Le nombre de journalistes emprisonnés ou tués s’est accru de manière inquiétante, et ceux d’entre eux qui publient sur l’Internet sont de plus en plus souvent détenus par les gouvernements autocratiques, ont indiqué des spécialistes lors d’une conférence tenue à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse. La dissolution de l’Union soviétique vers la fin des années 1980 a inauguré une période de liberté de la presse, mais depuis quelques années on observe une tendance inverse caractérisée par un nombre croissant de journalistes qui sont incarcérés ou tués, a déclaré par le directeur général du Comité pour la protection des journalistes (CPJ), Joël Simon.
Le CPJ est un organisme indépendant à but non lucratif fondé en 1981 dans le but de promouvoir la liberté de la presse dans le monde en défendant le droit des journalistes de disséminer l’information sans crainte. Selon les statistiques établies par le CPJ, 11 journalistes ont été tués dans l’exercice de leurs fonctions au cours des quatre premiers mois de 2009 ; depuis janvier 1992, quelque 734 journalistes ont été tués. L’Irak est le pays le plus dangereux pour les journalistes, avec au moins 88 d’entre eux tués depuis le début de la guerre en 2003, la plupart par des insurgés et des membres des milices.
En outre, un grand nombre de journalistes, dont 125 rien qu’en 2008, ont été jetés en prison, indique le CPJ. Des 29 pays cités par le CPJ, c’est la Chine qui en a emprisonné le plus, et elle est suivie de Cuba, de la Birmanie, de ‘Éthiopie et de l’Ouzbékistan.
Source :
www.america.gov/fr
(Bureau des programmes d’information internationale du département d’Etat)
Le CPJ est un organisme indépendant à but non lucratif fondé en 1981 dans le but de promouvoir la liberté de la presse dans le monde en défendant le droit des journalistes de disséminer l’information sans crainte. Selon les statistiques établies par le CPJ, 11 journalistes ont été tués dans l’exercice de leurs fonctions au cours des quatre premiers mois de 2009 ; depuis janvier 1992, quelque 734 journalistes ont été tués. L’Irak est le pays le plus dangereux pour les journalistes, avec au moins 88 d’entre eux tués depuis le début de la guerre en 2003, la plupart par des insurgés et des membres des milices.
En outre, un grand nombre de journalistes, dont 125 rien qu’en 2008, ont été jetés en prison, indique le CPJ. Des 29 pays cités par le CPJ, c’est la Chine qui en a emprisonné le plus, et elle est suivie de Cuba, de la Birmanie, de ‘Éthiopie et de l’Ouzbékistan.
Source :
www.america.gov/fr
(Bureau des programmes d’information internationale du département d’Etat)