Balufu Bakupa-Kanyinda, cinéaste congolais : “Le programme de cinéma le plus intéressant depuis cinquante ans”
“Le programme du cinéma est le programme le plus complet, le plus intéressant qu’on ait jamais vu en Afrique ces cinquante dernières années. Quarante ans après le premier Panaf, nous avons la chance d’avoir les catalogues de Carthage, de Fespaco et des autres festivals dans lesquels ont été programmés les films africains et nous avons programmé les meilleurs de l’Afrique. Il y a ici, le classique, le panorama du cinéma africain”.
Diabaté Idriss, cinéaste ivoirien : “Le cinéma est le parent pauvre de cette rencontre”
“Il y a eu quelques ratés au niveau organisationnel. Dans le programme d’ensemble, je crois que le cinéma n’a pas eu une place importante. Il n’y a pas de bureau du cinéma, il n’ y a pas de programme organisé de projection. Le cinéma est le parent pauvre de cette rencontre. Il faut que les organisateurs tiennent compte du fait que le cinéma est un grand support pour faire connaître la culture du continent. Je ne pense pas que le public algérois verra l’évolution de la production cinématographique africaine depuis 40 ans parce que les projections se font dans des salles fermées. Quand ce n’est pas le cas, il n’y a pas d’affiches pour indiquer où les projections auront lieu”.
Propos recueillis par C. Ebrokié Envoyé spécial à Alger
“Le programme du cinéma est le programme le plus complet, le plus intéressant qu’on ait jamais vu en Afrique ces cinquante dernières années. Quarante ans après le premier Panaf, nous avons la chance d’avoir les catalogues de Carthage, de Fespaco et des autres festivals dans lesquels ont été programmés les films africains et nous avons programmé les meilleurs de l’Afrique. Il y a ici, le classique, le panorama du cinéma africain”.
Diabaté Idriss, cinéaste ivoirien : “Le cinéma est le parent pauvre de cette rencontre”
“Il y a eu quelques ratés au niveau organisationnel. Dans le programme d’ensemble, je crois que le cinéma n’a pas eu une place importante. Il n’y a pas de bureau du cinéma, il n’ y a pas de programme organisé de projection. Le cinéma est le parent pauvre de cette rencontre. Il faut que les organisateurs tiennent compte du fait que le cinéma est un grand support pour faire connaître la culture du continent. Je ne pense pas que le public algérois verra l’évolution de la production cinématographique africaine depuis 40 ans parce que les projections se font dans des salles fermées. Quand ce n’est pas le cas, il n’y a pas d’affiches pour indiquer où les projections auront lieu”.
Propos recueillis par C. Ebrokié Envoyé spécial à Alger
