Qu'est-ce que les Gma ?
“Les Grands moulins d'Abidjan” (Gma) est une entreprise de minoterie présente en Côte d'Ivoire depuis 1963, qui a été toujours présente en production et en vente sur tout le territoire ivoirien quelles que soient les circonstances. En même temps nous couvrons une bonne partie des pays de la sous-région. Notamment le Mali, le Burkina Faso et le Ghana. Nous sommes une entreprise leader dans cette filière et nous comptons nous maintenir dans cette position.
Pouvez-vous nous situer sur les objectifs de l'organisation de ce déjeuner de presse ?
Notre objectif était de faire connaissance. Cela fait bientôt un an que je suis en Côte d'Ivoire. Je pense qu'après un an de travail, il était bon qu'on se rencontre pour faire le bilan ensemble sur ce que nous avons bien fait et des points à améliorer. Et c'était aussi une occasion de répondre aux préoccupations des journalistes sur certains points par rapport à ce qui a été relayé dans la presse récemment. Et donc, il était temps qu'on sorte de notre Tour (allusion faite à l'usine des Gma au Port d'Abidjan) pour parler de façon sincère et ouverte avec nos partenaires de la presse.
Qu'en est-il de la farine de bétail qui serait consommée en Côte d'Ivoire ?
Il n'en est rien. Je crois avec sincérité qu'il faut se reférer aux autorités de contrôle que de prétendre que de la farine du bétail est commercialisée sur le marché ivoirien. Je crois qu'il faut garder notre sérieux. On peut avoir des problèmes avec des gens, je crois que la moindre des choses c'est la tempérance.
Une concurrence apparemment saine plus ou moins avec les autres minoteries de la place ?
En terme de concurrence, aujourd'hui il y a trois minoteries en Côte d'Ivoire. Nous éprouvons pour l'un et pour l'autre énormément de respect et de courtoisie. Et nous travaillons ensemble. Je crois qu'on arrivera à atteindre l'objectif qu'on s'est fixé tous pour augmenter la consommation de la farine en Côte d'Ivoire. Lorsque la malnutrition baisse, la consommation de l'ensemble des céréales augmente. Charge à nous de travailler pour que la grosse partie nous revienne. Il est donc pour nous une priorité de mettre sur le marché des produits de qualité à des prix abordables pour couvrir le maximum de populations. Nous comptons maintenir le cap à travers la démarche qualité qui est notre credo. C'est un challenge pour nous.
Réalisé par Coulibaly N'Golo A.
“Les Grands moulins d'Abidjan” (Gma) est une entreprise de minoterie présente en Côte d'Ivoire depuis 1963, qui a été toujours présente en production et en vente sur tout le territoire ivoirien quelles que soient les circonstances. En même temps nous couvrons une bonne partie des pays de la sous-région. Notamment le Mali, le Burkina Faso et le Ghana. Nous sommes une entreprise leader dans cette filière et nous comptons nous maintenir dans cette position.
Pouvez-vous nous situer sur les objectifs de l'organisation de ce déjeuner de presse ?
Notre objectif était de faire connaissance. Cela fait bientôt un an que je suis en Côte d'Ivoire. Je pense qu'après un an de travail, il était bon qu'on se rencontre pour faire le bilan ensemble sur ce que nous avons bien fait et des points à améliorer. Et c'était aussi une occasion de répondre aux préoccupations des journalistes sur certains points par rapport à ce qui a été relayé dans la presse récemment. Et donc, il était temps qu'on sorte de notre Tour (allusion faite à l'usine des Gma au Port d'Abidjan) pour parler de façon sincère et ouverte avec nos partenaires de la presse.
Qu'en est-il de la farine de bétail qui serait consommée en Côte d'Ivoire ?
Il n'en est rien. Je crois avec sincérité qu'il faut se reférer aux autorités de contrôle que de prétendre que de la farine du bétail est commercialisée sur le marché ivoirien. Je crois qu'il faut garder notre sérieux. On peut avoir des problèmes avec des gens, je crois que la moindre des choses c'est la tempérance.
Une concurrence apparemment saine plus ou moins avec les autres minoteries de la place ?
En terme de concurrence, aujourd'hui il y a trois minoteries en Côte d'Ivoire. Nous éprouvons pour l'un et pour l'autre énormément de respect et de courtoisie. Et nous travaillons ensemble. Je crois qu'on arrivera à atteindre l'objectif qu'on s'est fixé tous pour augmenter la consommation de la farine en Côte d'Ivoire. Lorsque la malnutrition baisse, la consommation de l'ensemble des céréales augmente. Charge à nous de travailler pour que la grosse partie nous revienne. Il est donc pour nous une priorité de mettre sur le marché des produits de qualité à des prix abordables pour couvrir le maximum de populations. Nous comptons maintenir le cap à travers la démarche qualité qui est notre credo. C'est un challenge pour nous.
Réalisé par Coulibaly N'Golo A.