Narcisse Doua, président de la coalition pour la survie de l’UDPCI (CJS-UDPCI) n’a pas pris de gants pour dénoncer, hier, Séraphin Yao, le président de la jeunesse du parti ,et Blé Guirao qui sont, selon lui, les premiers responsables des maux dont souffre le parti aujourd’hui. La CJS-UDPCI “condamne avec énergie les propos calomnieux et irresponsables de la bande à Blé Guirao à l’encontre de l’honorable Siki Blon Blaise, dénonce fermement la culture de la violence verbale et physique doublée d’une ingratitude caractérisée dont se sont rendus coutumiers ces individus sans carapace. La CJS-UDPCI décide d’agir sans délai pour mettre un terme au projet funeste de la bande à Blé Guiriao dont l’objectif est la déstabilisation du parti en éloignant de celui-ci tous ses dignitaires”, a-t-il soutenu au cours d’une conférence de presse tenue dans un restaurant de Yopougon, en présence des jeunes militants du parti.
Lui-même coordinateur de la JUDPCI de Yopougon Niangon, narcisse Doua salue Blon Blaise qu’il présente comme “grand bâtisseur de la grande région des montagnes”. Il invite par ailleurs le président Mabri Touakeusse et toute la direction du parti à prendre les dispositions utiles pour engager le dialogue au sein du parti sur les questions pertinentes soulevées par Blon Blaise. Aux jeunes, il demande de se « tenir prêts pour le combat de la renaissance du parti ».
C’est que Narcisse Doua et ses camarades ne supportent pas les sorties contre le vice-président de l’Assemblée nationale, président du conseil général de Man et superviseur de l’UDPCI pour la région des montagnes et du Bafing. Selon lui, ces agissements sont du fait de Blé Guirao et de Séraphin Yao. “Cette bande n’est pas à son premier forfait. Blé et ses hommes se sont déjà attaqués à plusieurs dignitaires du parti au nombre desquels Jean Gnédéa, Salif N’diaye et Bernard Ourega”, s’indigne-t-il avant de regretter que Blé se soit érigé de fait en porte- parole du parti à la place de Eugène N’dah. Narcisse Doua pense que de nombreux élus et autres responsables du parti, excédés par les agissements de Blé, ont quitté le parti. Résultat, l’UDPCI, qui a débuté la mandature avec 14 députés, n’en a plus que quatre aujourd’hui. “Face à ces actes d’une extrême gravité, nous, la vraie jeunesse de l’UDPCI, avons décidé de prendre notre responsabilité pour barrer la route à ces pseudo responsables politiques, sans aucune légitimité”, a martelé le président de la CJS-UDPCI.
Entouré de deux de ses plus proches collaborateurs, Narcisse Doua souligne toutefois que son mouvement s’inscrit dans la voie de la non violence. Pour lui, tout doit être mis en œuvre pour éviter la violence. “Les actions futures vont nous déterminer”, poursuit-il. Sans plus de détail. Selon son président, la CJS-UDPCI a été créée à la faveur de la naissance de la crise qui sécoue en ce moment le parti créé par feu le général Guéi.
Paul D. Tayoro
Lui-même coordinateur de la JUDPCI de Yopougon Niangon, narcisse Doua salue Blon Blaise qu’il présente comme “grand bâtisseur de la grande région des montagnes”. Il invite par ailleurs le président Mabri Touakeusse et toute la direction du parti à prendre les dispositions utiles pour engager le dialogue au sein du parti sur les questions pertinentes soulevées par Blon Blaise. Aux jeunes, il demande de se « tenir prêts pour le combat de la renaissance du parti ».
C’est que Narcisse Doua et ses camarades ne supportent pas les sorties contre le vice-président de l’Assemblée nationale, président du conseil général de Man et superviseur de l’UDPCI pour la région des montagnes et du Bafing. Selon lui, ces agissements sont du fait de Blé Guirao et de Séraphin Yao. “Cette bande n’est pas à son premier forfait. Blé et ses hommes se sont déjà attaqués à plusieurs dignitaires du parti au nombre desquels Jean Gnédéa, Salif N’diaye et Bernard Ourega”, s’indigne-t-il avant de regretter que Blé se soit érigé de fait en porte- parole du parti à la place de Eugène N’dah. Narcisse Doua pense que de nombreux élus et autres responsables du parti, excédés par les agissements de Blé, ont quitté le parti. Résultat, l’UDPCI, qui a débuté la mandature avec 14 députés, n’en a plus que quatre aujourd’hui. “Face à ces actes d’une extrême gravité, nous, la vraie jeunesse de l’UDPCI, avons décidé de prendre notre responsabilité pour barrer la route à ces pseudo responsables politiques, sans aucune légitimité”, a martelé le président de la CJS-UDPCI.
Entouré de deux de ses plus proches collaborateurs, Narcisse Doua souligne toutefois que son mouvement s’inscrit dans la voie de la non violence. Pour lui, tout doit être mis en œuvre pour éviter la violence. “Les actions futures vont nous déterminer”, poursuit-il. Sans plus de détail. Selon son président, la CJS-UDPCI a été créée à la faveur de la naissance de la crise qui sécoue en ce moment le parti créé par feu le général Guéi.
Paul D. Tayoro
