Le RDR, lors de son meeting organisé ce samedi 9 mai à Yopougon à la place Ficgayo, déclarait par son leader Alassane Dramane Ouattara, que les élections doivent se tenir sans le désarmement. Les faits cités se révèlent d'une gravité sans pareille. Qu'à cela ne tienne !
Nous savons tous que, depuis le 19 Septembre 2002, la Côte d'Ivoire vit la plus grave crise de son histoire, une crise qui dure bientôt plus de 7 ans. Pourtant, avant cette date, en 2000, les Ivoiriens avaient à l'unanimité porté à la tête de ce pays Son Excellence Monsieur Laurent Gbagbo, candidat du FPI. Nous jeunes qui avions placé notre destinée entre les mains de cet grand homme étions convaincus de son plan de développement qui prévoyait la santé et l'école gratui- tes pour tous, un toit et un travail pour chaque Ivoirien.
Nous avons compris que toutes ces années passées dans l'opposition lui ont permis de comprendre nos peines, nos souffrances, nos difficultés et nos attentes. Laurent Gbagbo avait une vision pour nous les jeunes il était notre espoir. Mais notre bonheur qui passait avant toute chose pour lui freinait l'appétit égoïste, mesquin et égocentrique de ses adversaires, qui sont en réalité les ennemis de la Côte d'Ivoire. Pour eux, laisser Laurent Gbagbo exécuter son programme pour le bonheur des Ivoiriens en 5 années porterait atteinte à leur existence politique, ce qui les rangerait tous dans les oubliettes. Chose qu'ils ne pouvaient admettre. Les conséquences ont été connues de tous. Beaucoup d'Ivoiriens ont été tués et beaucoup d'autres encore gardent les marques indélébiles de cette barbarie. Les Ivoiriens ont connu les pires moments de leur vécu. Mais nous sommes restés comme un seul homme debout autour de notre leader Laurent Gbagbo.
Après l'échec programmé des armes, la deuxième stratégie des ennemis de la Côte d’Ivoire a été d'asphyxier notre économie pour susciter un soulèvement populaire.
En interdisant le retour de certaines institutions et en privant la Côte d'Ivoire de toute aide financière, en utilisant comme prétexte “l'embargo sur les armes” pour freiner jusqu'à 95% les mouvements d'entrée des navires dans nos différents ports et en entretenant constamment la division, le désordre, la peur, ces ennemis de la Côte d'Ivoire savaient que toutes ces actions rendraient les Ivoiriens malades, pauvres et misérables. Ils savaient que cela provoquerait l'insécurité, la corruption, le pillage, les détournements de fonds, le chômage.
Ces ennemis pensaient que toutes ces actions révolteraient nous les jeunes contre le président Laurent Gbagbo. Mais nous sommes restés debout autour de notre leader. Aujourd’hui, certains d'entre eux ont compris qu'il ne valait plus la peine de comploter contre les Ivoiriens et qu'il fallait désormais prendre en compte cette vision de Laurent Gbagbo pour nous les jeunes.
Nous devons être fiers de notre victoire, nous devons être fiers de notre président, celui que toute l’Afrique célèbre pour son courage et sa détermination. Aujour-d'hui, cette page sombre est tournée grâce aux accords politiques initiés par le président de la République Laurent Gbagbo, le Premier ministre Guillaume Soro et le président du Burkina Faso Blaise Compaoré. La Côte d'Ivoire est sur le point de retrouver définitivement la paix pour le plus grand bonheur de tous les Ivoiriens. Tant d'efforts, tant de sacrifices et tant d'éner-gie ont été déployés pour que le RDR et son leader viennent tout saboter. Alassane Dramane Ouat-tara et le RDR, à cause des élections qu'ils réclament, admettent que les enfants-soldats tiennent toujours les armes, contrairement à Laurent Gbagbo qui leur demande de déposer les armes pour retrouver le chemin de l'école gratuite qu'il leur a promise après les élections.
Pour Alassane Dramane Ouattara et le RDR, à cause des élections qu'ils réclament, les Ivoiriens devraient apprendre à vivre désormais divisés au milieu des armes, dans la psychose, la terreur, contrairement à Laurent Gbagbo et la jeunesse ivoirienne qui souhaitent à tout prix la paix, l'unité, la réconciliation, la fraternité pour des élections et le bonheur de tous les Ivoiriens.
C'est pourquoi nous jeunes de TGV-Gbagbo demandons à l'ONU et à la communauté internationale d'interpeller le RDR et son leader Alassane Dramane Ouattara au sujet de toutes ces manœuvres déstabilisatrices qui mettent en péril cette paix tant recherchée par les Ivoiriens.
Nous mettons en garde tous les hommes d'Alassa-ne Ouattara tapis dans les zones ex-assiégées qui tenteront quoi que ce soit pour mettre un frein à cette opération pour la paix qui est en marche.
Nous félicitons toute la jeunesse ivoirienne sans exception pour sa résistance et pour avoir compris le sens de cette lutte.
Nous encourageons et soutenons les forces de défense et de sécurité et les fafn qui ne ménagent aucun effort pour s'inscrire dans l'accord politique de Ouaga.
Nous remercions aussi les autorités préfectorales, ad-ministratives qui prendront bientôt fonction.
Nous invitons tous les acteurs politiques à soutenir ce redéploiement des forces mixtes pour le recouvrement de l'intégrité territoriale.
Vive la Côte d’Ivoire et vive la paix !
