Niyonnsaba Ambroise (Union africaine) : “C'est une bonne initiative”
«C'est une bonne initiative pour sensibiliser la société civile pour que les Ivoiriens se sentent responsables de ce qui se passe chez eux. C'est très bien. C'est à encourager. L'Union africaine a apporté comme l'a dit l'un des organisateurs, un appui politique. Dans la mesure où cette idée est née à une époque où l'on a parlé de forum de dialogue national. Et l'Union africaine lors d'une réunion du Conseil de sécurité et de paix, a appuyé cette idée et l'a transmise aux Nations unies qui dans le cadre de la résolution des conflits a appuyé cela».
Georg Charpentier (Coordonnateur des systèmes de l'Onu) : “Ces journées sont importantes”
«Je pense que ces journées sont importantes. Car, elles permettent de s'exprimer en profondeur et ouvertement sur le processus de sortie de crise. Je peux dire que la convention de la société civile avec laquelle les Nations unies travaillent dans plusieurs domaines possède l'avantage d'être assez représentative de cette société civile grâce à sa diversité et à sa représentativité au niveau de la base. Beaucoup de positions et d'opinions seront formulées. C'est au bénéfice de tous d'écouter. Et il faudra en tenir compte».
Diabaté Bêh (Représentant du Fpi) : «La société civile s'organise»
«La société civile ivoirienne est en train de s'organiser. Qui dit société civile, parle des forces vives mais, qui n'exercent pas le pouvoir. Leur rôle c'est de faire des propositions de sortie de crise à ceux qui exercent le pouvoir. Ces journées ont cours et la société civile peut s'orienter toute seule sans les partis politiques. Qu'elle fasse ses réflexions et qu'elle les soumette au gouvernement».
Léon Oga (Président du collectif des chefs coutumiers Tchaman) : «Un grand espoir pour le pays»
«Ce qu'on peut en attendre c'est une grand espoir pour notre pays qui est en train de sortir de cette crise. De sorte qu'à la veille des prochaines élections, nous espérons que grâce aux résolutions de ces assises, le scrutin sera transparent et crédible. Il faut le faire ainsi pour que nous puissions retrouver une Côte d'Ivoire réunifiée unie et prospère».
Propos recueillis par DS et KM
«C'est une bonne initiative pour sensibiliser la société civile pour que les Ivoiriens se sentent responsables de ce qui se passe chez eux. C'est très bien. C'est à encourager. L'Union africaine a apporté comme l'a dit l'un des organisateurs, un appui politique. Dans la mesure où cette idée est née à une époque où l'on a parlé de forum de dialogue national. Et l'Union africaine lors d'une réunion du Conseil de sécurité et de paix, a appuyé cette idée et l'a transmise aux Nations unies qui dans le cadre de la résolution des conflits a appuyé cela».
Georg Charpentier (Coordonnateur des systèmes de l'Onu) : “Ces journées sont importantes”
«Je pense que ces journées sont importantes. Car, elles permettent de s'exprimer en profondeur et ouvertement sur le processus de sortie de crise. Je peux dire que la convention de la société civile avec laquelle les Nations unies travaillent dans plusieurs domaines possède l'avantage d'être assez représentative de cette société civile grâce à sa diversité et à sa représentativité au niveau de la base. Beaucoup de positions et d'opinions seront formulées. C'est au bénéfice de tous d'écouter. Et il faudra en tenir compte».
Diabaté Bêh (Représentant du Fpi) : «La société civile s'organise»
«La société civile ivoirienne est en train de s'organiser. Qui dit société civile, parle des forces vives mais, qui n'exercent pas le pouvoir. Leur rôle c'est de faire des propositions de sortie de crise à ceux qui exercent le pouvoir. Ces journées ont cours et la société civile peut s'orienter toute seule sans les partis politiques. Qu'elle fasse ses réflexions et qu'elle les soumette au gouvernement».
Léon Oga (Président du collectif des chefs coutumiers Tchaman) : «Un grand espoir pour le pays»
«Ce qu'on peut en attendre c'est une grand espoir pour notre pays qui est en train de sortir de cette crise. De sorte qu'à la veille des prochaines élections, nous espérons que grâce aux résolutions de ces assises, le scrutin sera transparent et crédible. Il faut le faire ainsi pour que nous puissions retrouver une Côte d'Ivoire réunifiée unie et prospère».
Propos recueillis par DS et KM
