Le Forum national du Pdci organise le samedi prochain, un meeting au stade de Williamsville à Adjamé. Avec pour invité, le président du Pdci, Henri Konan Bédié. Dans cet entretien, le président Atsé Jean Claude parle des dispositions sécuritaires et de la mobilisation. Tout en assénant ses vérités au régime en place.
Vous recevez le président du Pdci le 6 juin prochain au stade de Williamsville. A quelques jours de ce grand rendez-vous, où en êtes-vous avec l'organisation et la mobilisation ?
Je voudrais dans un premier temps remercier le président candidat Henri Konan Bédié. Parce que donner son accord pour venir à une cérémonie aussi importante pour la société civile, venir écouter les menuisiers, les maçons, les coiffeurs, les chauffeurs, c'est vraiment un honneur pour notre milieu. C'est pourquoi je voudrais dire merci au président du Pdci-Rda, au candidat de la jeunesse, au candidat de la société civile qu'est Bédié. Qui a suspendu toutes ses activités ce jour pour venir écouter la société civile qui le soutient. Je voudrais donc, au nom de cette société civile que je représente, lui dire merci d'avoir accepté l'invitation des ouvriers. D'avoir accepté de venir écouter les misérables tel que Laurent Gbagbo les a fabriqués aujourd'hui dans ce pays. Pour ce qui concerne l'organisation, c'est une joie pour l'ensemble de la société civile de recevoir M. Bédié. Les chauffeurs de "Gbaka" et de Wôrô-wôrô", les chauffeurs de taxi m'ont confié ceci : " président Atsé, pour Bédié, nous acceptons de perdre nos recettes de jeudi, de vendredi et de samedi. Et nous allons reprendre le travail le dimanche ". Je voudrais donc dire qu'en terme de disposition, tous les corps de métier sont mobilisés. Les élèves et les étudiants ont leur organisation particulière. Les maçons, les menuisiers et les autres ouvriers ont une organisation spécifique. Les cadres s'organisent également. Les jeunes ruraux s'organisent activement. Le président des retraités de la cellule du Forum du Pdci et ses membres s'organisent également à leur niveau. Pour réserver un accueil chaleureux au futur président de la République. Je peux donc vous dire qu'en ce qui concerne la mobilisation, tous les présidents communaux du forum sont sur le terrain depuis trois semaines pour passer le message à la base. Les jeunes footballeurs s'organisent à leur niveau, dans la commune de Marcory. Je voudrais leur tirer le chapeau. Parce que lors de mon passage, ils étaient deux mille. Avec à leur tête le jeune Séry Bi Jean Jacques. Ces jeunes avaient neuf ans lors du coup d'Etat. Et ils m'ont dit " président, on avait neuf ans quand il y a eu le coup d'Etat. Les uns et les autres nous ont raconté beaucoup de choses sur M. Bédié. Mais lorsqu'on fait la compassion entre ce qu'ils nous ont dit et ce qu'ils font, ils sont pires que Bédié. Donc Bédié est mieux que ceux-là. Ils préfèrent confier leur avenir à M. Henri Konan Bédié. Donc Bédié est leur candidat. Ils viendront donc au stade de Williamsville ce jour pour montrer que les jeunes de 18, 19 et 20 ans sont les plus nombreux à croire en M. Bédié.
A vous entendre parler, on peut s'attendre à une mobilisation grandeur nature. Avez-vous pris des dispositions sécuritaires pour garantir une belle fête ?
En ce qui concerne la sécurité, nous avons d'abord celle de Dieu parce que nous sommes dans la vérité. Mais nous sommes organisés au niveau du Forum à travers la bridage de paix et de sécurité. Qui compte aujourd'hui 35000 jeunes. Pour cet évènement particulier, nous avons dépêché 10.000 jeunes pour la sécurité de Williamsville. Je tiens à préciser que le colonel major Ettien Benjamin que j'ai nommé s'active à ce que tout soit sous contrôle. Et je suis convaincu que Bédié sera plus en sécurité que Barak Obama ce jour-là.
