Comment le scandale sexuel a éclaté
Dans notre parution d’hier mercredi 10 juin, nous relations des faits qui, ces temps-ci, alimentent la galerie à Abidjan et à l’intérieur du pays. Voire au-delà même des frontières ivoiriennes. C’est cette érotique scène de feu, mettant en exergue deux amants en pleins ébats sexuels, au sein de leur service. Et ce service-là, que nous nous gardons de citer pour l’heure, est une grande institution financière de la place. Personne n’aurait peut être eu à redire, si jamais, les choses s’étaient passées comme sur du velours. Ni l’administration qui les emploie, ni tout ce public qui se délecte de cette affaire, n’auraient rien su du tout. Le problème, c’est que comme nous le disions, la vidéo de ces ébats que les deux amants, apparemment de façon consentante sans doute, ont filmé, s’est retrouvée hors du cadre intime. L’affaire a donc « pété ». Vu que la scène amoureuse circule sur le net. De petits malins s’amusant à la transférer à tout demandeur adepte de ce genre de dérives. Mais soit dit en passant, cette vidéo ne manque vraiment pas d’intérêt. Un « cadeau venu du ciel », pour tous ces amateurs des montées fulgurantes au 7ème ciel, en « vol direct ». A preuve, depuis la parution de notre article, des coups de fils ne cessent de nous assaillir. Des lecteurs, avides de ces obscénités, voulant savoir sur quel site l’on pouvait se connecter, pour se délecter de la scène qui ne manque pas de mettre en « transe ». Mais enfin, comment cette vidéo tournée dans un bureau bien feutré, fermée à double tour, à l’abri de regards indiscrets, s’est-elle retrouvée dans les rues ? C’est le cas de le dire. Selon nos sources, contrairement à ce que l’on peut croire, cette triste affaire salissant la dignité humaine, dure depuis un peu plus de trois mois déjà. De fait, il revient que l’amant qui répond aux initiales de R.O, qui a bien pris soin de filmer les ébats sexuels, a fait enregistrer cette scène dans le disque dur de son ordinateur-portable. Et de temps en temps sans doute, il se donne quelques frictions positives, en regardant de nouveau, les « prouesses » de son amante qui elle, porte les initiales de Z.L. Mais le malheur viendra lorsque son ordinateur-portable tombe en panne. Toujours nous référant aux informations reçues, l’homme confie son appareil à l’un des maintenanciers du service informatique et part en voyage. Mais lâché par la chance, il oublie que son précieux secret, va sortir du système informatique où il est enfoui, pour se livrer à la face du monde. En effet, en démontant l’appareil, le maintenancier au cours de cet exercice, accède au disque dur de l’ordinateur et découvre les éléments qui y sont contenus. Il ne garde pas le secret.
L’affaire « pète »
Il part confier la vidéo copiée à la Direction des ressources humaines. Et bientôt, toute l’administration est saisie de l’affaire. De retour de voyage, R.O est traduit devant les patrons de la société pour qu’il s’explique sur son attitude qui, dit-on, n’honore pas l’institution. Cependant, l’affaire est classée « Top secret ». Totalement indigné, nos sources notent que l’homme porte plainte à la police contre inconnu. Mais des tractations sont engagées et R.O accepte de retirer sa plainte. Vu que la police une fois mêlée à l’affaire à travers son enquête, les choses pourraient s’ébruiter. On en est là, quand contre toute attente, ces temps-ci, la vidéo « sale », gardée sous le boisseau jusque là, se transforme en secret de polichinelle. La nudité de Mlle Z.L, qui lui confère sa dignité de femme est, à la surprise générale étalée au grand jour pour moins que rien. Là, abasourdie, elle porte plainte contre son amant qu’elle accuse d’être le responsable de la divulgation de leur « jardin secret ». Ce dernier, qui jure la main sur le cœur de n’être pas l’auteur de la trahison du secret, est mis aux arrêts le mercredi dernier 10 juin. Une enquête est en cours, pour faire toute la lumière sur cette affaire qui selon des sources discrètes, a des relents de règlement de comptes. R.O est dans de beaux draps et le maintenancier, nous révèle-t-on, pourrait lui aussi, ne pas être mieux loti. Pour l’origine de la mise en ligne de la vidéo érotique, les regards se tournent vers lui. Nous reviendrons absolument sur tous ces aspects des choses, dans nos prochaines parutions. En attendant, pour rappel, côté jardin, il nous revient qu’il y a bien longtemps déjà que R.O et Mlle Z.L se connaissent. L’homme, professeur de chair à l’Inset, a eu comme étudiante, Mlle Z.L. Quand cette dernière des années plus tard obtient un stage dans l’institution où R.O occupe un haut rang, ce dernier use de sa position, pour qu’elle soit embauchée. Ce qui est fait depuis 2006. La reconnaissance pour service rendu, dans ce dur marché du travail, conduit alors, selon nos sources, Mlle Z.L. à être l’objet de plaisir sexuel de son bienfaiteur, jusqu’à ce que les choses « crament ».
