Le Quotidien "Notre Voie" dans sa parution n°3274 du jeudi 7 mai 2009, à la une, disant rapporter la réponse de M. Affi N'guessan "aux préoccupations de M. Serge Gnahoua…qui ne comprenait pas les sorties subites du vieil homme ces derniers mois", parlant des tournées du Président Henri Konan Bédié, a répondu que "C'est pour dire au revoir à ses anciens collaborateurs et aux Ivoiriens qu'il avait abandonnés dans les griffes de Guéi et de ses soldats en 99 que Bédié parcourt le pays en ce moment. Sinon, ce politicien périmé n'a plus rien à proposer qui puisse intéresser le peuple de Côte d'Ivoire".
C'est vrai que les sorties injurieuses et irrespectueuses de l'homme Affi N'guessan sont bien connues des Ivoiriens et font partie de sa nature.
Aussi étions-nous face à un dilemme : fallait-il prendre la peine de répondre aux coups de pieds de l'âne, ou simplement choisir de piétiner l'aveugle pour lui enlever l'illusion de compétir tout seul dans un cercle de danse ?
En cette période sérieuse de compétitions électorales, nous avons choisi la 2ème option. Cela pour plusieurs raisons parmi lesquelles nous choisissons deux principales.
La première, c'est d'expliquer aux Ivoiriens que M. Affi N'guessan souffre d'un déséquilibre de type freudien qui lui donne une propension de son désir de parricide ("tuer le père"). Cette pathologie le rend inutilement violent et agressif vis-à-vis de toute personne au travers de laquelle il croit percevoir l'image d'un père à qui il en veut certainement à mort. Ce désir est sans doute profondément enfoui en lui. Le PDCI-RDA qui est un Parti de tolérance doit désormais comprendre et surtout aider notre haut parleur du FPI à exhumer, à exorciser et à soigner cette pathologie encrée dans le subconscient de l'homme. "Président Bédié, pardonnez à votre neveu, si profondément perturbé, ses frasques répétées".
La deuxième et dernière raison pour laquelle nous avons décidé de répondre à N'guessan, tient du fait que le FPI et ses dirigeants annoncent toujours leur forfait avant de passer à l'exécution. En effet, l'heure de la compétition saine et vraie a quasiment sonné. L'occasion est toute trouvée de brandir le spectre et les démons de l'extermination ou de l'élimination. "AFFI" N'guessan, est-il en train d'annoncer la disparition prochaine de Bédié ? Quand on voit l'acharnement du FPI contre le leader du PDCI en qui il voit son adversaire principal et le monde que draine chaque escale, chaque station de Bédié dans sa tournée, il y a bien de quoi troubler le sommeil d'"AFFI" N'guessan et de son parti politique violent. Et l'on sait où mène le désespoir, surtout avec le FPI. Nous prenons donc le peuple ivoirien à témoin sur ce sentiment caché du FPI sur lequel son haut parleur semble lever un coin du voile : "Tuer Bédié".
M. "AFFI" N'guessan, cet ingénieur des Techniques (sous-ingénieur) qui n'use que de formules triviales stéréotypées propagandistes, ne sait certainement pas le sens étymologique de l'expression "au revoir", "à nous revoir". Alors, merci d'avoir dit inconsciemment que Bédié fait un appel à revoir son peuple abandonné sur le pont de l'illusionnisme du FPI.
Maintenant à propos de "politicien périmé" qui "n'a plus rien à proposer qui puisse intéresser le peuple de Côte d'Ivoire", c'est vrai que M. N'guessan fils (sic) d'AFFI dans son narcissisme politique s'est enfermé dans une bulle comme l'a si bien dit un quotidien de la place. En effet :
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand toutes les villes, tous les villages, tous les campements, tous les hameaux restent aujourd'hui enclavés parce que le FPI a tourné le dos à la politique de la route, quand tout le réseau routier ivoirien est aujourd'hui à l'abandon et dans un état de dégradation totale ? Trois (3) longues heures en moyenne pour parcourir quarante (40) km sur les routes des localités comme Agnibilékrou, Nassian, Sandégué, Bédiala, Zoukougbeu, Dania, Zianouan, Duékoué, Toulépleu, Korhogo, Odienné, Katiola, Méagui, Soubré, Sinfra, Bouaflé, Fresco, Divo, Lakota, San-Pédro, Grand-Bérébi, Danané, Zouan-hounien, Benhouin, Man, même Gagnoa sauf la coûteuse route de Mama-Carayi et pour cause !