En dehors des jeunes du Forum, avez-vous contacté les forces de défense et de sécurité (Fds) ?
Vous savez que le Forum est une structure organisée. Du haut de sa maturité, le Forum est respectueux des institutions de l'Etat. Donc nous avons saisi la police pour assurer la sécurité, en dehors de nos dispositions traditionnelles. Mais nous comptons aussi sur nos hommes.
Votre candidat Henri Konan Bédié sera à Williamsville. Les maçons, menuisiers, chauffeurs… seront présents. Quel message allez-vous lui adresser ?
D'abord les différents corps de métier vont pleurer devant Bédié. Pour lui montrer ce qu'ils vivent. Mais je vais vous dire ceci, lorsque le patient se retrouve devant le médecin, il lui appartient de dire au médecin où il a mal. Et le médecin lui prescrit l'ordonnance appropriée pour aller acheter le médicament qu'il faut. Alors toutes les couches socio-professionnelles représentées ce jour-là diront à Bédié où ils ont mal. Et Bédié qui est le seul médecin capable de régler leur problème, leur donnera les réponses appropriées. Mais déjà, la présence de Bédié guérit les malades que nous sommes à moitié. Parce qu'un malade qui reçoit la visite d'un médecin est moralement soulagé. Et lorsqu'en plus de cela il reçoit des soins, il est doublement guéri. Sa présence nous réconforte tous parce que pour nous, le programme de Bédié qui se résume " au progrès pour tous et le bonheur pour chacun " est toujours d'actualité. Parce que les douze chantiers de l'Eléphant d'Afrique et le bilan à mi-parcours de l'action gouvernementale du président Bédié que nous avons synthétisé en deux supports audiovisuels donnent de l'espoir aux jeunes. Et en écoutant Bédié le samedi prochain, dans son programme nouveau réadapté à la situation misérable extrême de Ppte que traversent ces artisans, ces menuisiers, ces ouvriers… Je suis convaincu qu'ils seront soulagés et ils pourront espérer de la vie.
Quel est le sentiment qui vous anime personnellement à quelques heures de cet évènement ? Et que réservez-vous aux Ivoiriens ?
C'est un sentiment de fierté qui m'anime en ce moment. De recevoir un grand homme. De recevoir, pas un boulanger, pas un roublard, pas un bavard. Mais quelqu'un qui inspire confiance. Un homme sérieux, un homme de haute maturité, un homme pétri d'expérience qu'est Bédié. Quelqu'un qui connaît la Côte d'Ivoire. Quelqu'un qui connaît les problèmes des Ivoiriens et qui a la solution aux problèmes des Ivoiriens. C'est cela surtout qui fait la fierté à mon niveau. Parce que, voyez-vous, on peut recevoir qui on veut. Mais est-ce que celui que tu reçois peut solutionner ton problème ? Depuis 2000, on ne fait que bavarder dans ce pays. Les problèmes sont là et demeurent. Dans les hôpitaux, les gens meurent. Dans les universités, il n'y a plus d'école. Les amphithéâtres et les bibliothèques n'existent plus. Il n'y a pas de paiement de bourse. Les cités universitaires n'existent presque plus, c'est la Fesci qui décide de l'attribution des chambres. Alors voyez-vous, c'est une grande fierté et une joie de recevoir un père digne. Le docteur Henri Konan Bédié (docteur en économie et en droit), il connaît le problème des Ivoiriens. Il est respectueux des droits de l'homme. J'ai tourné dans les petits quartiers et je vois des familles qui mangent une sauce en trois jours. Des gens ne peuvent pas se soigner. Ils utilisent les médicaments de la rue et sont exposés à l'insuffisance rénale. Ils sont exposés à la prostitution, au Sida. La jeunesse se meurt et ceux qui ont des diplômes sont contraints de gérer des cabines cellulaires. C'est ça les problèmes qu'il faut régler. Et c'est cela qui fait que Bédié est l'espoir. Parce que sous Bédié, il n'y avait pas de cabine cellulaire comme emploi proposé aux jeunes. C'était la confiance avec les bailleurs de fonds qui créaient beaucoup d'emplois pour les jeunes. Bédié a fait ce qu'il devrait faire et il devrait hisser la Côte d'Ivoire à un niveau respectable lorsque les ennemis de la Côte d'Ivoire sont venus faire ce coup d'Etat stupide. Et depuis 1999, la Côte d'Ivoire s'est arrêtée. Rien n'est venu s'ajouter. Bien au contraire tout se dégrade. Et le 29 novembre, les jeunes vont élire Bédié au premier tour avec 60% des voix. Je suis convaincu. Et je crois fortement en ce pourcentage. Bédié sera élu au premier tour comme Wade l'a été à Dakar. Bédié constitue l'espoir des Ivoiriens. Et ceux qui parlent de son âge, ils doivent avoir de la mémoire. Ils disent qu'ils sont historiens et pourtant ils ne lisent pas. Ecoutez, Bédié est comme Mandela qui, sorti de la prison en dépit de son âge, les Sud-Africains sont allés le prendre pour le mettre à la tête du pays. Comme Roosevelt, les Américains voulaient de lui comme président même dans sa chaise roulante.