Par KIKIE Ahou Nazaire
Dans notre parution d’hier mercredi 10 juin, nous relations des faits qui, ces temps-ci, alimentent la galerie à Abidjan et à l’intérieur du pays. Voire au-delà même des frontières ivoiriennes. C’est cette érotique scène de feu, mettant en exergue deux amants en pleins ébats sexuels, au sein de leur service. Et ce service-là, que nous nous gardons de citer pour l’heure, est une grande institution financière de la place. Personne n’aurait peut être eu à redire, si jamais, les choses s’étaient passées comme sur du velours. Ni l’administration qui les emploie, ni tout ce public qui se délecte de cette affaire, n’auraient rien su du tout. Le problème, c’est que comme nous le disions, la vidéo de ces ébats que les deux amants, apparemment de façon consentante sans doute, ont filmé, s’est retrouvée hors du cadre intime. L’affaire a donc « pété ». Vu que la scène amoureuse circule sur le net. De petits malins s’amusant à la transférer à tout demandeur adepte de ce genre de dérives. Mais soit dit en passant, cette vidéo ne manque vraiment pas d’intérêt. Un « cadeau venu du ciel », pour tous ces amateurs des montées fulgurantes au 7ème ciel, en « vol direct ». A preuve, depuis la parution de notre article, des coups de fils ne cessent de nous assaillir. Des lecteurs, avides de ces obscénités, voulant savoir sur quel site l’on pouvait se connecter, pour se délecter de la scène qui ne manque pas de mettre en « transe ». Mais enfin, comment cette vidéo tournée dans un bureau bien feutré, fermée à double tour, à l’abri de regards indiscrets, s’est-elle retrouvée dans les rues ? C’est le cas de le dire. Selon nos sources, contrairement à ce que l’on peut croire, cette triste affaire salissant la dignité humaine, dure depuis un peu plus de trois mois déjà. De fait, il revient que l’amant qui répond aux initiales de R.O, qui a bien pris soin de filmer les ébats sexuels, a fait enregistrer cette scène dans le disque dur de son ordinateur-portable. Et de temps en temps sans doute, il se donne quelques frictions positives, en regardant de nouveau, les « prouesses » de son amante qui elle, porte les initiales de Z.L. Mais le malheur viendra lorsque son ordinateur-portable tombe en panne. Toujours nous référant aux informations reçues, l’homme confie son appareil à l’un des maintenanciers du service informatique et part en voyage. Mais lâché par la chance, il oublie que son précieux secret, va sortir du système informatique où il est enfoui, pour se livrer à la face du monde. En effet, en démontant l’appareil, le maintenancier au cours de cet exercice, accède au disque dur de l’ordinateur et découvre les éléments qui y sont contenus. Il ne garde pas le secret.
L’affaire « pète »
Il part confier la vidéo copiée à la Direction des ressources humaines. Et bientôt, toute l’administration est saisie de l’affaire. De retour de voyage, R.O est traduit devant les patrons de la société pour qu’il s’explique sur son attitude qui, dit-on, n’honore pas l’institution. Cependant, l’affaire est classée « Top secret ». Totalement indigné, nos sources notent que l’homme porte plainte à la police contre inconnu. Mais des tractations sont engagées et R.O accepte de retirer sa plainte. Vu que la police une fois mêlée à l’affaire à travers son enquête, les choses pourraient s’ébruiter. On en est là, quand contre toute attente, ces temps-ci, la vidéo « sale », gardée sous le boisseau jusque là, se transforme en secret de polichinelle. La nudité de Mlle Z.L, qui lui confère sa dignité de femme est, à la surprise générale étalée au grand jour pour moins que rien. Là, abasourdie, elle porte plainte contre son amant qu’elle accuse d’être le responsable de la divulgation de leur « jardin secret ». Ce dernier, qui jure la main sur le cœur de n’être pas l’auteur de la trahison du secret, est mis aux arrêts le mercredi dernier 10 juin. Une enquête est en cours, pour faire toute la lumière sur cette affaire qui selon des sources discrètes, a des relents de règlement de comptes. R.O est dans de beaux draps et le maintenancier, nous révèle-t-on, pourrait lui aussi, ne pas être mieux loti. Pour l’origine de la mise en ligne de la vidéo érotique, les regards se tournent vers lui. Nous reviendrons absolument sur tous ces aspects des choses, dans nos prochaines parutions. En attendant, pour rappel, côté jardin, il nous revient qu’il y a bien longtemps déjà que R.O et Mlle Z.L se connaissent. L’homme, professeur de chair à l’Inset, a eu comme étudiante, Mlle Z.L. Quand cette dernière des années plus tard obtient un stage dans l’institution où R.O occupe un haut rang, ce dernier use de sa position, pour qu’elle soit embauchée. Ce qui est fait depuis 2006. La reconnaissance pour service rendu, dans ce dur marché du travail, conduit alors, selon nos sources, Mlle Z.L. à être l’objet de plaisir sexuel de son bienfaiteur, jusqu’à ce que les choses « crament ».
Par KIKIE Ahou Nazaire