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand l'école sous le règne de la refondation s'est totalement désintégrée au point où la réhabilitation du secteur demeure la seule priorité des priorités ? Face aux exactions de la FESCI qui restent impunies et à tous les carrefours, à Daloa et partout ailleurs, qu'y a-t-il de nouveau à proposer si ce n'est la décriminalisation du secteur scolaire et universitaire ? L'école ivoirienne forme désormais des délinquants et nos diplômes ne peuvent même plus s'échanger sur le marché du travail ; un chômage massif des jeunes ! L'ENA recrute et produit des administrateurs admis grâce à leurs propres millions. Le fils de pauvre dans ce pays n'a plus d'avenir. Quelle chance M. "AFFI" et son parti laissent-ils à Bédié de proposer de nouveau aux Ivoiriens sinon que d'effacer leur crime contre l'avenir de ce pays qui demeure le devenir de nos enfants, de notre jeunesse ?
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand le secteur de la santé est totalement sinistré. Aux urgences du CHU de Treichville avec 13 lit! l'Interne de garde demande aux parents du nouveau malade de patienter dehors dans la voiture, dans l'espoir ( ?) d'avoir un prochain mort qui libérera un lit. A l'intérieur du pays, la politique des hôpitaux ruraux s'est arrêtée depuis belle lurette. On paie tout, jusqu'au moindre sourire de l'infirmier pour se faire soigner : loin de l'arnaque du slogan "non périmé" de l'AMU de Ohouochi Clotilde et du FPI ! .
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand le secteur agricole ne nourrit plus que les amis désignés de Gbagbo et appauvrit le paysan ? L'anacarde, principale ressource des paysans du Zanzan, est décrétée "plante sauvage" par Laurent Gbagbo. Ce produit est aujourd'hui acheté à 125 frs le kilo contre 500 frs en 1999. Face à cette incurie et cette prédation du poumon de notre économie, que peut proposer de nouveau Bédié si ce n'est de redresser le tort fait par les refondateurs avec N'guessan (fils (sic) d'AFFI) à leur tête, au peuple de Côte d'Ivoire ?
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand l'insécurité, l'impunité, l'immoralité sont faites reines désormais dans notre pays ? Plus de repère, l'éthique a foutu le camp de partout. Le racket institutionnel et l'arrogance des racketteurs sont désormais la mesure du mérite. Alors, M. N'guessan fils authentique d'AFFI, que peut proposer d'autre Bédié quand le FPI est le seul responsable de cette situation désastreuse ? Sinon que de dire "ivoiriens, le FPI et N'guessan nous ont trop volé". Est-ce une formule périmée ? Non ! Pourtant, Houphouët l'avait déjà utilisée face à l'injustice des colons. Aujourd'hui, Bédié l'utilise face au FPI ! réalité de la situation oblige ! Où est la péremption ?
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand dans un pays divisé par la faute d'amateurs et où règne désormais la haine, l'exclusion, la catégorisation et la stigmatisation ? Qu'y a-t-il ici de nouveau à proposer au peuple ivoirien que de ressasser ce que le PDCI-RDA et Henri Konan Bédié ont toujours prôné : la paix, le dialogue, l'unité et la tolérance ? Bien sûr pour N'guessan fils (sic) d'AFFI ces slogans sont périmés. Lui qui avec son parti produisent chaque jour de nouveaux concepts, de nouveaux slogans pour arnaquer les Ivoiriens. Des formules, des slogans qui sont utopiques et qui ne sont jamais mis en pratique pour le bonheur des Ivoiriens. Si c'est là la non péremption des formules et des idées, pardon, que le FPI et le fils (sic) d'AFFI et leurs fanatiques les gardent pour eux-mêmes ! Le peuple ivoirien ne mordra plus à cet appât !
C'est vrai M. N'guessan fils (sic) d'AFFI ne sait pas que la politique est une saine appréciation des choses du moment. Quand les situations sont identiques, les appréciations et les formules sont des siamoises. Une formule qui décrit exactement une situation ne se périme que si cette situation est rendue caduque. Hors, le FPI a ramené notre pays 50 ans en arrière (dixit Bédié) dans tous les domaines et tous les secteurs (ce qui est totalement vrai). Les solutions préconisées sont celles que le PDCI-RDA a toujours utilisées et qui ont hissé notre pays au sommet des nations de la sous région.
