reconquérir le cœur des Ivoiriens.
Dieu vous bénisse !
Vive le Président Bédié
Vive le PDCI-RDA !
Vive Tanda !
Vive la Côte d'Ivoire !

KOBENAN Kouassi Adjoumani
Député à l'Assemblée Nationale
Président du Conseil Général de Tanda
Membre du Bureau Politique
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