L'œuvre, “La victoire aux mains nues” inspirée de la crise ivoirienne, continue de faire le tour du monde.
“La victoire aux mains nues " est l'un des grands coups de Sidiki Bakaba. Le film documentaire de plus de 90 mn, tiré de la crise ivoirienne continue d'être vu dans plusieurs pays occidentaux. Mais surtout aux Usa, puisqu'il a été finalement doublé en anglais. A Hollywood comme dans certaines universités américaines, le film continue d'être vu. " On continue de le demander dans certains cercles de décisions " Révèle d'ailleurs son auteur. "La victoire aux mains nues " fait en tout cas, partie des films réussis sur la crise ivoirienne. C'est une œuvre profondément intimiste. Puisqu'elle a été faite avec le cœur. C'est comme un enfant qui par moments, porte des traits distinctifs de son père. Le film fait comprendre la crise ivoirienne. On ne le regarde pas avec les yeux. Mais avec le cœur. "Avant de tourner la page, il faut qu'on la lise bien. " Tente de caricaturer Bakaba. Le documentaire va un peu plus loin, au temps de la colonisation. Houphouët, son engagement dans la politique, son long combat pour la décolonisation et son fameux discours d'indépendance, tout y est. Puis vient le temps du pouvoir, le miracle économique, avec au final, l'effondrement de tout le système en 1990. Et l'arrivée de Ouattara à la Primature. Suivront tour à tour, l'arrivée de Bédié au pouvoir, le coup d'Etat de Guéi et à la fin, le temps de Gbagbo avec son corollaire de putsch. Puis la rébellion avec ses morts, les grands rassemblements patriotiques, l'entrée de la France dans la guerre. Le film montre tout et dit tout avec la rigueur cinématographique. Mais surtout les contraintes du documentaire. Il s'achève avec un monument. A savoir le doyen Bernard Dadié qui explique la Résistance. En somme, " La victoire aux mains nues " fait partie des films à voir et à revoir. Pourquoi pas sur les écrans de la Première avec à la fin, un débat autour.
Kiprindé Sonia
“La victoire aux mains nues " est l'un des grands coups de Sidiki Bakaba. Le film documentaire de plus de 90 mn, tiré de la crise ivoirienne continue d'être vu dans plusieurs pays occidentaux. Mais surtout aux Usa, puisqu'il a été finalement doublé en anglais. A Hollywood comme dans certaines universités américaines, le film continue d'être vu. " On continue de le demander dans certains cercles de décisions " Révèle d'ailleurs son auteur. "La victoire aux mains nues " fait en tout cas, partie des films réussis sur la crise ivoirienne. C'est une œuvre profondément intimiste. Puisqu'elle a été faite avec le cœur. C'est comme un enfant qui par moments, porte des traits distinctifs de son père. Le film fait comprendre la crise ivoirienne. On ne le regarde pas avec les yeux. Mais avec le cœur. "Avant de tourner la page, il faut qu'on la lise bien. " Tente de caricaturer Bakaba. Le documentaire va un peu plus loin, au temps de la colonisation. Houphouët, son engagement dans la politique, son long combat pour la décolonisation et son fameux discours d'indépendance, tout y est. Puis vient le temps du pouvoir, le miracle économique, avec au final, l'effondrement de tout le système en 1990. Et l'arrivée de Ouattara à la Primature. Suivront tour à tour, l'arrivée de Bédié au pouvoir, le coup d'Etat de Guéi et à la fin, le temps de Gbagbo avec son corollaire de putsch. Puis la rébellion avec ses morts, les grands rassemblements patriotiques, l'entrée de la France dans la guerre. Le film montre tout et dit tout avec la rigueur cinématographique. Mais surtout les contraintes du documentaire. Il s'achève avec un monument. A savoir le doyen Bernard Dadié qui explique la Résistance. En somme, " La victoire aux mains nues " fait partie des films à voir et à revoir. Pourquoi pas sur les écrans de la Première avec à la fin, un débat autour.
Kiprindé Sonia