Bientôt, le peuple souverain de Côte d’Ivoire s’exprimera par le suffrage universel pour élire son Président de la République pour une durée de cinq ans au terme d’un scrutin majoritaire à deux tours où les alliances pourraient se nouer.
Ce choix démocratique nécessaire, le peuple ivoirien dans sa majorité le fera en apportant son suffrage à celui des candidats qui lui paraîtra le mieux placé pour conduire son destin dans un monde très difficile soumis à des convulsions diverses que beaucoup d’élus anciens ou nouveaux tiennent en effervescence.
Ainsi, de tous les illustres candidats déclarés qui aspirent ou prétendent à la magistrature suprême, la candidature de Monsieur Laurent Gbagbo, Président de la République sortant, apparaît comme une chance, une opportunité pour la Côte d’ivoire.
Cette chance, cette opportunité, la Côte d’Ivoire la saisira si elle veut que l’avenir se fasse avec elle dans la sécurité retrouvée et le progrès économique et social auquel elle aspire.
La Côte d’Ivoire saisira cette chance parce que d’une part, elle est composée d’un peuple dont l’aptitude au bonheur ne fait pas de doute ; cette aptitude au bonheur, on peut la lire dans les yeux de son innombrable jeunesse, courageuse et perpétuellement en quête d’espoir. D’autre part, cette chance sera saisie car la Côte d’Ivoire n’oublie pas sa vocation ancienne d’être la locomotive extraordinaire et remarquable dans la sous-région en raison de son dynamisme économique, de son rayonnement, de son sens de l’hospitalité et enfin, du rôle qu’elle occupait dans le concert des nations et de son crédit international.
La Côte d’Ivoire a conscience qu’elle doit renouer avec la légitimité par le biais des élections afin d’être forte et sûre d’elle-même pour relever tous les grands défis de ce monde auxquels elle est confrontée, qu’il s’agisse des questions monétaires, de l’ajustement des termes de l’échange, de l’échange inéquitable, de l’environnement ou du réchauffement climatique sans oublier les négociations interétatiques qui porteraient sur les transferts technologiques.
En septembre 2010, un Président de la République nouvellement élu par les Ivoiriens pourrait ouvrir tous ces chantiers à la Tribune de l’Assemblée Générale des Nations unies à New-York.
C’est la raison pour laquelle il est nécessaire d’indiquer les motifs pour lesquels le candidat Laurent Gbagbo apparaît comme étant une chance pour la Côte d’Ivoire. Ces motifs tiennent aussi bien par ses qualités personnelles que par son action depuis son accession à la fonction suprême de Président de la République de Côte d’Ivoire.
Un courageux démocrate, opposant politique historique
Monsieur Laurent Gbagbo est incontestablement celui qui, avec un rare courage, a révolutionné puis modernisé la vie politique ivoirienne en initiant au péril de sa carrière le premier parti d’opposition dans un contexte particulièrement difficile, voire hostile. Il a fallu la pression du sommet franco-africain de la Baule sous le premier septennat de Monsieur François MITTERAND pour légitimer le multipartisme qui est un signe de modernité dans la vie d’un Etat démocratique. Monsieur Laurent Gbagbo est à cet égard le démocrate qui conteste la pensée unique et qui croit en l’émergence d’une force d’opposition. C’est donc logiquement qu’il a été amené à inaugurer la première alternance politique que la Côte d’Ivoire ait connue après sa brillante victoire aux élections présidentielles, félicitée, saluée et validée par la communauté internationale.
La mise en place d’un statut d’ancien Président de la République.
La mise en place en Côte d’Ivoire d’un statut d’ancien Président de la République est une innovation. Elle est le résultat d’un processus voulu et initié par Monsieur Laurent GBAGBO qui désirait d’une part accorder une reconnaissance nationale à tous ses prédécesseurs, et d’autre part leur accorder des moyens nécessaires et des facilités en raison des services éminents rendus à la cause du pays. Ce statut s’inscrit dans un processus de modernisation de la vie politique et celle des institutions de la Côte d’Ivoire. Une telle mesure protège la dignité de la fonction.
