Alfred Dan Moussa, président international de l'Union internationale de la presse francophone (Upf) a expliqué les enjeux de la 41e assise de son union au cours d'une conférence de presse, le mardi 13 octobre 2009.
“La 41e assise de l'Union internationale de la presse francophone (Upf) est forcément une très bonne tribune pour la Côte d'Ivoire, en vue d’expliquer les dernières étapes du processus de sortie de crise. Occasion pour elle de prendre la parole (…) dans le but de s'adresser au monde entier à travers les médias francophones à un moment où l'écoute de la Côte d'Ivoire ne pourra qu'être attentive". C'est sous cette vision qu'Alfred Dan Moussa, président international de l'Union internationale de la presse francophone (Upf), place la 41e assise de cette Union qui se déroulera du 15 au 22 novembre 2009 à Yaoundé, au Cameroun. Il a tenu ces propos au cours d'une conférence de presse qu'il a animée le mardi 13 octobre au siège d'une rédaction de la place.
Selon Dan Moussa, cette rencontre est un rendez-vous capital pour la Côte d'Ivoire dans la mesure où, il s'agira pour elle, de se repositionner à la tête de l'Upf à un moment où le pays entame les dernières étapes importantes de la sortie de crise. Il a donc lancé un appel aux autorités ivoiriennes et à l'ensemble de la famille de la presse nationale à participer massivement à ce grand rassemblement de la presse francophone, surtout que la Côte d'Ivoire est co-organisatrice de cette activité avec le Cameroun. Par la même occasion, le président de l'Upf s'est épanché sur le thème de cette assise à savoir : "Ethique et déontologie à l'heure de l'Internet : liberté et responsabilité du journaliste en ligne". D’après Dan Moussa, cette préoccupation est d'actualité et mérite qu'on marque une pause afin de comprendre les enjeux que nous offrent les Technologies de l'information et de la communication. Peut-on concilier rapidité de mise en ligne et déontologie ? Peut-il y avoir sur l'Internet liberté sans responsabilité ? Peut-on associer le public à la responsabilité des journalistes ? Peut-on sanctionner et à qui revient-il de juger ? Doit-il y avoir une formation spécifique des journalistes en ligne ? L'Internet sonne-t-il la fin des médias indépendants ou est-il l'espoir de développement équilibré ? Ce sont là autant d'interrogations qui enrichiront à coup sûr les débats au cours de la 41e Assise de l'Upf à Yaoundé au Cameroun.
Roger Kassé
“La 41e assise de l'Union internationale de la presse francophone (Upf) est forcément une très bonne tribune pour la Côte d'Ivoire, en vue d’expliquer les dernières étapes du processus de sortie de crise. Occasion pour elle de prendre la parole (…) dans le but de s'adresser au monde entier à travers les médias francophones à un moment où l'écoute de la Côte d'Ivoire ne pourra qu'être attentive". C'est sous cette vision qu'Alfred Dan Moussa, président international de l'Union internationale de la presse francophone (Upf), place la 41e assise de cette Union qui se déroulera du 15 au 22 novembre 2009 à Yaoundé, au Cameroun. Il a tenu ces propos au cours d'une conférence de presse qu'il a animée le mardi 13 octobre au siège d'une rédaction de la place.
Selon Dan Moussa, cette rencontre est un rendez-vous capital pour la Côte d'Ivoire dans la mesure où, il s'agira pour elle, de se repositionner à la tête de l'Upf à un moment où le pays entame les dernières étapes importantes de la sortie de crise. Il a donc lancé un appel aux autorités ivoiriennes et à l'ensemble de la famille de la presse nationale à participer massivement à ce grand rassemblement de la presse francophone, surtout que la Côte d'Ivoire est co-organisatrice de cette activité avec le Cameroun. Par la même occasion, le président de l'Upf s'est épanché sur le thème de cette assise à savoir : "Ethique et déontologie à l'heure de l'Internet : liberté et responsabilité du journaliste en ligne". D’après Dan Moussa, cette préoccupation est d'actualité et mérite qu'on marque une pause afin de comprendre les enjeux que nous offrent les Technologies de l'information et de la communication. Peut-on concilier rapidité de mise en ligne et déontologie ? Peut-il y avoir sur l'Internet liberté sans responsabilité ? Peut-on associer le public à la responsabilité des journalistes ? Peut-on sanctionner et à qui revient-il de juger ? Doit-il y avoir une formation spécifique des journalistes en ligne ? L'Internet sonne-t-il la fin des médias indépendants ou est-il l'espoir de développement équilibré ? Ce sont là autant d'interrogations qui enrichiront à coup sûr les débats au cours de la 41e Assise de l'Upf à Yaoundé au Cameroun.
Roger Kassé
