Onze mai 2008, 11 mai 2009. Cela fait un an que le maître de la pensée, le premier président de la Société savante ivoirienne, l’Ascad, le Professeur Harris Memel Fotê, est décédé. En ce jour anniversaire, Mopoyem, le village dont il est originaire, et la fondation éponyme ont décidé de le célébrer, à travers une cérémonie dénommée ‘’Semaine Memel Fotê’’.
Cette célébration débutera dans le Leboutou, précisément à Mopoyem, dernier samedi, dès 10 heures ; avec une conférence sur le thème “Memel Fotê et le Leboutou ». Elle sera suivie d’une exposition sur la vie de l’homme.
Le reste des activités aura pour cadre la Fondation Memel Fotê.
Le lundi 11 mai, il est également prévu une conférence sur le thème: ‘’Memel Fotê, vie et œuvres d’un résistant’’. Elle sera suivie d’une exposition.
Laquelle se poursuivra dans la journée du mardi.
En initiant cette célébration, c’est une façon pour le Leboutou et les condisciples de Memel Fotê de revisiter l’homme et de lui rendre hommage pour ce qu’il a été et continue d’être pour eux. Ils ont ainsi décidé de ressusciter, une semaine durant, l’Anthropologue émérite pour s’instruire de ses pensées et puiser encore dans ses connaissances. Les grands hommes comme les grands penseurs ne meurent jamais.
M .C. Obindé
Cette célébration débutera dans le Leboutou, précisément à Mopoyem, dernier samedi, dès 10 heures ; avec une conférence sur le thème “Memel Fotê et le Leboutou ». Elle sera suivie d’une exposition sur la vie de l’homme.
Le reste des activités aura pour cadre la Fondation Memel Fotê.
Le lundi 11 mai, il est également prévu une conférence sur le thème: ‘’Memel Fotê, vie et œuvres d’un résistant’’. Elle sera suivie d’une exposition.
Laquelle se poursuivra dans la journée du mardi.
En initiant cette célébration, c’est une façon pour le Leboutou et les condisciples de Memel Fotê de revisiter l’homme et de lui rendre hommage pour ce qu’il a été et continue d’être pour eux. Ils ont ainsi décidé de ressusciter, une semaine durant, l’Anthropologue émérite pour s’instruire de ses pensées et puiser encore dans ses connaissances. Les grands hommes comme les grands penseurs ne meurent jamais.
M .C. Obindé