La Constitution, l’arbitre du pays
Lorsque la République et la Nation furent attaquées et que les institutions démocratiques furent menacées, le Président de la République Laurent Gbagbo alors en visite officielle en Italie, n’a pas demandé de l’aide à Paris ou à Rome. Il n’a pas choisi le chemin de l’exil. Il est rentré directement en Côte d’Ivoire pour s’adresser à la Nation et redresser la situation. Il est resté avec le Peuple dans les jours les plus sombres. A son retour, il n’a pas joué un rôle passif. Bien au contraire, il s’est montré capable d’une grande vitalité politique.
Président de la République, Chef de l’Etat détenteur du Pouvoir Exécutif, chef des Armées et garant des Institutions, Monsieur Laurent Gbagbo a protégé la Nation à l’aide de la Loi Fondamentale en considérant à juste titre la Constitution comme l’arbitre du pays.
Sa valeur, sa solidité et sa détermination se sont confirmées tout au long de la crise.
Le dialogue direct, un succès politique.
Depuis l’avènement de la crise ivoirienne, Monsieur Laurent Gbagbo s’est attelé à une recherche constante de la paix en liaison avec tous les acteurs concernés. De toutes les solutions envisagées, le concept de “dialogue direct” initié par le Président Gbagbo, demeure un succès politique indéniable, important et efficace puisqu’il permet que le pays soit gouverné durablement et sans tensions.
Ce concept fait de lui un homme d’union et de conciliation capable d’assurer l’unité du pays à laquelle tous les Ivoiriens aspirent.
Outre son immense taux de popularité et sa longue expérience inégalée au sommet de l’Etat, il demeure un homme mûri des affaires de l’Etat et qui saura jouer le rôle d’arbitre lorsque les circonstances l’exigeront.
Ce sont là pour l’essentiel, les raisons impérieuses qui détermineront les Ivoiriennes et les Ivoiriens à renouveler leur confiance au Président Laurent Gbagbo en lui octroyant une nouvelle légitimité.
Faire le choix du Président Gbagbo, c’est choisir un avenir de progrès et de réformes nécessaires. Avec lui, la Nation ne reculera pas, elle avancera.
Il faut l’élire car si demain la défense nationale était en jeu, la Nation pourrait compter sur lui.
Pr. Claude BIOT
Président du mouvement Europe-Afrique pour le développement
de la coopération – Paris
E-mail : cbiot@wanadoo.fr
Ce choix démocratique nécessaire, le peuple ivoirien dans sa majorité le fera en apportant son suffrage à celui des candidats qui lui paraîtra le mieux placé pour conduire son destin dans un monde très difficile soumis à des convulsions diverses que beaucoup d’élus anciens ou nouveaux tiennent en effervescence.
Ainsi, de tous les illustres candidats déclarés qui aspirent ou prétendent à la magistrature suprême, la candidature de Monsieur Laurent Gbagbo, Président de la République sortant, apparaît comme une chance, une opportunité pour la Côte d’ivoire.
Cette chance, cette opportunité, la Côte d’Ivoire la saisira si elle veut que l’avenir se fasse avec elle dans la sécurité retrouvée et le progrès économique et social auquel elle aspire.
La Côte d’Ivoire saisira cette chance parce que d’une part, elle est composée d’un peuple dont l’aptitude au bonheur ne fait pas de doute ; cette aptitude au bonheur, on peut la lire dans les yeux de son innombrable jeunesse, courageuse et perpétuellement en quête d’espoir. D’autre part, cette chance sera saisie car la Côte d’Ivoire n’oublie pas sa vocation ancienne d’être la locomotive extraordinaire et remarquable dans la sous-région en raison de son dynamisme économique, de son rayonnement, de son sens de l’hospitalité et enfin, du rôle qu’elle occupait dans le concert des nations et de son crédit international.
La Côte d’Ivoire a conscience qu’elle doit renouer avec la légitimité par le biais des élections afin d’être forte et sûre d’elle-même pour relever tous les grands défis de ce monde auxquels elle est confrontée, qu’il s’agisse des questions monétaires, de l’ajustement des termes de l’échange, de l’échange inéquitable, de l’environnement ou du réchauffement climatique sans oublier les négociations interétatiques qui porteraient sur les transferts technologiques.
En septembre 2010, un Président de la République nouvellement élu par les Ivoiriens pourrait ouvrir tous ces chantiers à la Tribune de l’Assemblée Générale des Nations unies à New-York.