Bien sûr, M. "AFFI" N'guessan dans son insensibilité et irresponsabilité idéologique dira toujours que ce n'est pas de la faute au FPI, ni de la sienne quand il était premier ministre (nombrilisme) ! C'est la faute à la guerre ! C'est la faute à Bédié. C'est la faute à l'autre ! Irresponsabilité chronique d'un pouvoir refondateur usé dès la naissance ! Qui a envoyé la guerre dira Bédié ?
Que M. N'guessan fils (sic) d'AFFI comprenne que le Président Bédié, dans ce dur périple qu'il fait pour porter espoir aux ivoiriens, constate simplement et les populations rencontrées avec lui, que le bien-être des Ivoiriens s'est arrêté depuis le coup d'Etat à multiple complicités de décembre 1999. Si M. "AFFI" N'guessan le souhaite, nous pourrions en parler "encore et encore". Dans tous les cas, l'histoire le mentionnera et N'guessan fils authentique d'AFFI et son parti rendront compte au peuple de Côte d'Ivoire. Tôt ou tard ! Rien dans ce monde ne reste impuni.
Que M. N'guessan, fils (sic) d'AFFI comprenne que ce que Bédié a à proposer, c'est tout ce que le PDCI a toujours proposé aux ivoiriens et à la Côte d'ivoire et qui a valu à notre pays le progrès constant partagé à tous et le bonheur pour chaque ivoirien. Le résultat est bien connu de tous : la Côte d'Ivoire 3ème puissance économique au dessous du Sahara en décembre 1999. Si cela est périmé, que le droit soit laissé aux Ivoiriens de juger. Que M. Affi N'guessan se dépêche alors de lever tous ces obstacles artificiels qu'il dresse (lui et son parti) depuis sept ans sur le chemin des élections générales. "République bananière" que celle de Laurent Gbagbo, qui s'accroche astucieusement à l'article 38 de la Constitution pour se maintenir indéfiniment au pouvoir, ignorant lui et son N'guessan fils authentique d'AFFI, la souffrance du peuple de Côte d'Ivoire.
Un appel à toi N'guessan fils (sic) d'AFFI : "Le PDCI-RDA a de très grands psychanalystes qui peuvent t'aider à te soigner par la méthode du canapé. Soit sage et humble d'accepter que tu ne te portes pas bien".
Séri Bi Nguessan Privat
Député de Bédiala
C'est vrai que les sorties injurieuses et irrespectueuses de l'homme Affi N'guessan sont bien connues des Ivoiriens et font partie de sa nature.
Aussi étions-nous face à un dilemme : fallait-il prendre la peine de répondre aux coups de pieds de l'âne, ou simplement choisir de piétiner l'aveugle pour lui enlever l'illusion de compétir tout seul dans un cercle de danse ?
En cette période sérieuse de compétitions électorales, nous avons choisi la 2ème option. Cela pour plusieurs raisons parmi lesquelles nous choisissons deux principales.
La première, c'est d'expliquer aux Ivoiriens que M. Affi N'guessan souffre d'un déséquilibre de type freudien qui lui donne une propension de son désir de parricide ("tuer le père"). Cette pathologie le rend inutilement violent et agressif vis-à-vis de toute personne au travers de laquelle il croit percevoir l'image d'un père à qui il en veut certainement à mort. Ce désir est sans doute profondément enfoui en lui. Le PDCI-RDA qui est un Parti de tolérance doit désormais comprendre et surtout aider notre haut parleur du FPI à exhumer, à exorciser et à soigner cette pathologie encrée dans le subconscient de l'homme. "Président Bédié, pardonnez à votre neveu, si profondément perturbé, ses frasques répétées".
La deuxième et dernière raison pour laquelle nous avons décidé de répondre à N'guessan, tient du fait que le FPI et ses dirigeants annoncent toujours leur forfait avant de passer à l'exécution. En effet, l'heure de la compétition saine et vraie a quasiment sonné. L'occasion est toute trouvée de brandir le spectre et les démons de l'extermination ou de l'élimination. "AFFI" N'guessan, est-il en train d'annoncer la disparition prochaine de Bédié ? Quand on voit l'acharnement du FPI contre le leader du PDCI en qui il voit son adversaire principal et le monde que draine chaque escale, chaque station de Bédié dans sa tournée, il y a bien de quoi troubler le sommeil d'"AFFI" N'guessan et de son parti politique violent. Et l'on sait où mène le désespoir, surtout avec le FPI. Nous prenons donc le peuple ivoirien à témoin sur ce sentiment caché du FPI sur lequel son haut parleur semble lever un coin du voile : "Tuer Bédié".
