Une campagne de dépistage de la cataracte chez les enfants en âge scolaire, a été organisée hier, dans la commune de Cocody, par les partenaires de la santé publique.
Un plateau sanitaire ambulant s'est rendu hier mardi 13 octobre, à l'école primaire de Blokhauss, commune de Cocody (Inspection primaire de Cocody II), pour une consultation foraine de deux jours des enfants de ladite inspection. Dans ses propos liminaires, le représentant de Mme Brou Tano Adjoba Marie, représentante résidente de l'Ong Helen Keller international en Côte d'Ivoire, a indiqué que 18 % des enfants en âge scolaire souffrent d'une malvoyance par amétropie. La cécité et les malvoyances, a-t-il ajouté, constituent aujourd'hui une tragédie silencieuse. Il a aussi précisé que le plus grand nombre de ces handicapés visuels vivent dans les pays en voie de développement. Mais, 80 % de ces handicapés, a-t-il insisté, le sont à la suite des causes qui auraient pu être évitées. Pour lui, de part leur prévalence, la réponse au problème de la cécité et des malvoyances est un problème de santé publique. Celui-ci a fait un rappel soutenu, de l'élaboration et la validation du plan national de lutte contre la cécité dans l'optique du " plan vision 2020, le droit à la vue ", qui consiste à réduire à 10 % les cécités et les malvoyances à travers la mise en place du programme national de lutte contre la cécité. L'Ong se fait fort de rappeler au gouvernement et aux partenaires, les engagements pris pour rendre ce programme opérationnel. Quant à M. Serge Philippe Bailly, administrateur et Directeur général d'une grande banque de la place et partenaire pour la lutte contre la cécité en Côte d'Ivoire, a révélé que ce programme a été essentiellement piloté par les employés de sa structure qui ont assuré, la mobilisation de ressources nécessaires aux soins des personnes souffrant des problèmes visuels. Cette institution bancaire a initié en 2003, un projet dénommé " Seeing is believing ", c'est-à-dire, " voir, c'est croire ", qui est une initiative communautaire mondiale. M. Serge Bailly a soutenu que sa structure a été le parrain de plusieurs Ong dans les pays en voie de développement et a redonné par ce biais, la vue à plus d'un million de personnes.
Jean-Baptiste Essis
Jbessis06525881@gmail.com
Un plateau sanitaire ambulant s'est rendu hier mardi 13 octobre, à l'école primaire de Blokhauss, commune de Cocody (Inspection primaire de Cocody II), pour une consultation foraine de deux jours des enfants de ladite inspection. Dans ses propos liminaires, le représentant de Mme Brou Tano Adjoba Marie, représentante résidente de l'Ong Helen Keller international en Côte d'Ivoire, a indiqué que 18 % des enfants en âge scolaire souffrent d'une malvoyance par amétropie. La cécité et les malvoyances, a-t-il ajouté, constituent aujourd'hui une tragédie silencieuse. Il a aussi précisé que le plus grand nombre de ces handicapés visuels vivent dans les pays en voie de développement. Mais, 80 % de ces handicapés, a-t-il insisté, le sont à la suite des causes qui auraient pu être évitées. Pour lui, de part leur prévalence, la réponse au problème de la cécité et des malvoyances est un problème de santé publique. Celui-ci a fait un rappel soutenu, de l'élaboration et la validation du plan national de lutte contre la cécité dans l'optique du " plan vision 2020, le droit à la vue ", qui consiste à réduire à 10 % les cécités et les malvoyances à travers la mise en place du programme national de lutte contre la cécité. L'Ong se fait fort de rappeler au gouvernement et aux partenaires, les engagements pris pour rendre ce programme opérationnel. Quant à M. Serge Philippe Bailly, administrateur et Directeur général d'une grande banque de la place et partenaire pour la lutte contre la cécité en Côte d'Ivoire, a révélé que ce programme a été essentiellement piloté par les employés de sa structure qui ont assuré, la mobilisation de ressources nécessaires aux soins des personnes souffrant des problèmes visuels. Cette institution bancaire a initié en 2003, un projet dénommé " Seeing is believing ", c'est-à-dire, " voir, c'est croire ", qui est une initiative communautaire mondiale. M. Serge Bailly a soutenu que sa structure a été le parrain de plusieurs Ong dans les pays en voie de développement et a redonné par ce biais, la vue à plus d'un million de personnes.
Jean-Baptiste Essis
Jbessis06525881@gmail.com