On ne regarde pas l'âge. Nous n'avons pas besoin d'un président jeune bandit ou DJ (Disc joker). Nous n'avons pas besoin d'un président boulanger qui n'accorde aucune considération à la vie humaine et qui ne connaît pas les problèmes du pays. Qui déclare "1000 morts à droite, mille morts à gauche j'avance". Nous voulons d'un président qui respecte les hommes. Qui donne de l'emploi aux jeunes. Et qui permet à la Côte d'Ivoire d'être respectée à l'extérieur. Nous avons besoin d'un président qui a de l'expérience et en Côte d'Ivoire, celui qui a de l'expérience c'est celui qui a reçu l'onction d'Houphouët-Boigny pour poursuivre son œuvre, c'est Henri Konan Bédié. Pour nous, l'âge ne veut rien dire. L'âge est plutôt source de sagesse. Et Bédié incarne la sagesse et l'expérience.
Interview réalisée par Akwaba Saint Clair et Jules Claver Aka
Vous recevez le président du Pdci le 6 juin prochain au stade de Williamsville. A quelques jours de ce grand rendez-vous, où en êtes-vous avec l'organisation et la mobilisation ?
Je voudrais dans un premier temps remercier le président candidat Henri Konan Bédié. Parce que donner son accord pour venir à une cérémonie aussi importante pour la société civile, venir écouter les menuisiers, les maçons, les coiffeurs, les chauffeurs, c'est vraiment un honneur pour notre milieu. C'est pourquoi je voudrais dire merci au président du Pdci-Rda, au candidat de la jeunesse, au candidat de la société civile qu'est Bédié. Qui a suspendu toutes ses activités ce jour pour venir écouter la société civile qui le soutient. Je voudrais donc, au nom de cette société civile que je représente, lui dire merci d'avoir accepté l'invitation des ouvriers. D'avoir accepté de venir écouter les misérables tel que Laurent Gbagbo les a fabriqués aujourd'hui dans ce pays. Pour ce qui concerne l'organisation, c'est une joie pour l'ensemble de la société civile de recevoir M. Bédié. Les chauffeurs de "Gbaka" et de Wôrô-wôrô", les chauffeurs de taxi m'ont confié ceci : " président Atsé, pour Bédié, nous acceptons de perdre nos recettes de jeudi, de vendredi et de samedi. Et nous allons reprendre le travail le dimanche ". Je voudrais donc dire qu'en terme de disposition, tous les corps de métier sont mobilisés. Les élèves et les étudiants ont leur organisation particulière. Les maçons, les menuisiers et les autres ouvriers ont une organisation spécifique. Les cadres s'organisent également. Les jeunes ruraux s'organisent activement. Le président des retraités de la cellule du Forum du Pdci et ses membres s'organisent également à leur niveau. Pour réserver un accueil chaleureux au futur président de la République. Je peux donc vous dire qu'en ce qui concerne la mobilisation, tous les présidents communaux du forum sont sur le terrain depuis trois semaines pour passer le message à la base. Les jeunes footballeurs s'organisent à leur niveau, dans la commune de Marcory. Je voudrais leur tirer le chapeau. Parce que lors de mon passage, ils étaient deux mille. Avec à leur tête le jeune Séry Bi Jean Jacques. Ces jeunes avaient neuf ans lors du coup d'Etat. Et ils m'ont dit " président, on avait neuf ans quand il y a eu le coup d'Etat. Les uns et les autres nous ont raconté beaucoup de choses sur M. Bédié. Mais lorsqu'on fait la compassion entre ce qu'ils nous ont dit et ce qu'ils font, ils sont pires que Bédié. Donc Bédié est mieux que ceux-là. Ils préfèrent confier leur avenir à M. Henri Konan Bédié. Donc Bédié est leur candidat. Ils viendront donc au stade de Williamsville ce jour pour montrer que les jeunes de 18, 19 et 20 ans sont les plus nombreux à croire en M. Bédié.