M. "AFFI" N'guessan, cet ingénieur des Techniques (sous-ingénieur) qui n'use que de formules triviales stéréotypées propagandistes, ne sait certainement pas le sens étymologique de l'expression "au revoir", "à nous revoir". Alors, merci d'avoir dit inconsciemment que Bédié fait un appel à revoir son peuple abandonné sur le pont de l'illusionnisme du FPI.
Maintenant à propos de "politicien périmé" qui "n'a plus rien à proposer qui puisse intéresser le peuple de Côte d'Ivoire", c'est vrai que M. N'guessan fils (sic) d'AFFI dans son narcissisme politique s'est enfermé dans une bulle comme l'a si bien dit un quotidien de la place. En effet :
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand toutes les villes, tous les villages, tous les campements, tous les hameaux restent aujourd'hui enclavés parce que le FPI a tourné le dos à la politique de la route, quand tout le réseau routier ivoirien est aujourd'hui à l'abandon et dans un état de dégradation totale ? Trois (3) longues heures en moyenne pour parcourir quarante (40) km sur les routes des localités comme Agnibilékrou, Nassian, Sandégué, Bédiala, Zoukougbeu, Dania, Zianouan, Duékoué, Toulépleu, Korhogo, Odienné, Katiola, Méagui, Soubré, Sinfra, Bouaflé, Fresco, Divo, Lakota, San-Pédro, Grand-Bérébi, Danané, Zouan-hounien, Benhouin, Man, même Gagnoa sauf la coûteuse route de Mama-Carayi et pour cause !
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand l'école sous le règne de la refondation s'est totalement désintégrée au point où la réhabilitation du secteur demeure la seule priorité des priorités ? Face aux exactions de la FESCI qui restent impunies et à tous les carrefours, à Daloa et partout ailleurs, qu'y a-t-il de nouveau à proposer si ce n'est la décriminalisation du secteur scolaire et universitaire ? L'école ivoirienne forme désormais des délinquants et nos diplômes ne peuvent même plus s'échanger sur le marché du travail ; un chômage massif des jeunes ! L'ENA recrute et produit des administrateurs admis grâce à leurs propres millions. Le fils de pauvre dans ce pays n'a plus d'avenir. Quelle chance M. "AFFI" et son parti laissent-ils à Bédié de proposer de nouveau aux Ivoiriens sinon que d'effacer leur crime contre l'avenir de ce pays qui demeure le devenir de nos enfants, de notre jeunesse ?
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand le secteur de la santé est totalement sinistré. Aux urgences du CHU de Treichville avec 13 lit! l'Interne de garde demande aux parents du nouveau malade de patienter dehors dans la voiture, dans l'espoir ( ?) d'avoir un prochain mort qui libérera un lit. A l'intérieur du pays, la politique des hôpitaux ruraux s'est arrêtée depuis belle lurette. On paie tout, jusqu'au moindre sourire de l'infirmier pour se faire soigner : loin de l'arnaque du slogan "non périmé" de l'AMU de Ohouochi Clotilde et du FPI ! .
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand le secteur agricole ne nourrit plus que les amis désignés de Gbagbo et appauvrit le paysan ? L'anacarde, principale ressource des paysans du Zanzan, est décrétée "plante sauvage" par Laurent Gbagbo. Ce produit est aujourd'hui acheté à 125 frs le kilo contre 500 frs en 1999. Face à cette incurie et cette prédation du poumon de notre économie, que peut proposer de nouveau Bédié si ce n'est de redresser le tort fait par les refondateurs avec N'guessan (fils (sic) d'AFFI) à leur tête, au peuple de Côte d'Ivoire ?
