Un (1) milliard de FCFA. C’est ce que le gouvernement vient de décaisser pour le compte du programme de soutien au secteur du riz, conformément à la lutte contre la cherté des produits dits de première nécessité. Malheureusement, les objectifs demeurent tant que ceux chargés du contrôle et de l’application des mesures arrêtées par le gouvernement se montreront impuissants.
En plus des mesures d’allégement de taxes de douanes et d’impôts, le secteur du riz bénéficie d’un nouvel appui d’un montant de un (1) milliard de FCFA. L’information a été donnée le mardi 5 mai 2009 par Mme Djédjé Mama Simone. Malheureusement, en dépit des efforts fournis par le gouvernement, la population n’en profite pas. Elle est soumise aux surenchères imposées par les commerçants au nez et à la barbe des autorités en charge de réguler l’activité commerciale. Aujourd’hui, ce volet de contrôle de prix n’est plus une priorité au ministère du Commerce. Mais on se bat pour la FRI (Fiche de renseignement à l’importation). Qui est une nouvelle parataxe qui fait l’objet de protestation de la part des opérateurs économiques. Il est même dit que c’est une affaire de ‘’gros sous’’. Pendant que l’on se bat, à côté, ce sont les populations qui meurent de faim parce que le sac de riz n’est pas à la portée de tous. Il en est de même pour certains produits d’ustensiles. Mais, loin d’accuser un seul ministère, il y a également la responsabilité du comité de suivi des mesures relatives à la cherté de la vie qui a certainement pêché dans son fonctionnement. Puisque, jusque-là, il n’a pas pu ramener à leurs prix initiaux les produits de consommation. Au point où la population continue de subir la hausse des prix des denrées alors que des mesures de baisse des taxes ont été faites dans ce sens. Les augmentations des prix des produits ont été observées en fin d’année 2008. Avec le retour progressif sur le marché international, surtout la baisse du prix du pétrole, la population s’attendait à recevoir quelque chose en retour. C’est ce combat que devrait mener le comité de suivi qui s’est par ailleurs plongé dans un mutisme qui ne dit pas son nom.
H.K
En plus des mesures d’allégement de taxes de douanes et d’impôts, le secteur du riz bénéficie d’un nouvel appui d’un montant de un (1) milliard de FCFA. L’information a été donnée le mardi 5 mai 2009 par Mme Djédjé Mama Simone. Malheureusement, en dépit des efforts fournis par le gouvernement, la population n’en profite pas. Elle est soumise aux surenchères imposées par les commerçants au nez et à la barbe des autorités en charge de réguler l’activité commerciale. Aujourd’hui, ce volet de contrôle de prix n’est plus une priorité au ministère du Commerce. Mais on se bat pour la FRI (Fiche de renseignement à l’importation). Qui est une nouvelle parataxe qui fait l’objet de protestation de la part des opérateurs économiques. Il est même dit que c’est une affaire de ‘’gros sous’’. Pendant que l’on se bat, à côté, ce sont les populations qui meurent de faim parce que le sac de riz n’est pas à la portée de tous. Il en est de même pour certains produits d’ustensiles. Mais, loin d’accuser un seul ministère, il y a également la responsabilité du comité de suivi des mesures relatives à la cherté de la vie qui a certainement pêché dans son fonctionnement. Puisque, jusque-là, il n’a pas pu ramener à leurs prix initiaux les produits de consommation. Au point où la population continue de subir la hausse des prix des denrées alors que des mesures de baisse des taxes ont été faites dans ce sens. Les augmentations des prix des produits ont été observées en fin d’année 2008. Avec le retour progressif sur le marché international, surtout la baisse du prix du pétrole, la population s’attendait à recevoir quelque chose en retour. C’est ce combat que devrait mener le comité de suivi qui s’est par ailleurs plongé dans un mutisme qui ne dit pas son nom.
H.K
