Le FPI a tiré les leçons de la dernière tournée de Mme Simone Ehivet Gbagbo dans le pays akan et les départements de Katiola, Dabakala, Niakara et Bouaflé. Durant trois jours, tous les sujets ont été débattus. Dans cette partie du pays, les moyens ont été identifiés pour permettre une meilleure implantation et la victoire éclatante du FPI.
Il est 13h45 ce dimanche 19 juillet à Mama, quand Mme Simone Ehivet Gbagbo met fin au séminaire de trois jours organisé pour faire le bilan de sa tournée dans le pays akan et les départements de Katiola, Dabakala et Bouaflé. Près de 150 personnes ont activement pris part aux travaux. Et les DDC et les fédéraux conviés à la rencontre ont marqué leur présence à 100%.
La deuxième vice-présidente du FPI chargée de la vie du parti s’en est fortement réjouie. «C’est un élément de fierté pour moi. Les débats ont été sérieux et profonds. Aucun sujet n’a été écarté ou contourné, toutes les questions ont été discutées de façon courageuse et franche. Cela a donné une bonne qualité à notre séminaire», a-t-elle indiqué. Avant de se déclarer heureuse de la détermination notée chez chaque participant à être davantage présent sur le terrain pour faire en sorte que le candidat du FPI remporte l’élection présidentielle dès le premier tour. «Les élus sont venus en grand nombre. Les secrétaires nationaux chargés des régions sont venus ou se sont fait représenter. Il était important qu’ils soient là», a-t-elle poursuivi, avec une pointe spéciale pour M. Sokouri Bohui, secrétaire national chargé des élections, qui a suivi les travaux de bout à bout.
Tirer les leçons de la tournée, faire le point de l’opération d’enrôlement et celui des doléances présentées par les populations et jeter les bases d’une campagne capable de faire gagner le FPI au premier tour dans cette zone. Voilà les objectifs de ce séminaire qui a souvent bénéficié des éclairages du président Gbagbo lui-même.
A la fin des travaux qui ont parfois duré jusqu’à très tard la nuit, il a été établi, entre autres, que de nombreux cadres et militants du parti manquent de formation politique. Que dans les régions CNO et en particulier dans les pays baoulé, tagbana, djimini, gins et djamala, le parti manque de cadres et est en proie à d’énormes difficultés sur le terrain. Les «camarades» de cette zone doivent donc être aidés. Il a également été demandé une instruction poussée du dossier des déguerpis des plantations de café et de cacao dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire afin que des chiffres précis soient rendus disponibles, et les vraies responsabilités, établies.
En outre, les militants du FPI sont priés de faire preuve d’une plus grande «ouverture d’esprit, de cohésion, d’entente et un sens de l’accueil à l’endroit des nouveaux. Afin que le parti ne devienne pas un parti d’anciens combattants».
Conduit par Michel Guédé Zadi, son directeur, le cabinet politique de la deuxième vice- présidente du FPI chargée de la vie du parti a fait une organisation jugée satisfaisante de la rencontre. A la fin, une motion de félicitations a été lue pour saluer l’engagement de Mme Gbagbo, sa détermination, sa méthode de travail et sa connaissance parfaite du terrain. Elle a été encouragée à persévérer dans cette voie et à veiller au suivi des résolutions du séminaire.
Le président Laurent Gbagbo a pris une part très active aux débats. Le séminaire lui a adressé une motion spéciale de soutien.
Paul D. Tayoro envoyé spécial
Il est 13h45 ce dimanche 19 juillet à Mama, quand Mme Simone Ehivet Gbagbo met fin au séminaire de trois jours organisé pour faire le bilan de sa tournée dans le pays akan et les départements de Katiola, Dabakala et Bouaflé. Près de 150 personnes ont activement pris part aux travaux. Et les DDC et les fédéraux conviés à la rencontre ont marqué leur présence à 100%.
La deuxième vice-présidente du FPI chargée de la vie du parti s’en est fortement réjouie. «C’est un élément de fierté pour moi. Les débats ont été sérieux et profonds. Aucun sujet n’a été écarté ou contourné, toutes les questions ont été discutées de façon courageuse et franche. Cela a donné une bonne qualité à notre séminaire», a-t-elle indiqué. Avant de se déclarer heureuse de la détermination notée chez chaque participant à être davantage présent sur le terrain pour faire en sorte que le candidat du FPI remporte l’élection présidentielle dès le premier tour. «Les élus sont venus en grand nombre. Les secrétaires nationaux chargés des régions sont venus ou se sont fait représenter. Il était important qu’ils soient là», a-t-elle poursuivi, avec une pointe spéciale pour M. Sokouri Bohui, secrétaire national chargé des élections, qui a suivi les travaux de bout à bout.
Tirer les leçons de la tournée, faire le point de l’opération d’enrôlement et celui des doléances présentées par les populations et jeter les bases d’une campagne capable de faire gagner le FPI au premier tour dans cette zone. Voilà les objectifs de ce séminaire qui a souvent bénéficié des éclairages du président Gbagbo lui-même.
A la fin des travaux qui ont parfois duré jusqu’à très tard la nuit, il a été établi, entre autres, que de nombreux cadres et militants du parti manquent de formation politique. Que dans les régions CNO et en particulier dans les pays baoulé, tagbana, djimini, gins et djamala, le parti manque de cadres et est en proie à d’énormes difficultés sur le terrain. Les «camarades» de cette zone doivent donc être aidés. Il a également été demandé une instruction poussée du dossier des déguerpis des plantations de café et de cacao dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire afin que des chiffres précis soient rendus disponibles, et les vraies responsabilités, établies.
En outre, les militants du FPI sont priés de faire preuve d’une plus grande «ouverture d’esprit, de cohésion, d’entente et un sens de l’accueil à l’endroit des nouveaux. Afin que le parti ne devienne pas un parti d’anciens combattants».
Conduit par Michel Guédé Zadi, son directeur, le cabinet politique de la deuxième vice- présidente du FPI chargée de la vie du parti a fait une organisation jugée satisfaisante de la rencontre. A la fin, une motion de félicitations a été lue pour saluer l’engagement de Mme Gbagbo, sa détermination, sa méthode de travail et sa connaissance parfaite du terrain. Elle a été encouragée à persévérer dans cette voie et à veiller au suivi des résolutions du séminaire.
Le président Laurent Gbagbo a pris une part très active aux débats. Le séminaire lui a adressé une motion spéciale de soutien.
Paul D. Tayoro envoyé spécial
