Silué Siribi, professeur de français au Lycée moderne d’Adzopé, est accusé d’avoir essayé d’ôter la vie à son fils, Silué Kiriba. Selon le jeune Silué, c’est dans la nuit du 17 au 18 juin derniers, profitant de son sommeil, que son père, armé d’une machette, les mains dans des gants, lui a asséné de violents coups de machette au bras et au dos.
L’attention des voisins est attirée par ses cris de douleur. Ceux-ci accourent. Le professeur se sentant alors menacé abandonne sa besogne. Il profite de l’obscurité pour disparaître dans le noir, avec la mère de l’enfant. Ayant découvert le lendemain matin le jeune baignant dans le sang, le président des jeunes, Koki Brou Antoine du quartier TP, le conduit au domicile du chef de quartier Niangoran Tano Etienne. Et informe le président des jeunes de la commune d’Adzopé, Akei Jean Serge. Sur le conseil de ce dernier, le jeune Siriba est conduit à la police d’Adzopé. A la vue de l’état du blessé, l’agent qui les reçoit demande que les premiers soins soient administrés à l’enfant. En l’absence du chirurgien pour raison de grève, c’est l’infirmier major qui le soignera à partir des instructions du chirurgien joint par téléphone. En attendant la fin ou l’arrêt de la grève pour procéder à l’opération chirurgicale que nécessite la blessure.
Appréhendé le lendemain par la police, le professeur n’a pu expliquer les mobiles de son acte. Pour le moment, il est en garde à vue à la police d’Adzopé.
Adou Félix
Correspondant Local
L’attention des voisins est attirée par ses cris de douleur. Ceux-ci accourent. Le professeur se sentant alors menacé abandonne sa besogne. Il profite de l’obscurité pour disparaître dans le noir, avec la mère de l’enfant. Ayant découvert le lendemain matin le jeune baignant dans le sang, le président des jeunes, Koki Brou Antoine du quartier TP, le conduit au domicile du chef de quartier Niangoran Tano Etienne. Et informe le président des jeunes de la commune d’Adzopé, Akei Jean Serge. Sur le conseil de ce dernier, le jeune Siriba est conduit à la police d’Adzopé. A la vue de l’état du blessé, l’agent qui les reçoit demande que les premiers soins soient administrés à l’enfant. En l’absence du chirurgien pour raison de grève, c’est l’infirmier major qui le soignera à partir des instructions du chirurgien joint par téléphone. En attendant la fin ou l’arrêt de la grève pour procéder à l’opération chirurgicale que nécessite la blessure.
Appréhendé le lendemain par la police, le professeur n’a pu expliquer les mobiles de son acte. Pour le moment, il est en garde à vue à la police d’Adzopé.
Adou Félix
Correspondant Local