A vous entendre parler, on peut s'attendre à une mobilisation grandeur nature. Avez-vous pris des dispositions sécuritaires pour garantir une belle fête ?
En ce qui concerne la sécurité, nous avons d'abord celle de Dieu parce que nous sommes dans la vérité. Mais nous sommes organisés au niveau du Forum à travers la bridage de paix et de sécurité. Qui compte aujourd'hui 35000 jeunes. Pour cet évènement particulier, nous avons dépêché 10.000 jeunes pour la sécurité de Williamsville. Je tiens à préciser que le colonel major Ettien Benjamin que j'ai nommé s'active à ce que tout soit sous contrôle. Et je suis convaincu que Bédié sera plus en sécurité que Barak Obama ce jour-là.
En dehors des jeunes du Forum, avez-vous contacté les forces de défense et de sécurité (Fds) ?
Vous savez que le Forum est une structure organisée. Du haut de sa maturité, le Forum est respectueux des institutions de l'Etat. Donc nous avons saisi la police pour assurer la sécurité, en dehors de nos dispositions traditionnelles. Mais nous comptons aussi sur nos hommes.
Votre candidat Henri Konan Bédié sera à Williamsville. Les maçons, menuisiers, chauffeurs… seront présents. Quel message allez-vous lui adresser ?
D'abord les différents corps de métier vont pleurer devant Bédié. Pour lui montrer ce qu'ils vivent. Mais je vais vous dire ceci, lorsque le patient se retrouve devant le médecin, il lui appartient de dire au médecin où il a mal. Et le médecin lui prescrit l'ordonnance appropriée pour aller acheter le médicament qu'il faut. Alors toutes les couches socio-professionnelles représentées ce jour-là diront à Bédié où ils ont mal. Et Bédié qui est le seul médecin capable de régler leur problème, leur donnera les réponses appropriées. Mais déjà, la présence de Bédié guérit les malades que nous sommes à moitié. Parce qu'un malade qui reçoit la visite d'un médecin est moralement soulagé. Et lorsqu'en plus de cela il reçoit des soins, il est doublement guéri. Sa présence nous réconforte tous parce que pour nous, le programme de Bédié qui se résume " au progrès pour tous et le bonheur pour chacun " est toujours d'actualité. Parce que les douze chantiers de l'Eléphant d'Afrique et le bilan à mi-parcours de l'action gouvernementale du président Bédié que nous avons synthétisé en deux supports audiovisuels donnent de l'espoir aux jeunes. Et en écoutant Bédié le samedi prochain, dans son programme nouveau réadapté à la situation misérable extrême de Ppte que traversent ces artisans, ces menuisiers, ces ouvriers… Je suis convaincu qu'ils seront soulagés et ils pourront espérer de la vie.
Quel est le sentiment qui vous anime personnellement à quelques heures de cet évènement ? Et que réservez-vous aux Ivoiriens ?
