S’il est avéré que l’usage des machines permet la détection rapide des agents pathogènes tels les bactéries, les parasites, les virus, ce n’est pas encore le cas en microbiologie. Ce qui constitue une préoccupation majeure qui a fait l’objet d’une conférence ayant réuni mercredi dernier tous les professionnels de la santé à l’Institut national de la santé publique (Insp) d’Adjamé.
Le thème de cette causerie débat est: «l’automatisation de la microbiologie, quel intérêt ?»
Selon la conférencière, Pr Akoua Koffi, agrégée de microbiologie à l’Ufr des sciences médicales de Bouaké, l’entrée des technologies innovantes dans les laboratoires de microbiologie révèle de grands avantages pour tous les acteurs de la santé. Le patient pourra être satisfait rapidement en terme de résultats et totalement pris en charge. Le biologiste lui, bénéficie d’un gain de temps, et par conséquent, d’un meilleur rendement. Quant à l’administration, elle pourra être restructurée par le report de certaines tâches manuelles. Eu égard à tous ces avantages, les participants ont plaidé pour l’automatisation complète des laboratoires de microbiologie. Chose qui pourrait compenser le manque croissant de personnel spécialisé et contribuer ainsi à la maîtrise des dépenses de santé et de sécurité alimentaire. Cependant, un problème demeure, c’est celui du coût excessif des appareils.
M. G
Le thème de cette causerie débat est: «l’automatisation de la microbiologie, quel intérêt ?»
Selon la conférencière, Pr Akoua Koffi, agrégée de microbiologie à l’Ufr des sciences médicales de Bouaké, l’entrée des technologies innovantes dans les laboratoires de microbiologie révèle de grands avantages pour tous les acteurs de la santé. Le patient pourra être satisfait rapidement en terme de résultats et totalement pris en charge. Le biologiste lui, bénéficie d’un gain de temps, et par conséquent, d’un meilleur rendement. Quant à l’administration, elle pourra être restructurée par le report de certaines tâches manuelles. Eu égard à tous ces avantages, les participants ont plaidé pour l’automatisation complète des laboratoires de microbiologie. Chose qui pourrait compenser le manque croissant de personnel spécialisé et contribuer ainsi à la maîtrise des dépenses de santé et de sécurité alimentaire. Cependant, un problème demeure, c’est celui du coût excessif des appareils.
M. G