Selon les spécialistes, une grossesse sur cinq n’arrive pas à son terme; une grossesse sur trois, si l’on compte celles inaperçues qui se traduisent par un simple retard de règles. Ces chiffres créent un traumatisme chez toutes les femmes qui ont un début de grossesse.
Selon Dr Adjobi Roland, gynécologue obstétricien au Chu de Cocody, la première cause des fausses couches précoces est une anomalie chromosomique de l’embryon. Elle est due à un problème survenu lors de la conception, quand le spermatozoïde féconde l’ovule. L’organisme de la mère décide alors d’expulser l’embryon qui ne pourra pas se développer normalement. Les anomalies hormonales sont mises en cause. Il peut survenir un défaut de progestérone au cours de la grossesse. Aussi, une anomalie anatomique de la maman, telle une malformation de l’utérus, ou un problème lié à la muqueuse, empêchant la nidation de l’œuf. Ces anomalies anatomiques sont à blâmer lors des fausses couches. Le Dr Adjobi a relevé des réactions immunologique des anticorps de la mère. Les anticorps de la mère peuvent expulser ceux de l’enfant et s’en suit une fausse couche. Certaines infections peuvent être à la base des fausses couches prématurées. Ce sont la rubéole, le Vih/sida et autres. Certaines pathologies entrent également en ligne de compte dans l’expulsion prématurée de la grossesse. Selon le Dr Adjobi, le paludisme est un grand frein au développement de la grossesse. A côté de cette maladie fréquente sous nos tropiques, le diabète et la drépanocytose sont présentes. Selon ses dires, il est rare que la grossesse d’une femme diabétique ou drépanocytaire arrive à terme. La béance du col de l’utérus chez certaines femmes favorise le rejet de l’œuf. Il s’agit, d’après le spécialiste d’une ouverture anormale de la partie supérieure du col qui conduit à une mauvaise fermeture de l’utérus pendant la grossesse.
A. K
Selon Dr Adjobi Roland, gynécologue obstétricien au Chu de Cocody, la première cause des fausses couches précoces est une anomalie chromosomique de l’embryon. Elle est due à un problème survenu lors de la conception, quand le spermatozoïde féconde l’ovule. L’organisme de la mère décide alors d’expulser l’embryon qui ne pourra pas se développer normalement. Les anomalies hormonales sont mises en cause. Il peut survenir un défaut de progestérone au cours de la grossesse. Aussi, une anomalie anatomique de la maman, telle une malformation de l’utérus, ou un problème lié à la muqueuse, empêchant la nidation de l’œuf. Ces anomalies anatomiques sont à blâmer lors des fausses couches. Le Dr Adjobi a relevé des réactions immunologique des anticorps de la mère. Les anticorps de la mère peuvent expulser ceux de l’enfant et s’en suit une fausse couche. Certaines infections peuvent être à la base des fausses couches prématurées. Ce sont la rubéole, le Vih/sida et autres. Certaines pathologies entrent également en ligne de compte dans l’expulsion prématurée de la grossesse. Selon le Dr Adjobi, le paludisme est un grand frein au développement de la grossesse. A côté de cette maladie fréquente sous nos tropiques, le diabète et la drépanocytose sont présentes. Selon ses dires, il est rare que la grossesse d’une femme diabétique ou drépanocytaire arrive à terme. La béance du col de l’utérus chez certaines femmes favorise le rejet de l’œuf. Il s’agit, d’après le spécialiste d’une ouverture anormale de la partie supérieure du col qui conduit à une mauvaise fermeture de l’utérus pendant la grossesse.
A. K