100 éléments de la police et de la gendarmerie des Forces armées des Forces nouvelles (FAFN) sont arrivés, hier, à l`état-major de cette force à Bouaké. En présence du mi-nistre de la défense Amany N’Guessan Michel, du porte-parole des forces nouvelles Konaté Sidiki, représentant le secrétaire général des FN, Guillaume Soro, et des généraux Soumaïla Bakayoko et Mangou Philippe, respectivement CEMA des FANCI et des FAFN.
Le ministre de la défense a, à cette occasion, exprimé la volonté du gouvernement à voir aboutir le processus de paix. Il s’est, en outre, félicité du mariage entre FDS et ex-rebelles. «C’est une grande joie qui m’anime ce jour, parce que nous sommes en phase de réussir le redéploiement des 8000 éléments qui devront sécuriser le pays», a-t-il indiqué, avant de passer la parole au porte-parole des Forces Nouvelles qui a, au nom de Guillaume Soro, traduit la détermination des Forces Nouvelles à respecter l’accord politique de Ouagadougou. Il a ajouté que le redéploiement de ces éléments se fera de façon progressive, compte tenus des difficultés financières de l’Etat.
Le général de brigade Soumaïla Bakayoko a abondé dans le même sens que son prédécesseur, pour réitérer la volonté de ses éléments à s’engager dans ce processus. «Vous pouvez compter sur nous, car nous sommes pour la paix», a-t-il déclaré.
Les éléments des Forces nouvelles, après les allocutions des autorités politiques et militaires, ont pris la route de Yamoussoukro à bord de 5 camions de troupes. Ils ont fait leur entrée dans la capitale politique aux environs de 17 h. Oû Ils ont été accueillis à leur arrivée par le commandant du CCI, le colonel-major Nicolas Kouakou.
Il faut noter que les éléments des Forces Nouvelles seront soumis ce matin à des procédures administratives dans les locaux du centre de commandement intégré (CCI), avant d’être déployés dans les zones centre- nord et ouest (CNO), où ils seront constitués en brigades mixtes (FDS-CI-FAFN). Ce processus s’inscrit dans les dispositions de l’Accord politique de Ouagadougou (APO) relatives à la sécurisation du processus de sortie de crise. Selon cet accord, c’est le Centre de commandement intégré (CCI) qui est chargé de la sécurisation du processus de sortie de crise .
Gervais Amany: gervaisamani@yahoo.fr
Le ministre de la défense a, à cette occasion, exprimé la volonté du gouvernement à voir aboutir le processus de paix. Il s’est, en outre, félicité du mariage entre FDS et ex-rebelles. «C’est une grande joie qui m’anime ce jour, parce que nous sommes en phase de réussir le redéploiement des 8000 éléments qui devront sécuriser le pays», a-t-il indiqué, avant de passer la parole au porte-parole des Forces Nouvelles qui a, au nom de Guillaume Soro, traduit la détermination des Forces Nouvelles à respecter l’accord politique de Ouagadougou. Il a ajouté que le redéploiement de ces éléments se fera de façon progressive, compte tenus des difficultés financières de l’Etat.
Le général de brigade Soumaïla Bakayoko a abondé dans le même sens que son prédécesseur, pour réitérer la volonté de ses éléments à s’engager dans ce processus. «Vous pouvez compter sur nous, car nous sommes pour la paix», a-t-il déclaré.
Les éléments des Forces nouvelles, après les allocutions des autorités politiques et militaires, ont pris la route de Yamoussoukro à bord de 5 camions de troupes. Ils ont fait leur entrée dans la capitale politique aux environs de 17 h. Oû Ils ont été accueillis à leur arrivée par le commandant du CCI, le colonel-major Nicolas Kouakou.
Il faut noter que les éléments des Forces Nouvelles seront soumis ce matin à des procédures administratives dans les locaux du centre de commandement intégré (CCI), avant d’être déployés dans les zones centre- nord et ouest (CNO), où ils seront constitués en brigades mixtes (FDS-CI-FAFN). Ce processus s’inscrit dans les dispositions de l’Accord politique de Ouagadougou (APO) relatives à la sécurisation du processus de sortie de crise. Selon cet accord, c’est le Centre de commandement intégré (CCI) qui est chargé de la sécurisation du processus de sortie de crise .
Gervais Amany: gervaisamani@yahoo.fr
