Les 4 et 5 mai derniers, les Organisations de la société civile (OSC) se sont réunis en séminaire afin d’harmoniser leurs différentes stratégies d’intervention dans le processus électoral.
Les travaux se sont déroulés en deux parties.
D’abord, des communications et des panels ont été organisés en vue de permettre aux différentes organisations de présenter leurs plans d’action. C’est ainsi que la vice-présidente de la Commission électorale indépendante (CEI), Mme Traoré Fatoumata, a fait un exposé sur le thème : “Comment appuyer les organisations de la société civile ivoirienne pour mieux renforcer la crédibilité du processus électoral”. Elle estime, à juste titre, que la réussite des élections repose sur trois piliers qui sont la société civile, les partis politiques et les médias. Elle pense donc que les OSC doivent connaître tous les détails du processus électoral, étant des relais de la sensibilisation auprès de la population.
C’est justement pourquoi la CEI forme les acteurs de la société civile afin qu’ils puissent intervenir efficacement dans la résolution des contentieux électoraux.
C’était lors de la première journée, le 4 mai.
Ensuite, la deuxième journée a été consacrée aux ateliers et aux séances plénières. A la suite de ces travaux, un cadre de concertation et d’harmonisation des outils de travail a été mis en place, ainsi qu’une cartographie de l’intervention des OSC durant le processus électoral.
En conséquence, ces organisations ont décidé de créer un espace d’échanges pour le renforcement des capacités des ONG et la synergie de leurs différentes actions. Elles pensent que cela ne sera possible que par l’allègement des procédures de financement des projets.
En outre, les acteurs de la société civile sont résolus à vulgariser leur code de bonne conduite, car prônant les principes d’impartialité et de neutralité qui doivent guider l’observateur électoral.
Quant au rôle de celui-ci, il est entendu que l’observateur électoral se doit de renforcer la confiance du peuple, en contribuant à l’acceptation des résultats et la limitation des cas d’intimidation et de violences.
Pour M. Traoré Wodjo Fini, coordonnateur général de la Coalition de la société civile pour la paix en Côte d’Ivoire (COSOP-CI), la mise en œuvre de ces résolutions nécessite un engagement des partis politiques. Il les exhorte donc à soutenir la société civile pour qu’elle intervienne de manière qualitative et quantitative pour des élections “justes, apaisées et démocratiques ”.
Ce séminaire a été organisé par la COSOP-CI, avec l’aide financière du Goree institut, un organisme très engagé pour le retour et le maintien de la paix en Côte d’Ivoire et partout ailleurs.
Anne-Marie Eba (Stagiaire)
Les travaux se sont déroulés en deux parties.
D’abord, des communications et des panels ont été organisés en vue de permettre aux différentes organisations de présenter leurs plans d’action. C’est ainsi que la vice-présidente de la Commission électorale indépendante (CEI), Mme Traoré Fatoumata, a fait un exposé sur le thème : “Comment appuyer les organisations de la société civile ivoirienne pour mieux renforcer la crédibilité du processus électoral”. Elle estime, à juste titre, que la réussite des élections repose sur trois piliers qui sont la société civile, les partis politiques et les médias. Elle pense donc que les OSC doivent connaître tous les détails du processus électoral, étant des relais de la sensibilisation auprès de la population.
C’est justement pourquoi la CEI forme les acteurs de la société civile afin qu’ils puissent intervenir efficacement dans la résolution des contentieux électoraux.
C’était lors de la première journée, le 4 mai.
Ensuite, la deuxième journée a été consacrée aux ateliers et aux séances plénières. A la suite de ces travaux, un cadre de concertation et d’harmonisation des outils de travail a été mis en place, ainsi qu’une cartographie de l’intervention des OSC durant le processus électoral.
En conséquence, ces organisations ont décidé de créer un espace d’échanges pour le renforcement des capacités des ONG et la synergie de leurs différentes actions. Elles pensent que cela ne sera possible que par l’allègement des procédures de financement des projets.
En outre, les acteurs de la société civile sont résolus à vulgariser leur code de bonne conduite, car prônant les principes d’impartialité et de neutralité qui doivent guider l’observateur électoral.
Quant au rôle de celui-ci, il est entendu que l’observateur électoral se doit de renforcer la confiance du peuple, en contribuant à l’acceptation des résultats et la limitation des cas d’intimidation et de violences.
Pour M. Traoré Wodjo Fini, coordonnateur général de la Coalition de la société civile pour la paix en Côte d’Ivoire (COSOP-CI), la mise en œuvre de ces résolutions nécessite un engagement des partis politiques. Il les exhorte donc à soutenir la société civile pour qu’elle intervienne de manière qualitative et quantitative pour des élections “justes, apaisées et démocratiques ”.
Ce séminaire a été organisé par la COSOP-CI, avec l’aide financière du Goree institut, un organisme très engagé pour le retour et le maintien de la paix en Côte d’Ivoire et partout ailleurs.
Anne-Marie Eba (Stagiaire)
