Ils ont fait chorus autour de lui. Mamadou Latif Toungara, c’est de lui qu’il s’agit, préside désormais aux destinées de la Conférence des Producteurs Audiovisuels de Côte d’Ivoire (CPACI). Au cours de l’Assemblée générale constitutive de cette organisation qui s’est tenue, le samedi dernier à la Chambre du Commerce au Plateau, ses pairs, responsables d’unions et de syndicats qui fédèrent ainsi leurs actions au sein de cette conférence.
« L’heure n’est pas aux discours. Les producteurs audiovisuels vivent de sérieuses difficultés que nous devons solutionner. Par exemple, vous constatez qu’il n’est pas normal qu’un producteur paie pour passer ses productions sur les antennes de la Radio Télévision Ivoirienne (RTI) », a-t-il rapporté en égrenant un chapelet de cinq points constituant les priorités de son programme d’actions. Entre autres, actions, M. Toungara entend prioriser « la reconnaissance du métier de Producteur audiovisuel, la recherche de financements, la maîtrise de l’environnement économique, la formation des acteurs du secteur… »
Le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané, qui co-présidait cette cérémonie avec son collègue de la Culture a rassuré la palette de producteurs audiovisuels sur l’effectivité de l’ouverture de l’espace audiovisuel qui donnera, à ces derniers, une large marge de manœuvre dans l’exercice de leur métier. « Bientôt, il y aura beaucoup de chaînes de télévisions. La vraie bataille à mener sera celle du contenu. Bien avant, il faut que vous soyez vous-mêmes structurés, car nous avons beaucoup de potentialités », a-t-il dit, avant de féliciter les devanciers dans la production audiovisuels.
S’agissant du volet électif de l’Assemblée générale constitutive, les responsables des organisations qui ont décidé de se fédérer, au sein de la CPACI, ont fait chorus autours de Mamadou Latif Toungara en lui accordant, tous, leurs suffrages. Ce qui a donné lieu à une élection sans suspense.
Quant à M. Kossonou, il a promis un million de francs CFA à la CPACI, au nom du ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé, qu’il représentait, avant de saluer « la création de cette plate-forme de mutualisation qui sûrement sera un creuset de renforcement de capacités des acteurs du secteur». Ce que confirme Patricia Kalou, qui parlant, au nom des entités composant la CPACI, a expliqué la nécessité de ce regroupement: « Nous avons senti l’obligation de fédérer nos actions afin de professionnaliser le secteur et être efficaces dans la recherche de moyens ».
Jean- Antoine Doudou
« L’heure n’est pas aux discours. Les producteurs audiovisuels vivent de sérieuses difficultés que nous devons solutionner. Par exemple, vous constatez qu’il n’est pas normal qu’un producteur paie pour passer ses productions sur les antennes de la Radio Télévision Ivoirienne (RTI) », a-t-il rapporté en égrenant un chapelet de cinq points constituant les priorités de son programme d’actions. Entre autres, actions, M. Toungara entend prioriser « la reconnaissance du métier de Producteur audiovisuel, la recherche de financements, la maîtrise de l’environnement économique, la formation des acteurs du secteur… »
Le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané, qui co-présidait cette cérémonie avec son collègue de la Culture a rassuré la palette de producteurs audiovisuels sur l’effectivité de l’ouverture de l’espace audiovisuel qui donnera, à ces derniers, une large marge de manœuvre dans l’exercice de leur métier. « Bientôt, il y aura beaucoup de chaînes de télévisions. La vraie bataille à mener sera celle du contenu. Bien avant, il faut que vous soyez vous-mêmes structurés, car nous avons beaucoup de potentialités », a-t-il dit, avant de féliciter les devanciers dans la production audiovisuels.
S’agissant du volet électif de l’Assemblée générale constitutive, les responsables des organisations qui ont décidé de se fédérer, au sein de la CPACI, ont fait chorus autours de Mamadou Latif Toungara en lui accordant, tous, leurs suffrages. Ce qui a donné lieu à une élection sans suspense.
Quant à M. Kossonou, il a promis un million de francs CFA à la CPACI, au nom du ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé, qu’il représentait, avant de saluer « la création de cette plate-forme de mutualisation qui sûrement sera un creuset de renforcement de capacités des acteurs du secteur». Ce que confirme Patricia Kalou, qui parlant, au nom des entités composant la CPACI, a expliqué la nécessité de ce regroupement: « Nous avons senti l’obligation de fédérer nos actions afin de professionnaliser le secteur et être efficaces dans la recherche de moyens ».
Jean- Antoine Doudou
