Les jeunes sont le centre de gravité de la société ou encore, les jeunes sont l’avenir du pays, a-t-on coutume de dire. C’est dire que le sérieux de tout homme ou femme politique qui ambitionne de bâtir la cité, se mesure à l’aune de l’importance qu’il / elle accorde à la jeunesse, non seulement dans son programme de gouvernement mais surtout dans les actes. Alassane Dramane Ouattara, Premier ministre de Côte d’Ivoire sous Houphouët-Boigny, a fait de l’épanouissement des jeunes une préoccupation constante, de leur promotion sociale, un souci majeur. Devenu homme politique et aujourd’hui candidat à la Magistrature suprême de son pays, Ado fait du sort de cette frange la priorité de ses priorités. Cette attention particulière qu’accorde le président Ouattara à la jeunesse, a deux explications essentielles. D’une part, l’homme a assumé très jeune de hautes responsabilités dans les finances internationales (à 35 ans il est directeur à la BCEAO à Paris et à 42 ans il est directeur du département Afrique du FMI). Il veut transmettre ce goût de travail et de la responsabilité à ses jeunes compatriotes. Et d’autre part ADO est convaincu que les défis futurs de tout pays ne peuvent être relevés que par sa jeunesse bien formée et compétitive. Car la compétence de demain des pays en développement tel que le nôtre, se jouera sur le terrain de la créativité et de l’innovation. L’exemple de certains pays de l’Asie du Sud Est qui ont connu une ascension fulgurante dans leur développement, est une illustration parfaite de ce que la formation des jeunes doit être le socle de toute politique de développement. Le Dr Alassane Ouattara l’a bien compris. Ainsi, bien qu’appelé par le Président Houphouët-Boigny pour stabiliser et relancer l’économie ivoirienne en déroute, ADO n’a pas perdu de vue la nécessité de poser des actes au profit de la jeunesse ivoirienne. D’une situation en cessation de payement, il a assaini et stabilisé l’économie pour en dégager des ressources substantielles ayant permis de réaliser des infrastructures de développement qui font aujourd’hui la fierté de tout ivoirien digne de ce nom. C’est le cas des Universités Abobo-Adjamé et Bouaké et des Unités de Recherches de l’Enseignement Supérieur (URES) de Korhogo et de Daloa, pour désengorger l’unique université d’Abidjan qui existe depuis 1960.
A ce sujet, on se demande ce que serait aujourd’hui l’enseignement supérieur public ivoirien si les universités d’Abobo et de Bouaké n’avaient pas été construites par l’équipe de Ouattara, rappelons-le, à une période de crise économique grave. Où, les Ivoiriens s’en souviennent, les salaires des fonctionnaires et des travailleurs du privé étaient menacés de diminution. C’est également dans cette optique futuriste que le palais de la Culture a été conçu avec un financement de la coopération de la Chine, De même ISTC, l’AGEP, l’AGEFOP ont été créés par l’équipe Ouattara pour favoriser l’insertion socioprofessionnelle des jeunes sans emploi et assurer la formation continue des travailleurs. C’est dire qu’on peut développer en période de crise pourvu qu’on ait la volonté politique de le faire. Toujours, pendant cette période cruciale (90-93), Ado a créé de nombreuses structures pour résorber le chômage des jeunes. Il s’agit en autres du Programme d’Aide à l’Embauche (PAE), des Programmes spéciaux de création de l’emploi (PSCE), du programme de création de micro entreprise (PCME) qui ont permis à près de quatre mille (4000) jeunes ivoiriens d’obtenir leur premier emploi, devenus aujourd’hui des fiertés de leur famille et de la nation. En homme politique averti, ADO a pris la décision de ne pas renouveler les contrats des experts étrangers arrivés à échéance, au profit de ses compatriotes. A ce titre, 1898 emplois sont revenus à des nationaux à travers le programme d’embauches prioritaires des nationaux (PEPN). Comme quoi, personne ne peut donner une leçon de patriotisme à Alassane Dramane Ouattara. A la primature, il a donné la chance à de nombreux jeunes qui, pour la plupart venaient juste de finir leurs études, et ont pu ainsi mettre en valeur leur génie, leur talent pour être aujourd’hui des fiertés nationales. Parmi eux, on peut citer Armand Akobé, Amani Philippe, Alassane Diamouténé, Mme Kaba Nialé. L’un d’entre eux, aujourd’hui proche collaborateur de Ouattara en a fait un témoignant vivant lors de la convention du RDR à Yamoussoukro. Il s’agit de Hamed Bakayoko. «Je suis Hamed Bakayoko. Je suis l’illustration vivante de ce que Alassane Dramane Ouattara peut faire pour un jeune. Je suis le modèle de la capacité d’Ado à prendre un jeune à l’état brut et d’en faire ce que vous voyez » avait dit avec joie ce jour-là, l’actuel ministre des Nouvelles technologies de l’information et la communication. Aussi, interpelle-t-il les jeunes de Côte d’Ivoire en ces termes «Alassane Ouattara peut faire de chacun de vous des golden boys ». Au plan politique, le Premier ministre Ouattara a convaincu le président Houphouët à faire entrer de nombreux jeunes après le congrès de 1991 dans le Bureau politique du PDCI-RDA.
