•Vous venez d'être porté à la tête de la fédération dans des conditions inhabituelles, qu'est-ce que cela vous inspire ?
Je crois que c'est un combat collectif. Et dans ce combat, nous avons un seul mot d'ordre qui est celui de la direction du parti. Il faut réhabiliter le mot d'ordre de la direction parti. Il faut réhabiliter le respect de la ligne politique du parti. Je pense que tout le monde a adhéré. Je suis flatté.
•Le Fpi est en ruine à Issia, qu'allez-vous faire pour recoller les morceaux?
Quand on dit que le Fpi est en ruine, ce n'est pas tellement juste. Parce qu'il y a juste une minorité, une nouvelle race de militants qui a fait intervenir l'argent dans ce milieu là. Or là où il y a l'argent, il y a toujours des disputes.
•Vous semblez être sur des braises ardentes parce que votre devancier n'a pas lâché prise.
Je suis serein. Parce que c'est la base qui décide. Et elle a décidé.
•Comment jugez-vous le conflit Tagro-Bouabré ?
La querelle Tagro-Bohoun gène tout le monde. Mais nous pensons qu'il faut régler ce problème en dehors de la politique. Parce que c'est un problème de parent, c'est un problème de famille. Nous n'allons pas laisser cette cassure faire tomber le Fpi à Issia.
•Si vous aviez à choisir entre Bohoun Bouabré et Tagro, vous pencheriez pour qui ?
Il n'y a pas de choix à faire. Bohoun Bouabré nous a été présenté comme le directeur de campagne du président Laurent Gbagbo. Si demain, la direction du parti nous disait que ce n'est plus lui mais Tagro, nous le suivrons.
•Quel est votre programme d'activités?
Mon programme c'est d'unir tout le monde. C'est de dire que le vrai combat du Fpi que nous devons faire, c'est d'élire Laurent Gbagbo. C'est de rafler tous les postes que nous avons conquis en 2000. Il serait vraiment condamnable que le Fpi perde une seule élection.
•Est-ce que vous allez appeler celui qui vous a précédé ?
Bien entendu, ce sont des camarades du parti. Ils ne doivent pas avoir une honte. Le bateau était en train de couler. Pour éviter que tout le monde tombe dans le naufrage, il fallait agir.
Réalisée par Lanciné Bakayoko
Je crois que c'est un combat collectif. Et dans ce combat, nous avons un seul mot d'ordre qui est celui de la direction du parti. Il faut réhabiliter le mot d'ordre de la direction parti. Il faut réhabiliter le respect de la ligne politique du parti. Je pense que tout le monde a adhéré. Je suis flatté.
•Le Fpi est en ruine à Issia, qu'allez-vous faire pour recoller les morceaux?
Quand on dit que le Fpi est en ruine, ce n'est pas tellement juste. Parce qu'il y a juste une minorité, une nouvelle race de militants qui a fait intervenir l'argent dans ce milieu là. Or là où il y a l'argent, il y a toujours des disputes.
•Vous semblez être sur des braises ardentes parce que votre devancier n'a pas lâché prise.
Je suis serein. Parce que c'est la base qui décide. Et elle a décidé.
•Comment jugez-vous le conflit Tagro-Bouabré ?
La querelle Tagro-Bohoun gène tout le monde. Mais nous pensons qu'il faut régler ce problème en dehors de la politique. Parce que c'est un problème de parent, c'est un problème de famille. Nous n'allons pas laisser cette cassure faire tomber le Fpi à Issia.
•Si vous aviez à choisir entre Bohoun Bouabré et Tagro, vous pencheriez pour qui ?
Il n'y a pas de choix à faire. Bohoun Bouabré nous a été présenté comme le directeur de campagne du président Laurent Gbagbo. Si demain, la direction du parti nous disait que ce n'est plus lui mais Tagro, nous le suivrons.
•Quel est votre programme d'activités?
Mon programme c'est d'unir tout le monde. C'est de dire que le vrai combat du Fpi que nous devons faire, c'est d'élire Laurent Gbagbo. C'est de rafler tous les postes que nous avons conquis en 2000. Il serait vraiment condamnable que le Fpi perde une seule élection.
•Est-ce que vous allez appeler celui qui vous a précédé ?
Bien entendu, ce sont des camarades du parti. Ils ne doivent pas avoir une honte. Le bateau était en train de couler. Pour éviter que tout le monde tombe dans le naufrage, il fallait agir.
Réalisée par Lanciné Bakayoko
