Une importante conférence internationale sur la noix de cajou se tient aujourd’hui et demain au complexe CRRAE-UEMOA à Abidjan-Plateau. Les acteurs africains de la filière cajou vont sérieusement réfléchir sur la transformation locale de la noix de cajou, relever les défis et les perspectives de cette filière.
Le financement de la filière, la stratégie de promotion et de commercialisation des amandes de cajou africaines, les politiques fiscales d’incitation au développement de l’industrialisation de la noix de cajou en Afrique, et l’état des lieux de l’industrialisation de cette noix seront passés au peigne fin.
Diabaté Gaoussou, expert consultant international, exposera sur l’état des lieux de l’industrialisation de la noix de cajou africaine. Touré Gaoussou, président du conseil d’administration de l’Association pour le développement de la filière cajou africaine, éclairera la lanterne des participants à cette conférence sur les politiques fiscales d’incitation au développement de l’industrialisation de la noix de cajou en Afrique. Touré Mohamed, directeur projet qualité de Association Afrique expert (AAFEX), communiquera sur le programme de démarche qualité à mettre en place autour des usines. Christan Dahm, secrétaire exécutif de l’Alliance cajou africaine (ACA) défendra la politique de promotion et de commercialisation des amandes cajou africaines. Enfin, Shakti Pal, expert consultant international, entretiendra l’assistance sur la gestion rationnelle des unités de transformation de la noix de cajou.
L’Afrique produit plus de 650 mille tonnes de cajou et assure plus du tiers de la production mondiale. Si l’Inde, le Vietnam et le Brésil, qui assurent presque la totalité de la production des deux tiers restants, transforment la totalité de leurs productions, ce n’est pas le cas de l’Afrique qui traite à peine 2% de sa production. Elle est donc totalement absente sur le marché international des amandes cajou. Plus de 98% de la production africaine est exportée en état brut en Inde et au Vietnam.
Charles Bédé
Le financement de la filière, la stratégie de promotion et de commercialisation des amandes de cajou africaines, les politiques fiscales d’incitation au développement de l’industrialisation de la noix de cajou en Afrique, et l’état des lieux de l’industrialisation de cette noix seront passés au peigne fin.
Diabaté Gaoussou, expert consultant international, exposera sur l’état des lieux de l’industrialisation de la noix de cajou africaine. Touré Gaoussou, président du conseil d’administration de l’Association pour le développement de la filière cajou africaine, éclairera la lanterne des participants à cette conférence sur les politiques fiscales d’incitation au développement de l’industrialisation de la noix de cajou en Afrique. Touré Mohamed, directeur projet qualité de Association Afrique expert (AAFEX), communiquera sur le programme de démarche qualité à mettre en place autour des usines. Christan Dahm, secrétaire exécutif de l’Alliance cajou africaine (ACA) défendra la politique de promotion et de commercialisation des amandes cajou africaines. Enfin, Shakti Pal, expert consultant international, entretiendra l’assistance sur la gestion rationnelle des unités de transformation de la noix de cajou.
L’Afrique produit plus de 650 mille tonnes de cajou et assure plus du tiers de la production mondiale. Si l’Inde, le Vietnam et le Brésil, qui assurent presque la totalité de la production des deux tiers restants, transforment la totalité de leurs productions, ce n’est pas le cas de l’Afrique qui traite à peine 2% de sa production. Elle est donc totalement absente sur le marché international des amandes cajou. Plus de 98% de la production africaine est exportée en état brut en Inde et au Vietnam.
Charles Bédé