Aujourd’hui, président du RDR, il continue de faire la promotion des jeunes qui sont nommés à des postes tout aussi importants que stratégiques.
Candidat à la présidence de la République, ADO a de grandes ambitions pour la Côte d’Ivoire et en particulier pour la jeunesse. Au meeting du 09 mai 2009 à Yopougon, il s’adressera à la jeunesse ivoirienne pour lui donner espoir.
Ibrahima B. Kamagaté
A ce sujet, on se demande ce que serait aujourd’hui l’enseignement supérieur public ivoirien si les universités d’Abobo et de Bouaké n’avaient pas été construites par l’équipe de Ouattara, rappelons-le, à une période de crise économique grave. Où, les Ivoiriens s’en souviennent, les salaires des fonctionnaires et des travailleurs du privé étaient menacés de diminution. C’est également dans cette optique futuriste que le palais de la Culture a été conçu avec un financement de la coopération de la Chine, De même ISTC, l’AGEP, l’AGEFOP ont été créés par l’équipe Ouattara pour favoriser l’insertion socioprofessionnelle des jeunes sans emploi et assurer la formation continue des travailleurs. C’est dire qu’on peut développer en période de crise pourvu qu’on ait la volonté politique de le faire. Toujours, pendant cette période cruciale (90-93), Ado a créé de nombreuses structures pour résorber le chômage des jeunes. Il s’agit en autres du Programme d’Aide à l’Embauche (PAE), des Programmes spéciaux de création de l’emploi (PSCE), du programme de création de micro entreprise (PCME) qui ont permis à près de quatre mille (4000) jeunes ivoiriens d’obtenir leur premier emploi, devenus aujourd’hui des fiertés de leur famille et de la nation. En homme politique averti, ADO a pris la décision de ne pas renouveler les contrats des experts étrangers arrivés à échéance, au profit de ses compatriotes. A ce titre, 1898 emplois sont revenus à des nationaux à travers le programme d’embauches prioritaires des nationaux (PEPN). Comme quoi, personne ne peut donner une leçon de patriotisme à Alassane Dramane Ouattara. A la primature, il a donné la chance à de nombreux jeunes qui, pour la plupart venaient juste de finir leurs études, et ont pu ainsi mettre en valeur leur génie, leur talent pour être aujourd’hui des fiertés nationales. Parmi eux, on peut citer Armand Akobé, Amani Philippe, Alassane Diamouténé, Mme Kaba Nialé. L’un d’entre eux, aujourd’hui proche collaborateur de Ouattara en a fait un témoignant vivant lors de la convention du RDR à Yamoussoukro. Il s’agit de Hamed Bakayoko. «Je suis Hamed Bakayoko. Je suis l’illustration vivante de ce que Alassane Dramane Ouattara peut faire pour un jeune. Je suis le modèle de la capacité d’Ado à prendre un jeune à l’état brut et d’en faire ce que vous voyez » avait dit avec joie ce jour-là, l’actuel ministre des Nouvelles technologies de l’information et la communication. Aussi, interpelle-t-il les jeunes de Côte d’Ivoire en ces termes «Alassane Ouattara peut faire de chacun de vous des golden boys ». Au plan politique, le Premier ministre Ouattara a convaincu le président Houphouët à faire entrer de nombreux jeunes après le congrès de 1991 dans le Bureau politique du PDCI-RDA.
Aujourd’hui, président du RDR, il continue de faire la promotion des jeunes qui sont nommés à des postes tout aussi importants que stratégiques.
Candidat à la présidence de la République, ADO a de grandes ambitions pour la Côte d’Ivoire et en particulier pour la jeunesse. Au meeting du 09 mai 2009 à Yopougon, il s’adressera à la jeunesse ivoirienne pour lui donner espoir.
Ibrahima B. Kamagaté