Nadège K. est une professionnelle du sexe exerçant au lieu-dit « Les rôniers », un autre antre de la prostitution à Yamoussoukro. Après une nuit de « travail » ardu et de beuverie, elle a tué sa fille, M`Ma, âgée de 5 mois. Sans même s`en rendre compte.
Selon les témoignages recueillis dans le quartier, c`est le lundi 19 octobre, aux environs de 15 heures que les riverains ont été alertés par les pleurs d`Inza, un jeune homme, se disant le père de l`enfant. Il portait dans ses bras un bébé, son enfant de 5 mois, sans vie. Qui, d`ailleurs, porte le nom de sa génitrice. Les faits se sont déroulés dans la nuit du 18 au19 octobre. Comme a son habitude, Nadège, la concubine d`Inza, s`habille et va racoler au quartier « Les rôniers ». C`est une jeune dame de 21 ans, qui ne manque jamais de client et qui ne rentre qu`au petit matin. Outre son « travail » qu`elle fait avec passion, Nadège a, selon nos sources, tellement de clients que ses congénères la jalousent. Malheureusement, elle est créditée aussi d`un très fort penchant pour l`alcool dont elle use en abondance.
Après avoir « travaillé » toute la nuit et ingurgité une force dose d`alcool de toutes sortes, Nadège rentre au petit matin dans la bicoque qu`elle habite avec son « mari » Inza. Elle est si fatiguée qu`elle s`affale auprès de son bébé à qui elle tend son sein. Au moment où la petite M`Ma se gave, sa mère plonge dans un profond sommeil éthylique. Entre temps, Inza qui gère un vidéoclub sort et va ouvrir son magasin. Quelques heures après, il revient dans sa chambrette et voit sa concubine couchée sur son bébé. Il la déplace et prends son bébé inanimé. Affolé, le jeune homme sort et appelle la mère de sa dulcinée qui habite non loin de là. Cette dernière accourt, prend l`enfant et essaie de la ranimer. Ses efforts sont vains. Car M`Ma était morte depuis longtemps. Immédiatement, elle informe sa petite communauté et l`on procède à l`enterrement du bébé. Quant à la mère, ivre et dans les bras de Morphée, elle n`émergera de l`«Ethylos » que très tardivement après que tout soit terminé. Ce qui ne l`a pas empêché de retourner au travail la nuit suivante, comme si rien ne s`était passé !
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
Selon les témoignages recueillis dans le quartier, c`est le lundi 19 octobre, aux environs de 15 heures que les riverains ont été alertés par les pleurs d`Inza, un jeune homme, se disant le père de l`enfant. Il portait dans ses bras un bébé, son enfant de 5 mois, sans vie. Qui, d`ailleurs, porte le nom de sa génitrice. Les faits se sont déroulés dans la nuit du 18 au19 octobre. Comme a son habitude, Nadège, la concubine d`Inza, s`habille et va racoler au quartier « Les rôniers ». C`est une jeune dame de 21 ans, qui ne manque jamais de client et qui ne rentre qu`au petit matin. Outre son « travail » qu`elle fait avec passion, Nadège a, selon nos sources, tellement de clients que ses congénères la jalousent. Malheureusement, elle est créditée aussi d`un très fort penchant pour l`alcool dont elle use en abondance.
Après avoir « travaillé » toute la nuit et ingurgité une force dose d`alcool de toutes sortes, Nadège rentre au petit matin dans la bicoque qu`elle habite avec son « mari » Inza. Elle est si fatiguée qu`elle s`affale auprès de son bébé à qui elle tend son sein. Au moment où la petite M`Ma se gave, sa mère plonge dans un profond sommeil éthylique. Entre temps, Inza qui gère un vidéoclub sort et va ouvrir son magasin. Quelques heures après, il revient dans sa chambrette et voit sa concubine couchée sur son bébé. Il la déplace et prends son bébé inanimé. Affolé, le jeune homme sort et appelle la mère de sa dulcinée qui habite non loin de là. Cette dernière accourt, prend l`enfant et essaie de la ranimer. Ses efforts sont vains. Car M`Ma était morte depuis longtemps. Immédiatement, elle informe sa petite communauté et l`on procède à l`enterrement du bébé. Quant à la mère, ivre et dans les bras de Morphée, elle n`émergera de l`«Ethylos » que très tardivement après que tout soit terminé. Ce qui ne l`a pas empêché de retourner au travail la nuit suivante, comme si rien ne s`était passé !
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
