Le Bureau exécutif national rénové de la Jeunesse du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (JPDCI) a tenu sa réunion hebdomadaire, les samedi 18 et dimanche 19 juillet derniers, au domicile de feu Alexis Elleingand Etché à Krindjabo (S/P d’Aboisso).
A l’ouverture de ce conclave, le premier responsable de la jeunesse de l’ancien parti au pouvoir, M. Kouadio Konan Bertin dit KKB, a appelé à une révolte du peuple pour contraindre le pouvoir à organiser les élections.
“Il me semble qu’il n’y aura pas d’élection tant que le peuple ne s’est pas révolté”. Telle est la conviction de Kouadio Konan Bertin quant aux conditions d’organisation de l’élection présidentielle. “Les enseignants et les médecins ne peuvent continuer les grèves sans le PDCI. Les Mahan Gahé peuvent gesticuler et dire ce qu’ils veulent. Notre responsabilité est engagée”, a-t-il indiqué, avant de préciser que tels sont les enjeux de la réunion du week-end. KKB a alors demandé à ses camarades de conduire les Ivoiriens vers la rupture.
Parlant de l’ingratitude et du manque de solidarité de certains cadres du PDCI, le président de la JPDCI a rappelé certains actes de solidarité posés par Henri Konan Bédié, président du parti quand il était aux affaires. “Aux législatives dernières, Bédié a remis la somme d’un million de franc CFA à chacun des 225 candidats du parti. Cela fait 225 millions de FCFA. Mais des gens ont trouvé ce million petit oubliant de le multiplier par 225. La signature de Bédié permet aujourd’hui à des gens d’être ministres ou d’être heureux. Mais combien l’ont-ils soutenu quand il était en exil ?”, s’est-il interrogé. “On ne peut pas tolérer le “bordélisme” au PDCI” préviendra-t-il.
Le président de la JPDCI a tenu à rendre un vibrant hommage à feu Elleingand Etché et au vice président du PDCI, Aka Aouélé, témoins de son mariage. Pour lui, l’ex-député-maire d’Aboisso était “un modèle de loyauté et de fidélité, un homme de culture, de grande dimension, de rigueur et de probité” qui, à l’en croire, a légué son héritage à Aka Aouélé. Ce dernier a, quant à lui, relevé que feu Jean Michel Kouao à Agnibilékrou et feu Elleingand Etché ont été des modèles d’engagement, de rassemblement et de conviction, avant de plaider pour le retour du candidat du PDCI au pouvoir. “Que les esprits de nos disparus, dont le plus illustre, feu Houphouet-Boigny, nous bénissent et nous conduisent à la victoire d’Henri Konan Bédié aux élections prochaines”, a-t-il souhaité.
Des cadres du PDCI, dont MM. Jérémie N’Gouan, Aka Brou Louis Blaise et Jean Paul Bénié, tous des délégués communaux ou sous-préfectoraux, et Anouma Magloire, ex-président national de la JPDCI, et bien d’autres personnalités ont assisté à la cérémonie d’ouverture de cette réunion qui a porté sur la situation sociopolitique, le rappel des feuilles de route des départements suivi de la note d’orientation du président national, le compte rendu de la pré-convention, la convention nationale, etc.
Sam K.D.
A l’ouverture de ce conclave, le premier responsable de la jeunesse de l’ancien parti au pouvoir, M. Kouadio Konan Bertin dit KKB, a appelé à une révolte du peuple pour contraindre le pouvoir à organiser les élections.
“Il me semble qu’il n’y aura pas d’élection tant que le peuple ne s’est pas révolté”. Telle est la conviction de Kouadio Konan Bertin quant aux conditions d’organisation de l’élection présidentielle. “Les enseignants et les médecins ne peuvent continuer les grèves sans le PDCI. Les Mahan Gahé peuvent gesticuler et dire ce qu’ils veulent. Notre responsabilité est engagée”, a-t-il indiqué, avant de préciser que tels sont les enjeux de la réunion du week-end. KKB a alors demandé à ses camarades de conduire les Ivoiriens vers la rupture.
Parlant de l’ingratitude et du manque de solidarité de certains cadres du PDCI, le président de la JPDCI a rappelé certains actes de solidarité posés par Henri Konan Bédié, président du parti quand il était aux affaires. “Aux législatives dernières, Bédié a remis la somme d’un million de franc CFA à chacun des 225 candidats du parti. Cela fait 225 millions de FCFA. Mais des gens ont trouvé ce million petit oubliant de le multiplier par 225. La signature de Bédié permet aujourd’hui à des gens d’être ministres ou d’être heureux. Mais combien l’ont-ils soutenu quand il était en exil ?”, s’est-il interrogé. “On ne peut pas tolérer le “bordélisme” au PDCI” préviendra-t-il.
Le président de la JPDCI a tenu à rendre un vibrant hommage à feu Elleingand Etché et au vice président du PDCI, Aka Aouélé, témoins de son mariage. Pour lui, l’ex-député-maire d’Aboisso était “un modèle de loyauté et de fidélité, un homme de culture, de grande dimension, de rigueur et de probité” qui, à l’en croire, a légué son héritage à Aka Aouélé. Ce dernier a, quant à lui, relevé que feu Jean Michel Kouao à Agnibilékrou et feu Elleingand Etché ont été des modèles d’engagement, de rassemblement et de conviction, avant de plaider pour le retour du candidat du PDCI au pouvoir. “Que les esprits de nos disparus, dont le plus illustre, feu Houphouet-Boigny, nous bénissent et nous conduisent à la victoire d’Henri Konan Bédié aux élections prochaines”, a-t-il souhaité.
Des cadres du PDCI, dont MM. Jérémie N’Gouan, Aka Brou Louis Blaise et Jean Paul Bénié, tous des délégués communaux ou sous-préfectoraux, et Anouma Magloire, ex-président national de la JPDCI, et bien d’autres personnalités ont assisté à la cérémonie d’ouverture de cette réunion qui a porté sur la situation sociopolitique, le rappel des feuilles de route des départements suivi de la note d’orientation du président national, le compte rendu de la pré-convention, la convention nationale, etc.
Sam K.D.
