Cissé Ibrahima Bacongo (DCZ) aux populations des villages de Port-Bouët: “Le changement en Côte d’Ivoire passe par ADO”

Cissé Ibrahima Bacongo, Directeur de campagne de la Zone d’Abidjan-Sud, a achevé sa tournée dans les villages périphériques de Port-Bouët. Aux populations, il a indiqué que le changement est encore possible. Mais, avec Alassane Dramane Ouattara.
Episode 2 de la tournée de précampagne Cissé Ibrahima Bacongo. Pour cette dernière phase de son périple dans les villages périphériques de Port-Bouët, l’équipe de campagne du « QG » d’Abidjan-Sud a mis les bouchées doubles en termes de mobilisation. Ainsi, à la tête d’une délégation forte 40 personnes, le ministre Cissé Ibrahima Bacongo a sillonné, samedi dernier, cinq villages de la commune de Port-Bouët. Ce sont les localités de Mafibilé I, Mafibilé II, les villages I et II de la station du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) et Vridi-Ako qui ont accueilli la délégation d’Abidjan-Sud. A cette occasion, le chef de file de la campagne d’ADO à Abidjan-Sud, après avoir sacrifié aux us des villages visités, a exposé aux populations les raisons qui l’ont conduit à prendre langue avec elles. Pour M. Cissé Bacongo, l’élection et la campagne présidentielle, qui se profilent à l’horizon, exigent aux populations de ne pas perdre de vue l’essentiel qui est leur avenir. A ce titre, il leur a dit que la campagne n’est pas une guerre rangée entre factions ennemies. Mais plutôt, un « match » entre des équipes adverses pour la conquête d’un trophée : « les rênes du pouvoir». Devant l’importance des enjeux, l’hôte des populations des villages de Port-Bouët, a situé cette joute électorale au-delà des considérations ethniques, régionales et idéologiques. Pour lui, son candidat est le meilleur en lice dans le cadre de l’élection présidentielle. Car, a-t-il soutenu, seul lui peut permettre une croissance économique. « Nous avons le meilleur candidat en lice. Le changement en Côte d’Ivoire passe par ADO. Et, cette vérité est mathématique. C’est lui qui peut répondre concrètement aux problèmes des Ivoiriens », a argué M. Cissé Ibrahima Bacongo.
Une vérité mathématique pour un homme, dont les compétences sont universellement reconnues. Alassane Dramane Ouattara, candidat des Républicains, est la solution aux difficultés que traverse la Côte d’Ivoire. Pour M. Cissé Ibrahima Bacongo, cela ne fait l’ombre d’aucun doute. Des preuves tangibles de la compétence du champion des Républicains existent. Ainsi, il a révélé aux populations qu’en 1990, alors que tous les voyants socioéconomiques du pays étaient au rouge, Alassane Dramane Ouattara, appelé en pompier par le Président Félix Houphouët-Boigny, a non seulement permis de redresser la barre, mais aussi, de créer les Universités de Bouaké et d’Abobo-Adjamé. Aussi, fort de ce fait, le Com’Zone d’Abidjan-Sud a conseillé aux populations de ne pas hésiter à miser leur chance sur le poulain des Républicains. Car, dira Ibrahima Cissé Bacongo, « les autres sont passés aux affaires de l’Etat, mais, la situation des populations n’a point évolué., ADO est un pari gagnant pour la Côte d’Ivoire ».
L’autre volet majeur du message de l’émissaire d’Alassane Dramane Ouattara est l’union sacré des Ivoiriens autour du pays malade. Et ce, au-delà des partis politiques, des ethnies et des contingences régionalistes. A ce titre, le DCZ d’Abidjan-Sud s’est particulièrement adressé aux militants des autres partis politiques. Et spécialement à ceux du Front Populaire Ivoirien (FPI). Il leur a demandé d’ouvrir les yeux sur les réalités socioéconomiques actuelles du pays. Il a ajouté que l’accroissement du taux de pauvreté des populations, du chômage des jeunes, de la prostitution, de l’insécurité, de la corruption même dans des milieux antérieurement nobles telle que la santé imposent une réelle prise de conscience. Aussi, a-t-il appelé à la fibre patriotique des Ivoiriens afin de redresser la situation du pays. De même, il assuré que « seul son candidat fait l’unanimité ». Tant sur l’échiquier national qu’international. Il a rappelé aux populations les exemples de Barack Obama aux Etats-Unis d’Amérique et de Nicolas Sarkozy en France. Ces deux hommes ont, selon lui, en commun, le fait d’être issus de minorité. Mais, les populations leur ont accordé leur confiance car ils opéraient une rupture d’avec la politique habituelle de leur pays. Pour lui, cette rupture est possible en Côte d’Ivoire. A condition que les populations accordent leur confiance au Dr Alassane Dramane Ouattara. Et ce, pour seulement cinq (05) ans. Enfin, le ministre Cissé Bacongo a été fait fils du village de Mafibilé.

Coulibaly Brahima