Il détourne le taxi de son employeur
Zahoury, 32 ans, chauffeur de taxi, n’a pas réfléchi une seconde pour mettre à exécution son idée. Il conduit un taxi pour le compte de B. Charles. Zahoury, chauffeur titulaire. Mais, dans la nuit du 21 juin, il fomente un coup avec son suppléant qui disparaît avec le véhicule. «Pendant deux jours, mon taxi ne rentrait plus dans le parking où on avait l’habitue de le garer. J’ai interpellé le nommé Zahoury qui est mon chauffeur titulaire. Et c’est en ce moment qu’il m’a fait savoir que le conducteur en second l’aurait appelé pour l’informer qu’il a eu une crevaison au niveau du grand carrefour de Koumassi», soutient Charles qui ajoute que depuis la nuit du 21 juin, le taxi d’une valeur de 2 millions Fcfa est introuvable. «Donc, je porte plainte contre le chauffeur titulaire et son second car, c’est lui seul qui connaît son ami», conclut le plaignant à la fin de son audition au commissariat de police du 14ème arrondissement, à Abobo. Zahoury acquiesce les propos de son employeur mais il rejette toute responsabilité. «Nous avons entrepris ensembles les recherches. Le conducteur suppléant et la voiture restent introuvables. A aucun moment je ne suis complice d’un tel acte », se défend-il. Affaire à suivre au tribunal.
Confiance d’accord mais…
Mlle G.B.Sabine, 28 ans, n’a pas fait fi de la maxime selon laquelle la confiance n’exclût pas le contrôle. Elle avait confié son épargne à Mariette, sa voisine à Koumassi, quartier Félix Houphouët Boigny. Selon Sabine sa voisine a utilisé à des fins personnelles son argent. Depuis cette accusation, elles se boudent et cela a entraîné le 7 juillet des disputes. Les deux femmes se sont battues dans la chambre de Mariette où Sabine était venue réclamer son argent. Le lendemain, le 8 juillet, alors que Mariette allait chercher de l’eau pour le ménage, elle tombe dans un guet-apens de Sabine. «Elle m’a poussé et s’est assise sur moi pour me taillader le visage avec une lame », avance Mariette. Interrogée au commissariat de police du 36ème arrondissement, Sabine reconnaît s’être battue avec sa voisine qui la traitait de sorcière. Cependant, elle nie être l’auteur des blessures de Mariette qui présente un certificat médical de 15 jours Itt (incapacité temporaire de travail).
On ne se soulage pas partout
Dallo F. , 23 ans, aurait dû faire attention à l’endroit où il se soulageait. Pris d’un malaise selon lui dans la nuit du 26 juin aux environs de 1 heure, il va se décharger juste derrière l’un des conteneurs parqués devant la société Prosuma, à Vridi. «Une patrouille d’une société de gardiennage est passée à bord d’un véhicule. Je me suis caché pour éviter la lumière des phares. Une fois à mon niveau des agents sont descendus de la voiture pour m’attraper sous prétexte que j’étais en train de voler des câbles», déclare-t-il dans sa déposition au poste de police du 4ème arrondissement, en zone 3. Dallo est poursuivi pour tentative de vol.
Une sélection de O.M
Zahoury, 32 ans, chauffeur de taxi, n’a pas réfléchi une seconde pour mettre à exécution son idée. Il conduit un taxi pour le compte de B. Charles. Zahoury, chauffeur titulaire. Mais, dans la nuit du 21 juin, il fomente un coup avec son suppléant qui disparaît avec le véhicule. «Pendant deux jours, mon taxi ne rentrait plus dans le parking où on avait l’habitue de le garer. J’ai interpellé le nommé Zahoury qui est mon chauffeur titulaire. Et c’est en ce moment qu’il m’a fait savoir que le conducteur en second l’aurait appelé pour l’informer qu’il a eu une crevaison au niveau du grand carrefour de Koumassi», soutient Charles qui ajoute que depuis la nuit du 21 juin, le taxi d’une valeur de 2 millions Fcfa est introuvable. «Donc, je porte plainte contre le chauffeur titulaire et son second car, c’est lui seul qui connaît son ami», conclut le plaignant à la fin de son audition au commissariat de police du 14ème arrondissement, à Abobo. Zahoury acquiesce les propos de son employeur mais il rejette toute responsabilité. «Nous avons entrepris ensembles les recherches. Le conducteur suppléant et la voiture restent introuvables. A aucun moment je ne suis complice d’un tel acte », se défend-il. Affaire à suivre au tribunal.
Confiance d’accord mais…
Mlle G.B.Sabine, 28 ans, n’a pas fait fi de la maxime selon laquelle la confiance n’exclût pas le contrôle. Elle avait confié son épargne à Mariette, sa voisine à Koumassi, quartier Félix Houphouët Boigny. Selon Sabine sa voisine a utilisé à des fins personnelles son argent. Depuis cette accusation, elles se boudent et cela a entraîné le 7 juillet des disputes. Les deux femmes se sont battues dans la chambre de Mariette où Sabine était venue réclamer son argent. Le lendemain, le 8 juillet, alors que Mariette allait chercher de l’eau pour le ménage, elle tombe dans un guet-apens de Sabine. «Elle m’a poussé et s’est assise sur moi pour me taillader le visage avec une lame », avance Mariette. Interrogée au commissariat de police du 36ème arrondissement, Sabine reconnaît s’être battue avec sa voisine qui la traitait de sorcière. Cependant, elle nie être l’auteur des blessures de Mariette qui présente un certificat médical de 15 jours Itt (incapacité temporaire de travail).
On ne se soulage pas partout
Dallo F. , 23 ans, aurait dû faire attention à l’endroit où il se soulageait. Pris d’un malaise selon lui dans la nuit du 26 juin aux environs de 1 heure, il va se décharger juste derrière l’un des conteneurs parqués devant la société Prosuma, à Vridi. «Une patrouille d’une société de gardiennage est passée à bord d’un véhicule. Je me suis caché pour éviter la lumière des phares. Une fois à mon niveau des agents sont descendus de la voiture pour m’attraper sous prétexte que j’étais en train de voler des câbles», déclare-t-il dans sa déposition au poste de police du 4ème arrondissement, en zone 3. Dallo est poursuivi pour tentative de vol.
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