A soixante ans bien sonnés, Traoré Le Puissant semble porter allègrement le poids de son âge. A Treichville, on dira qu’il fait “moins vieux que son âge”. Parce que, à la vérité, ce membre fondateur du Front populaire ivoirien vit utile.
M. Traoré Amadou, c’est son nom à l’état civil, est né à Treichville (Abidjan). Feu son père (El Hadj Bangaly Traoré) était originaire de Djola ou Djolola tandis que sa mère, Hadja Salimata Bamba, est de Kotoula, des villages de la sous-préfecture de Tienko, dans le département d’Odienné (Région des Savanes, à l’extrême Nord Ouest de la Côte d’Ivoire). De l’ex-Ecole Régionale de Treichville où il fait ses classes dans la même promotion que l’Homme d’Asmara, le célèbre footballeur Laurent Pokou, Traoré Amadou fréquente aussi l’ex-Ecole secondaire ANAMACI d’Adjamé avant de débarquer en France, au début des années 70, pour ses études supérieures. C’est d’ailleurs à Strasbourg, la ville de son engagement politique, que le bouillant étudiant s’inscrit à l’Institut professionnel supérieur et technique (IPST) dans la filière Physique et Thermodynamique.
Ses études sanctionnées par un diplôme d’ingénieur en Thermodynamique et par une maîtrise en Electricité, le vieux compagnon du président Gbagbo crée par la suite son entreprise en Thermodynamique en Alsace. Traoré Le Puissant, le chef d’entreprise, est marié à une Togolaise. De cette union, sont nés trois enfants : un garçon, l’aîné, docteur en Economie et ingénieur en Informatique ; la cadette, titulaire d’un master en Chimie, responsable d’un laboratoire en Alsace et, la benjamine, en formation pour l’enseignement.
A quand le retour en Côte d’Ivoire pour prolonger, lui aussi, le combat sur le terrain ? “C’est à voir”, répond Traoré Le Puissant, sourire aux lèvres.
C.E.
M. Traoré Amadou, c’est son nom à l’état civil, est né à Treichville (Abidjan). Feu son père (El Hadj Bangaly Traoré) était originaire de Djola ou Djolola tandis que sa mère, Hadja Salimata Bamba, est de Kotoula, des villages de la sous-préfecture de Tienko, dans le département d’Odienné (Région des Savanes, à l’extrême Nord Ouest de la Côte d’Ivoire). De l’ex-Ecole Régionale de Treichville où il fait ses classes dans la même promotion que l’Homme d’Asmara, le célèbre footballeur Laurent Pokou, Traoré Amadou fréquente aussi l’ex-Ecole secondaire ANAMACI d’Adjamé avant de débarquer en France, au début des années 70, pour ses études supérieures. C’est d’ailleurs à Strasbourg, la ville de son engagement politique, que le bouillant étudiant s’inscrit à l’Institut professionnel supérieur et technique (IPST) dans la filière Physique et Thermodynamique.
Ses études sanctionnées par un diplôme d’ingénieur en Thermodynamique et par une maîtrise en Electricité, le vieux compagnon du président Gbagbo crée par la suite son entreprise en Thermodynamique en Alsace. Traoré Le Puissant, le chef d’entreprise, est marié à une Togolaise. De cette union, sont nés trois enfants : un garçon, l’aîné, docteur en Economie et ingénieur en Informatique ; la cadette, titulaire d’un master en Chimie, responsable d’un laboratoire en Alsace et, la benjamine, en formation pour l’enseignement.
A quand le retour en Côte d’Ivoire pour prolonger, lui aussi, le combat sur le terrain ? “C’est à voir”, répond Traoré Le Puissant, sourire aux lèvres.
C.E.
