La rentrée politique de l’Union nationale des Ivoiriens du renouveau s’est déroulée le samedi 9 mai à Grand-Bassam en présence des présidents de sections et comités de bases.
"L’état de la situation sociopolitique de Côte d’Ivoire et du parti depuis sa création en juin 2006". Tels sont les deux sous-thèmes qui ont meublé cette première rentrée politique du parti du président Claude Sahi qui a décidé de redorer le blason de l’Unir autrefois taxé d’être un parti politique de putschistes. Se prononçant sur l’actualité marquant la vie de la nation ivoirienne, les militants de l’Unir à l’issue des travaux en commissions, ont relevé le fait que l’accord politique de Ouagadougou, au-delà de toute critique, a permis à la Côte d’Ivoire d’enregistrer des avancées significatives en direction de la réunification. Toute chose qui a permis, selon le rapport des commissions, aux populations ivoiriennes d’avoir une relative liberté de circulation sur l’ensemble du territoire national. ‘’A ce stade, il faut rendre un hommage mérité à la clairvoyance du Président de la République, M. Laurent Gbagbo dans sa recherche de paix par le dialogue et la réconciliation des Ivoiriens (…) Ce qui permet à la Côte d’Ivoire de retrouver progressivement toute sa vitalité’’, dit le rapport des différentes commissions. Dans la même veine, l’Unir a réaffirmé son soutien plein et entier à l’accord politique de Ouagadougou et entend prendre très prochainement une initiative nationale à l’endroit de la classe politique en vue de la création d’un forum pour la défense dudit accord. Mieux, les militants et sympathisants de l’Unir ont demandé à Guillaume Soro de tendre la main à tous ses dissidents et à toutes les forces capables d’aider à sécuriser l’Apo. S’agissant de la réduction de la pauvreté, le directoire de l’Unir souscrit entièrement l’initiative PPTE et s’élève contre tous ceux qui voudraient aller aux élections en excluant 25% du corps électoral. ‘’Que cette psychose de l’exclusion et de l’injustice ne puisse plus être utilisée en Côte d’Ivoire comme un fonds de commerce politique’’, souligne le rapport. Abordant le chapitre de la vie du parti, Claude Sahi et ses camarades ont dénoncé le fait que l’image de leur parti soit injustement associée à la tentative de coup d’Etat dénommée « Noël à Abidjan ». Une opération qu’ils qualifient de « honteuse ». Par la même occasion des mesures disciplinaires ont été prises à l’encontre de Bader Coulibaly, Bamba Bouaké, Bakayoko Moussa Boyard et Djangoné Bi qui auraient pris des positions contraires à la direction de l’Unir, par voies de presse. Des mesures justifiées par le fait que ‘’l’Unir ne saurait être l’instrument au service d’ambitions personnelles inavouées, surtout lorsqu’elles sont antidémocratiques et antirépublicaines’’. Fidèles à leur volonté sans cesse renouvelée de contribution à la renaissance d’une Côte d’Ivoire juste, libre et prospère, les responsables de l’Unir ont réaffirmé au sortir de ce congrès leur adhésion aux principes républicains de leur pays et ne sauraient se reconnaître dans tout acte ou action qui s’inscrit en dehors des principes sus énoncés. Ils ont également dénoncé les attaques gratuites des militants qui auraient proférées des menacent et qui sont sous le coup d’une sanction. Mieux, ils ont consolidé le pouvoir de Claude Sahi à qui ils ont réaffirmé leur soutien. Avant la tenue prochain du congrès qui passe nécessairement par la restructuration des comités de base et des sections, le bureau politique a demandé de façon expresse "d’éclairer l’opinion nationale et internationale à travers une action de communication plus significative afin de balayer le spectre Ibrahim Coulibaly".
Dosso Villard
"L’état de la situation sociopolitique de Côte d’Ivoire et du parti depuis sa création en juin 2006". Tels sont les deux sous-thèmes qui ont meublé cette première rentrée politique du parti du président Claude Sahi qui a décidé de redorer le blason de l’Unir autrefois taxé d’être un parti politique de putschistes. Se prononçant sur l’actualité marquant la vie de la nation ivoirienne, les militants de l’Unir à l’issue des travaux en commissions, ont relevé le fait que l’accord politique de Ouagadougou, au-delà de toute critique, a permis à la Côte d’Ivoire d’enregistrer des avancées significatives en direction de la réunification. Toute chose qui a permis, selon le rapport des commissions, aux populations ivoiriennes d’avoir une relative liberté de circulation sur l’ensemble du territoire national. ‘’A ce stade, il faut rendre un hommage mérité à la clairvoyance du Président de la République, M. Laurent Gbagbo dans sa recherche de paix par le dialogue et la réconciliation des Ivoiriens (…) Ce qui permet à la Côte d’Ivoire de retrouver progressivement toute sa vitalité’’, dit le rapport des différentes commissions. Dans la même veine, l’Unir a réaffirmé son soutien plein et entier à l’accord politique de Ouagadougou et entend prendre très prochainement une initiative nationale à l’endroit de la classe politique en vue de la création d’un forum pour la défense dudit accord. Mieux, les militants et sympathisants de l’Unir ont demandé à Guillaume Soro de tendre la main à tous ses dissidents et à toutes les forces capables d’aider à sécuriser l’Apo. S’agissant de la réduction de la pauvreté, le directoire de l’Unir souscrit entièrement l’initiative PPTE et s’élève contre tous ceux qui voudraient aller aux élections en excluant 25% du corps électoral. ‘’Que cette psychose de l’exclusion et de l’injustice ne puisse plus être utilisée en Côte d’Ivoire comme un fonds de commerce politique’’, souligne le rapport. Abordant le chapitre de la vie du parti, Claude Sahi et ses camarades ont dénoncé le fait que l’image de leur parti soit injustement associée à la tentative de coup d’Etat dénommée « Noël à Abidjan ». Une opération qu’ils qualifient de « honteuse ». Par la même occasion des mesures disciplinaires ont été prises à l’encontre de Bader Coulibaly, Bamba Bouaké, Bakayoko Moussa Boyard et Djangoné Bi qui auraient pris des positions contraires à la direction de l’Unir, par voies de presse. Des mesures justifiées par le fait que ‘’l’Unir ne saurait être l’instrument au service d’ambitions personnelles inavouées, surtout lorsqu’elles sont antidémocratiques et antirépublicaines’’. Fidèles à leur volonté sans cesse renouvelée de contribution à la renaissance d’une Côte d’Ivoire juste, libre et prospère, les responsables de l’Unir ont réaffirmé au sortir de ce congrès leur adhésion aux principes républicains de leur pays et ne sauraient se reconnaître dans tout acte ou action qui s’inscrit en dehors des principes sus énoncés. Ils ont également dénoncé les attaques gratuites des militants qui auraient proférées des menacent et qui sont sous le coup d’une sanction. Mieux, ils ont consolidé le pouvoir de Claude Sahi à qui ils ont réaffirmé leur soutien. Avant la tenue prochain du congrès qui passe nécessairement par la restructuration des comités de base et des sections, le bureau politique a demandé de façon expresse "d’éclairer l’opinion nationale et internationale à travers une action de communication plus significative afin de balayer le spectre Ibrahim Coulibaly".
Dosso Villard
