Un atelier de sensibilisation des Epfnd (Entreprises et professions financières non désignées) sur l’importance de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme se tient depuis le mercredi 17 juin 2009 à Abidjan. Celui-ci fait suite aux différents ateliers organisés à l’endroit des acteurs financiers.
‘’Impact du secteur informel sur la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme dans la zone Uemoa’’. Tel est le thème de la rencontre d’Abidjan à laquelle prennent part des experts du Giaba (Groupe intergouvernemental d’actions contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest). Au terme de trois jours (17 au 19 juin 2009) de travaux en atelier, les experts espèrent pouvoir atteindre leur objectif. A savoir, convaincre les acteurs non professionnels à s’impliquer davantage dans le processus de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, qui sont deux fléaux qui menacent de nos jours les systèmes économiques nationaux. L’importance de la tenue de cette rencontre à Abidjan, explique M. Michel Amiot, représentant du Directeur général du Giaba, est d’amener les assujettis à se soumettre aux réglementations et de faire des rapports sur des transactions douteuses auprès des Centif (Centre national de traitement d’informations financières). Selon. Michel Amiot, c’est une nécessité pour les pays d’Afrique de l’Ouest, dans la mesure où près de 80% des transactions sont faites au comptant et surtout avec d’autres acteurs informels. «On voudrait les sensibiliser d’une part et les inviter à participer en tant qu’assujettis aux réglementations d’autre part», a précisé le représentant du Dr Abdullahi Shehu. Selon toujours M. Michel Amiot, l’atelier vise à sensibiliser les acteurs et permettra de leur donner des outils et de parfaire le travail de recherche réalisé par un des consultants. M. Faustin Honozon, Directeur du Trésor et coordonnateur national du Giaba, représentant le ministre de l’Economie et des Finances, a pour sa part souligné la nécessité d’impliquer les acteurs informels dans le combat de la lutte contre le blanchiment d’argent et du financement du terrorisme. Pour une appréhension de la question, il a demandé aux acteurs financiers d’être beaucoup vigilants.
H.K
‘’Impact du secteur informel sur la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme dans la zone Uemoa’’. Tel est le thème de la rencontre d’Abidjan à laquelle prennent part des experts du Giaba (Groupe intergouvernemental d’actions contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest). Au terme de trois jours (17 au 19 juin 2009) de travaux en atelier, les experts espèrent pouvoir atteindre leur objectif. A savoir, convaincre les acteurs non professionnels à s’impliquer davantage dans le processus de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, qui sont deux fléaux qui menacent de nos jours les systèmes économiques nationaux. L’importance de la tenue de cette rencontre à Abidjan, explique M. Michel Amiot, représentant du Directeur général du Giaba, est d’amener les assujettis à se soumettre aux réglementations et de faire des rapports sur des transactions douteuses auprès des Centif (Centre national de traitement d’informations financières). Selon. Michel Amiot, c’est une nécessité pour les pays d’Afrique de l’Ouest, dans la mesure où près de 80% des transactions sont faites au comptant et surtout avec d’autres acteurs informels. «On voudrait les sensibiliser d’une part et les inviter à participer en tant qu’assujettis aux réglementations d’autre part», a précisé le représentant du Dr Abdullahi Shehu. Selon toujours M. Michel Amiot, l’atelier vise à sensibiliser les acteurs et permettra de leur donner des outils et de parfaire le travail de recherche réalisé par un des consultants. M. Faustin Honozon, Directeur du Trésor et coordonnateur national du Giaba, représentant le ministre de l’Economie et des Finances, a pour sa part souligné la nécessité d’impliquer les acteurs informels dans le combat de la lutte contre le blanchiment d’argent et du financement du terrorisme. Pour une appréhension de la question, il a demandé aux acteurs financiers d’être beaucoup vigilants.
H.K