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand l'insécurité, l'impunité, l'immoralité sont faites reines désormais dans notre pays ? Plus de repère, l'éthique a foutu le camp de partout. Le racket institutionnel et l'arrogance des racketteurs sont désormais la mesure du mérite. Alors, M. N'guessan fils authentique d'AFFI, que peut proposer d'autre Bédié quand le FPI est le seul responsable de cette situation désastreuse ? Sinon que de dire "ivoiriens, le FPI et N'guessan nous ont trop volé". Est-ce une formule périmée ? Non ! Pourtant, Houphouët l'avait déjà utilisée face à l'injustice des colons. Aujourd'hui, Bédié l'utilise face au FPI ! réalité de la situation oblige ! Où est la péremption ?
"Qu'y a-t-il de nouveau à proposer au peuple ivoirien quand dans un pays divisé par la faute d'amateurs et où règne désormais la haine, l'exclusion, la catégorisation et la stigmatisation ? Qu'y a-t-il ici de nouveau à proposer au peuple ivoirien que de ressasser ce que le PDCI-RDA et Henri Konan Bédié ont toujours prôné : la paix, le dialogue, l'unité et la tolérance ? Bien sûr pour N'guessan fils (sic) d'AFFI ces slogans sont périmés. Lui qui avec son parti produisent chaque jour de nouveaux concepts, de nouveaux slogans pour arnaquer les Ivoiriens. Des formules, des slogans qui sont utopiques et qui ne sont jamais mis en pratique pour le bonheur des Ivoiriens. Si c'est là la non péremption des formules et des idées, pardon, que le FPI et le fils (sic) d'AFFI et leurs fanatiques les gardent pour eux-mêmes ! Le peuple ivoirien ne mordra plus à cet appât !
C'est vrai M. N'guessan fils (sic) d'AFFI ne sait pas que la politique est une saine appréciation des choses du moment. Quand les situations sont identiques, les appréciations et les formules sont des siamoises. Une formule qui décrit exactement une situation ne se périme que si cette situation est rendue caduque. Hors, le FPI a ramené notre pays 50 ans en arrière (dixit Bédié) dans tous les domaines et tous les secteurs (ce qui est totalement vrai). Les solutions préconisées sont celles que le PDCI-RDA a toujours utilisées et qui ont hissé notre pays au sommet des nations de la sous région.
Bien sûr, M. "AFFI" N'guessan dans son insensibilité et irresponsabilité idéologique dira toujours que ce n'est pas de la faute au FPI, ni de la sienne quand il était premier ministre (nombrilisme) ! C'est la faute à la guerre ! C'est la faute à Bédié. C'est la faute à l'autre ! Irresponsabilité chronique d'un pouvoir refondateur usé dès la naissance ! Qui a envoyé la guerre dira Bédié ?
Que M. N'guessan fils (sic) d'AFFI comprenne que le Président Bédié, dans ce dur périple qu'il fait pour porter espoir aux ivoiriens, constate simplement et les populations rencontrées avec lui, que le bien-être des Ivoiriens s'est arrêté depuis le coup d'Etat à multiple complicités de décembre 1999. Si M. "AFFI" N'guessan le souhaite, nous pourrions en parler "encore et encore". Dans tous les cas, l'histoire le mentionnera et N'guessan fils authentique d'AFFI et son parti rendront compte au peuple de Côte d'Ivoire. Tôt ou tard ! Rien dans ce monde ne reste impuni.
Que M. N'guessan, fils (sic) d'AFFI comprenne que ce que Bédié a à proposer, c'est tout ce que le PDCI a toujours proposé aux ivoiriens et à la Côte d'ivoire et qui a valu à notre pays le progrès constant partagé à tous et le bonheur pour chaque ivoirien. Le résultat est bien connu de tous : la Côte d'Ivoire 3ème puissance économique au dessous du Sahara en décembre 1999. Si cela est périmé, que le droit soit laissé aux Ivoiriens de juger. Que M. Affi N'guessan se dépêche alors de lever tous ces obstacles artificiels qu'il dresse (lui et son parti) depuis sept ans sur le chemin des élections générales. "République bananière" que celle de Laurent Gbagbo, qui s'accroche astucieusement à l'article 38 de la Constitution pour se maintenir indéfiniment au pouvoir, ignorant lui et son N'guessan fils authentique d'AFFI, la souffrance du peuple de Côte d'Ivoire.
Un appel à toi N'guessan fils (sic) d'AFFI : "Le PDCI-RDA a de très grands psychanalystes qui peuvent t'aider à te soigner par la méthode du canapé. Soit sage et humble d'accepter que tu ne te portes pas bien".
Séri Bi Nguessan Privat
Député de Bédiala
