Dans son roman “Esclaves” qui vient de paraître aux Editions JC Lattès, l’écrivain togolais Kangni Alem rappelle la “traite négrière clandestine” ayant prospéré à la fin du XIXe siècle entre le Bénin et le Brésil. Son objectif est de démontrer que ce commerce dont le peuple noir traîne les stigmates pour l’éternité, relève d’une “désagrégation morale”.
Kagni Alem ne nie pas pour autant son caractère “complexe”. En tout état de cause, à travers ce livre, fruit de “7 années de documentation”, il clame haut et de manière intelligible, son souci d’“apaiser la mémoire” des victimes à l’heure où l’Afrique ne veut plus se laisser conter sa propre mémoire collective par les pseudo philanthropes blancs.
Homme de théâtre, enseignant, auteur et critique littéraire, Kagni Alem est né en 1966, à Lomé, au Togo. Il est le fondateur et l’animateur de l'Atelier Théâtre de Lomé.
Schadé Adédé
Kagni Alem ne nie pas pour autant son caractère “complexe”. En tout état de cause, à travers ce livre, fruit de “7 années de documentation”, il clame haut et de manière intelligible, son souci d’“apaiser la mémoire” des victimes à l’heure où l’Afrique ne veut plus se laisser conter sa propre mémoire collective par les pseudo philanthropes blancs.
Homme de théâtre, enseignant, auteur et critique littéraire, Kagni Alem est né en 1966, à Lomé, au Togo. Il est le fondateur et l’animateur de l'Atelier Théâtre de Lomé.
Schadé Adédé