Le président national de la Jpdci, Kouadio Konan Bertin dit KKB, a rendu officiel le réaménagement de son bureau exécutif. C'était, hier, à la maison du Pdci-Rda à Cocody. Devant les jeunes militants de ce parti et les journalistes de la presse nationale, KKB a fait l'historique de son arrivée à la tête de la Jpdci, salué les invités notamment le maire Akossi Bendjo, les délégués N'goan Aka Mathias (Cocody) et Kouamé Benzème (Abobo). Le président Kouadio Bertin a donné l'ordre du jour comprenant un seul point. Puis il a expliqué longuement ce qui l'a motivé dans le choix de ses hommes et ce qu''il compte faire désormais avec ses nouveaux lieutenants et les jeunes loups de son bureau.
" La rencontre de ce matin a un seul point à l'ordre du jour. Il s'agit de la présentation du nouveau bureau national de la jeunesse du Pdci-Rda. Pour la formation de ce bureau de 68 membres, j'avais privilégié le consensus, le rassemblement et le pardon afin que dans la solidarité et la sincérité, nous puissions atteindre les objectifs assignés par le parti et son président à savoir ramener le Pdci au pouvoir ", dit-il. Le conférencier du jour a rappelé tout le parcours pour arriver à ce stade de l'action politique et l'animation de la JPdci. " Installation de comités, participation à l'enrôlement, meeting, missions et séminaires " ont, selon lui, marqué partiellement son mandat. Mais comme une œuvre n'est jamais parfaite, il a fallu faire le bilan pour repartir sur de nouvelles bases. " Tirant les leçons de ces dysfonctionnements, le réaménagement de notre équipe nous est apparu nécessaire… Il est nécessaire que nous ayons une équipe qui fasse gagner Henri Konan Bédié ", a-t-il indiqué.
Autre temps fort de cette sortie de KKB face à la presse, c'est incontestablement les raisons qu'il a données pour justifier son réaménagement. " Il fallait du sang neuf pour aller au charbon parce que les prochaines élections seront dures. Les anciens montent au Conseil politique pour prendre les décisions. Tandis les jeunes c'est-à-dire les nouveaux se chargeront de l'action ", a conclu KKB pour répondre aux questions des journalistes. Il a par ailleurs rappelé que tous les militants de type Judas seront traités comme tels parce que le "judaïsme au Pdci", c'est trahir le président Bédié. Or, l'heure n'est pas à la trahison mais au contraire au resserrement des liens pour gagner les futures batailles électorales.
Marc Koffi
Photos: OLGA OTTRO
" La rencontre de ce matin a un seul point à l'ordre du jour. Il s'agit de la présentation du nouveau bureau national de la jeunesse du Pdci-Rda. Pour la formation de ce bureau de 68 membres, j'avais privilégié le consensus, le rassemblement et le pardon afin que dans la solidarité et la sincérité, nous puissions atteindre les objectifs assignés par le parti et son président à savoir ramener le Pdci au pouvoir ", dit-il. Le conférencier du jour a rappelé tout le parcours pour arriver à ce stade de l'action politique et l'animation de la JPdci. " Installation de comités, participation à l'enrôlement, meeting, missions et séminaires " ont, selon lui, marqué partiellement son mandat. Mais comme une œuvre n'est jamais parfaite, il a fallu faire le bilan pour repartir sur de nouvelles bases. " Tirant les leçons de ces dysfonctionnements, le réaménagement de notre équipe nous est apparu nécessaire… Il est nécessaire que nous ayons une équipe qui fasse gagner Henri Konan Bédié ", a-t-il indiqué.
Autre temps fort de cette sortie de KKB face à la presse, c'est incontestablement les raisons qu'il a données pour justifier son réaménagement. " Il fallait du sang neuf pour aller au charbon parce que les prochaines élections seront dures. Les anciens montent au Conseil politique pour prendre les décisions. Tandis les jeunes c'est-à-dire les nouveaux se chargeront de l'action ", a conclu KKB pour répondre aux questions des journalistes. Il a par ailleurs rappelé que tous les militants de type Judas seront traités comme tels parce que le "judaïsme au Pdci", c'est trahir le président Bédié. Or, l'heure n'est pas à la trahison mais au contraire au resserrement des liens pour gagner les futures batailles électorales.
Marc Koffi
Photos: OLGA OTTRO