C’est la raison pour laquelle il est nécessaire d’indiquer les motifs pour lesquels le candidat Laurent Gbagbo apparaît comme étant une chance pour la Côte d’Ivoire. Ces motifs tiennent aussi bien par ses qualités personnelles que par son action depuis son accession à la fonction suprême de Président de la République de Côte d’Ivoire.
Un courageux démocrate, opposant politique historique
Monsieur Laurent Gbagbo est incontestablement celui qui, avec un rare courage, a révolutionné puis modernisé la vie politique ivoirienne en initiant au péril de sa carrière le premier parti d’opposition dans un contexte particulièrement difficile, voire hostile. Il a fallu la pression du sommet franco-africain de la Baule sous le premier septennat de Monsieur François MITTERAND pour légitimer le multipartisme qui est un signe de modernité dans la vie d’un Etat démocratique. Monsieur Laurent Gbagbo est à cet égard le démocrate qui conteste la pensée unique et qui croit en l’émergence d’une force d’opposition. C’est donc logiquement qu’il a été amené à inaugurer la première alternance politique que la Côte d’Ivoire ait connue après sa brillante victoire aux élections présidentielles, félicitée, saluée et validée par la communauté internationale.
La mise en place d’un statut d’ancien Président de la République.
La mise en place en Côte d’Ivoire d’un statut d’ancien Président de la République est une innovation. Elle est le résultat d’un processus voulu et initié par Monsieur Laurent GBAGBO qui désirait d’une part accorder une reconnaissance nationale à tous ses prédécesseurs, et d’autre part leur accorder des moyens nécessaires et des facilités en raison des services éminents rendus à la cause du pays. Ce statut s’inscrit dans un processus de modernisation de la vie politique et celle des institutions de la Côte d’Ivoire. Une telle mesure protège la dignité de la fonction.
La Constitution, l’arbitre du pays
Lorsque la République et la Nation furent attaquées et que les institutions démocratiques furent menacées, le Président de la République Laurent Gbagbo alors en visite officielle en Italie, n’a pas demandé de l’aide à Paris ou à Rome. Il n’a pas choisi le chemin de l’exil. Il est rentré directement en Côte d’Ivoire pour s’adresser à la Nation et redresser la situation. Il est resté avec le Peuple dans les jours les plus sombres. A son retour, il n’a pas joué un rôle passif. Bien au contraire, il s’est montré capable d’une grande vitalité politique.
Président de la République, Chef de l’Etat détenteur du Pouvoir Exécutif, chef des Armées et garant des Institutions, Monsieur Laurent Gbagbo a protégé la Nation à l’aide de la Loi Fondamentale en considérant à juste titre la Constitution comme l’arbitre du pays.
Sa valeur, sa solidité et sa détermination se sont confirmées tout au long de la crise.
Le dialogue direct, un succès politique.
Depuis l’avènement de la crise ivoirienne, Monsieur Laurent Gbagbo s’est attelé à une recherche constante de la paix en liaison avec tous les acteurs concernés. De toutes les solutions envisagées, le concept de “dialogue direct” initié par le Président Gbagbo, demeure un succès politique indéniable, important et efficace puisqu’il permet que le pays soit gouverné durablement et sans tensions.
Ce concept fait de lui un homme d’union et de conciliation capable d’assurer l’unité du pays à laquelle tous les Ivoiriens aspirent.
Outre son immense taux de popularité et sa longue expérience inégalée au sommet de l’Etat, il demeure un homme mûri des affaires de l’Etat et qui saura jouer le rôle d’arbitre lorsque les circonstances l’exigeront.
Ce sont là pour l’essentiel, les raisons impérieuses qui détermineront les Ivoiriennes et les Ivoiriens à renouveler leur confiance au Président Laurent Gbagbo en lui octroyant une nouvelle légitimité.
Faire le choix du Président Gbagbo, c’est choisir un avenir de progrès et de réformes nécessaires. Avec lui, la Nation ne reculera pas, elle avancera.
Il faut l’élire car si demain la défense nationale était en jeu, la Nation pourrait compter sur lui.
Pr. Claude BIOT
Président du mouvement Europe-Afrique pour le développement
de la coopération – Paris
E-mail : cbiot@wanadoo.fr