C'est un sentiment de fierté qui m'anime en ce moment. De recevoir un grand homme. De recevoir, pas un boulanger, pas un roublard, pas un bavard. Mais quelqu'un qui inspire confiance. Un homme sérieux, un homme de haute maturité, un homme pétri d'expérience qu'est Bédié. Quelqu'un qui connaît la Côte d'Ivoire. Quelqu'un qui connaît les problèmes des Ivoiriens et qui a la solution aux problèmes des Ivoiriens. C'est cela surtout qui fait la fierté à mon niveau. Parce que, voyez-vous, on peut recevoir qui on veut. Mais est-ce que celui que tu reçois peut solutionner ton problème ? Depuis 2000, on ne fait que bavarder dans ce pays. Les problèmes sont là et demeurent. Dans les hôpitaux, les gens meurent. Dans les universités, il n'y a plus d'école. Les amphithéâtres et les bibliothèques n'existent plus. Il n'y a pas de paiement de bourse. Les cités universitaires n'existent presque plus, c'est la Fesci qui décide de l'attribution des chambres. Alors voyez-vous, c'est une grande fierté et une joie de recevoir un père digne. Le docteur Henri Konan Bédié (docteur en économie et en droit), il connaît le problème des Ivoiriens. Il est respectueux des droits de l'homme. J'ai tourné dans les petits quartiers et je vois des familles qui mangent une sauce en trois jours. Des gens ne peuvent pas se soigner. Ils utilisent les médicaments de la rue et sont exposés à l'insuffisance rénale. Ils sont exposés à la prostitution, au Sida. La jeunesse se meurt et ceux qui ont des diplômes sont contraints de gérer des cabines cellulaires. C'est ça les problèmes qu'il faut régler. Et c'est cela qui fait que Bédié est l'espoir. Parce que sous Bédié, il n'y avait pas de cabine cellulaire comme emploi proposé aux jeunes. C'était la confiance avec les bailleurs de fonds qui créaient beaucoup d'emplois pour les jeunes. Bédié a fait ce qu'il devrait faire et il devrait hisser la Côte d'Ivoire à un niveau respectable lorsque les ennemis de la Côte d'Ivoire sont venus faire ce coup d'Etat stupide. Et depuis 1999, la Côte d'Ivoire s'est arrêtée. Rien n'est venu s'ajouter. Bien au contraire tout se dégrade. Et le 29 novembre, les jeunes vont élire Bédié au premier tour avec 60% des voix. Je suis convaincu. Et je crois fortement en ce pourcentage. Bédié sera élu au premier tour comme Wade l'a été à Dakar. Bédié constitue l'espoir des Ivoiriens. Et ceux qui parlent de son âge, ils doivent avoir de la mémoire. Ils disent qu'ils sont historiens et pourtant ils ne lisent pas. Ecoutez, Bédié est comme Mandela qui, sorti de la prison en dépit de son âge, les Sud-Africains sont allés le prendre pour le mettre à la tête du pays. Comme Roosevelt, les Américains voulaient de lui comme président même dans sa chaise roulante.
On ne regarde pas l'âge. Nous n'avons pas besoin d'un président jeune bandit ou DJ (Disc joker). Nous n'avons pas besoin d'un président boulanger qui n'accorde aucune considération à la vie humaine et qui ne connaît pas les problèmes du pays. Qui déclare "1000 morts à droite, mille morts à gauche j'avance". Nous voulons d'un président qui respecte les hommes. Qui donne de l'emploi aux jeunes. Et qui permet à la Côte d'Ivoire d'être respectée à l'extérieur. Nous avons besoin d'un président qui a de l'expérience et en Côte d'Ivoire, celui qui a de l'expérience c'est celui qui a reçu l'onction d'Houphouët-Boigny pour poursuivre son œuvre, c'est Henri Konan Bédié. Pour nous, l'âge ne veut rien dire. L'âge est plutôt source de sagesse. Et Bédié incarne la sagesse et l'expérience.
Interview réalisée par Akwaba Saint Clair et Jules Claver Aka