Qui de Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara aime ce pays. La réponse, à notre sens, coule de source.
Les états-majors des partis politiques engagés dans la course au pouvoir sont au labo pour tailler une posture loin des dimensions réelles de leurs candidats. Dans ce genre de pratique, le Rdr et son président Dramane Ouattara semblent s'ériger en maîtres. Hier, à la Une de Le Patriote, le quotidien des "républicains" barrait à sa "une" "Gbagbo n'aime pas la Côte d'Ivoire". Entre Ouattara Dramane et Laurent Gbagbo qui a l'amour de son pays ? Le Rdr et ses troubadours croient qu'on a changé de pays et que les Ivoiriens pour avoir souffert des affres d'une guerre à eux imposée par la France et ses collabos dont Ouattara, sont devenus du coup amnésiques, au point d'oublier l'histoire récente de leur pays et leur propre histoire. Cette sortie du confrère est une réplique aux propos du candidat Laurent Gbagbo qui expliquait sa candidature par l'amour pour ses compatriotes et pour la Côte d'Ivoire. Pour étayer sa "vérité", le confrère évoque un certain nombre de faits qu'il impute à l'actuel chef de l'Etat. Pour le journal officiel de Ouattara, “Laurent Gbagbo a fait couler le sang des Ivoiriens sans aucun remords”. De plus, le confrère accuse le candidat des Ivoiriens Laurent Gbagbo, de refuser d'être le président de tous les Ivoiriens lorsque la guerre a éclaté en Côte d'Ivoire. Le ridicule, on impute la mort de nombreux Ivoiriens dans les zones tenues par l'ex-rébellion au président Gbagbo. Selon toujours le confrère, la nomination du Dr Malick Coulibaly en qualité de directeur national de campagne répond aux soucis d'attendrir les originaires du Nord. Si la campagne est la période où tout est permis, il y a des genres de discours qu'on ne tient pas parce que "tronqués". Dire que le Président Gbagbo n'a pas l'amour de son pays et que cela sorte des "entrailles" des porte-voix de Ouattara, appelle à une réflexion. Rappelons au confrère et à tous ceux qui pensent ainsi que de tous les hommes politiques en Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo est le seul qui porte l'amour de son pays comme une croix. Comparons ! Les populations éburnéennes ont encore en mémoire les propos incendiaires tenus par Ouattara. "Je vais mélanger ce pays si on refuse que je sois candidat". Là où l'opposant Laurent Gbagbo proposait face à la dictature politique du Pdci, son slogan naturel "asseyons-nous et discutons". On sait désormais où les propos de Ouattara ont conduit la Côte d'Ivoire en 2002. Quand le Président Laurent Gbagbo parcourait les capitales africaines et européennes à la recherche de la paix pour son pays, Ouattara a trouvé indispensable la guerre qui a endeuillé "son peuple". Pour le bonheur de ses compatriotes, Laurent Gbagbo a consenti certains sacrifices dont l'utilisation de l'article 35 pour que Ouattara soit candidat, synonyme de paix pour son pays. Les enseignants ont encore en mémoire la discrimination salariale instaurée par le Premier ministre d'Houphouët-Boigny. Injustice réparée par Laurent Gbagbo une fois au pouvoir avec le décrochage des enseignants. Le Premier ministre Alassane Dramane Ouattara a sacrifié la vie de nombreux employés ivoiriens en bradant certaines sociétés d'Etat comme l'Eeci devenue Cie, la Sodeci aux mains de ses amis français à un franc symbolique. Aujourd'hui, l'électricité et l'eau, deux denrées primordiales pour les Ivoiriens sont devenues très coûteuses. Arrêtons-nous sur ces quelques faits pour dire que Laurent Gbagbo aime plus son pays que Ouattara qui lui, est porteur des malheurs des Ivoiriens. Arrêtons de distraire les populations avec ces genres d'affabulations. Les Ivoiriens savent bien qui est le "kouglizia" de ce pays, c'est-à-dire l'oiseau de mauvais augure.