Fait à Abidjan, le 13 Mai 2009 Antony Nianzou Aka Président National de la Jeunesse TGV-Gbagbo
Nous savons tous que, depuis le 19 Septembre 2002, la Côte d'Ivoire vit la plus grave crise de son histoire, une crise qui dure bientôt plus de 7 ans. Pourtant, avant cette date, en 2000, les Ivoiriens avaient à l'unanimité porté à la tête de ce pays Son Excellence Monsieur Laurent Gbagbo, candidat du FPI. Nous jeunes qui avions placé notre destinée entre les mains de cet grand homme étions convaincus de son plan de développement qui prévoyait la santé et l'école gratui- tes pour tous, un toit et un travail pour chaque Ivoirien.
Nous avons compris que toutes ces années passées dans l'opposition lui ont permis de comprendre nos peines, nos souffrances, nos difficultés et nos attentes. Laurent Gbagbo avait une vision pour nous les jeunes il était notre espoir. Mais notre bonheur qui passait avant toute chose pour lui freinait l'appétit égoïste, mesquin et égocentrique de ses adversaires, qui sont en réalité les ennemis de la Côte d'Ivoire. Pour eux, laisser Laurent Gbagbo exécuter son programme pour le bonheur des Ivoiriens en 5 années porterait atteinte à leur existence politique, ce qui les rangerait tous dans les oubliettes. Chose qu'ils ne pouvaient admettre. Les conséquences ont été connues de tous. Beaucoup d'Ivoiriens ont été tués et beaucoup d'autres encore gardent les marques indélébiles de cette barbarie. Les Ivoiriens ont connu les pires moments de leur vécu. Mais nous sommes restés comme un seul homme debout autour de notre leader Laurent Gbagbo.
Après l'échec programmé des armes, la deuxième stratégie des ennemis de la Côte d’Ivoire a été d'asphyxier notre économie pour susciter un soulèvement populaire.
En interdisant le retour de certaines institutions et en privant la Côte d'Ivoire de toute aide financière, en utilisant comme prétexte “l'embargo sur les armes” pour freiner jusqu'à 95% les mouvements d'entrée des navires dans nos différents ports et en entretenant constamment la division, le désordre, la peur, ces ennemis de la Côte d'Ivoire savaient que toutes ces actions rendraient les Ivoiriens malades, pauvres et misérables. Ils savaient que cela provoquerait l'insécurité, la corruption, le pillage, les détournements de fonds, le chômage.
Ces ennemis pensaient que toutes ces actions révolteraient nous les jeunes contre le président Laurent Gbagbo. Mais nous sommes restés debout autour de notre leader. Aujourd’hui, certains d'entre eux ont compris qu'il ne valait plus la peine de comploter contre les Ivoiriens et qu'il fallait désormais prendre en compte cette vision de Laurent Gbagbo pour nous les jeunes.
Nous devons être fiers de notre victoire, nous devons être fiers de notre président, celui que toute l’Afrique célèbre pour son courage et sa détermination. Aujour-d'hui, cette page sombre est tournée grâce aux accords politiques initiés par le président de la République Laurent Gbagbo, le Premier ministre Guillaume Soro et le président du Burkina Faso Blaise Compaoré. La Côte d'Ivoire est sur le point de retrouver définitivement la paix pour le plus grand bonheur de tous les Ivoiriens. Tant d'efforts, tant de sacrifices et tant d'éner-gie ont été déployés pour que le RDR et son leader viennent tout saboter. Alassane Dramane Ouat-tara et le RDR, à cause des élections qu'ils réclament, admettent que les enfants-soldats tiennent toujours les armes, contrairement à Laurent Gbagbo qui leur demande de déposer les armes pour retrouver le chemin de l'école gratuite qu'il leur a promise après les élections.
Pour Alassane Dramane Ouattara et le RDR, à cause des élections qu'ils réclament, les Ivoiriens devraient apprendre à vivre désormais divisés au milieu des armes, dans la psychose, la terreur, contrairement à Laurent Gbagbo et la jeunesse ivoirienne qui souhaitent à tout prix la paix, l'unité, la réconciliation, la fraternité pour des élections et le bonheur de tous les Ivoiriens.
C'est pourquoi nous jeunes de TGV-Gbagbo demandons à l'ONU et à la communauté internationale d'interpeller le RDR et son leader Alassane Dramane Ouattara au sujet de toutes ces manœuvres déstabilisatrices qui mettent en péril cette paix tant recherchée par les Ivoiriens.
Nous mettons en garde tous les hommes d'Alassa-ne Ouattara tapis dans les zones ex-assiégées qui tenteront quoi que ce soit pour mettre un frein à cette opération pour la paix qui est en marche.
Nous félicitons toute la jeunesse ivoirienne sans exception pour sa résistance et pour avoir compris le sens de cette lutte.
Nous encourageons et soutenons les forces de défense et de sécurité et les fafn qui ne ménagent aucun effort pour s'inscrire dans l'accord politique de Ouaga.
Nous remercions aussi les autorités préfectorales, ad-ministratives qui prendront bientôt fonction.
Nous invitons tous les acteurs politiques à soutenir ce redéploiement des forces mixtes pour le recouvrement de l'intégrité territoriale.
Vive la Côte d’Ivoire et vive la paix !
Fait à Abidjan, le 13 Mai 2009 Antony Nianzou Aka Président National de la Jeunesse TGV-Gbagbo