Zéré de Mahi
Les états-majors des partis politiques engagés dans la course au pouvoir sont au labo pour tailler une posture loin des dimensions réelles de leurs candidats. Dans ce genre de pratique, le Rdr et son président Dramane Ouattara semblent s'ériger en maîtres. Hier, à la Une de Le Patriote, le quotidien des "républicains" barrait à sa "une" "Gbagbo n'aime pas la Côte d'Ivoire". Entre Ouattara Dramane et Laurent Gbagbo qui a l'amour de son pays ? Le Rdr et ses troubadours croient qu'on a changé de pays et que les Ivoiriens pour avoir souffert des affres d'une guerre à eux imposée par la France et ses collabos dont Ouattara, sont devenus du coup amnésiques, au point d'oublier l'histoire récente de leur pays et leur propre histoire. Cette sortie du confrère est une réplique aux propos du candidat Laurent Gbagbo qui expliquait sa candidature par l'amour pour ses compatriotes et pour la Côte d'Ivoire. Pour étayer sa "vérité", le confrère évoque un certain nombre de faits qu'il impute à l'actuel chef de l'Etat. Pour le journal officiel de Ouattara, “Laurent Gbagbo a fait couler le sang des Ivoiriens sans aucun remords”. De plus, le confrère accuse le candidat des Ivoiriens Laurent Gbagbo, de refuser d'être le président de tous les Ivoiriens lorsque la guerre a éclaté en Côte d'Ivoire. Le ridicule, on impute la mort de nombreux Ivoiriens dans les zones tenues par l'ex-rébellion au président Gbagbo. Selon toujours le confrère, la nomination du Dr Malick Coulibaly en qualité de directeur national de campagne répond aux soucis d'attendrir les originaires du Nord. Si la campagne est la période où tout est permis, il y a des genres de discours qu'on ne tient pas parce que "tronqués". Dire que le Président Gbagbo n'a pas l'amour de son pays et que cela sorte des "entrailles" des porte-voix de Ouattara, appelle à une réflexion. Rappelons au confrère et à tous ceux qui pensent ainsi que de tous les hommes politiques en Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo est le seul qui porte l'amour de son pays comme une croix. Comparons ! Les populations éburnéennes ont encore en mémoire les propos incendiaires tenus par Ouattara. "Je vais mélanger ce pays si on refuse que je sois candidat". Là où l'opposant Laurent Gbagbo proposait face à la dictature politique du Pdci, son slogan naturel "asseyons-nous et discutons". On sait désormais où les propos de Ouattara ont conduit la Côte d'Ivoire en 2002. Quand le Président Laurent Gbagbo parcourait les capitales africaines et européennes à la recherche de la paix pour son pays, Ouattara a trouvé indispensable la guerre qui a endeuillé "son peuple". Pour le bonheur de ses compatriotes, Laurent Gbagbo a consenti certains sacrifices dont l'utilisation de l'article 35 pour que Ouattara soit candidat, synonyme de paix pour son pays. Les enseignants ont encore en mémoire la discrimination salariale instaurée par le Premier ministre d'Houphouët-Boigny. Injustice réparée par Laurent Gbagbo une fois au pouvoir avec le décrochage des enseignants. Le Premier ministre Alassane Dramane Ouattara a sacrifié la vie de nombreux employés ivoiriens en bradant certaines sociétés d'Etat comme l'Eeci devenue Cie, la Sodeci aux mains de ses amis français à un franc symbolique. Aujourd'hui, l'électricité et l'eau, deux denrées primordiales pour les Ivoiriens sont devenues très coûteuses. Arrêtons-nous sur ces quelques faits pour dire que Laurent Gbagbo aime plus son pays que Ouattara qui lui, est porteur des malheurs des Ivoiriens. Arrêtons de distraire les populations avec ces genres d'affabulations. Les Ivoiriens savent bien qui est le "kouglizia" de ce pays, c'est-à-dire l'oiseau de mauvais augure.
Zéré de Mahi