L’amélioration de la représentativité des femmes dans les instances nationales de prise de décision préoccupe le Centre Féminin pour la Démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire. A cet effet, avant les joutes électorales, cette association féminine de promotion de la démocratie et des droits humains, particulièrement ceux de la femme, plaide pour le respect « stricto sensu de la déclaration solennelle ».
Malgré le fait que les femmes en Côte d’Ivoire représentent plus de 50 % de l’électorat, elles demeurent sous représentées dans les instances décisionnelles. Six (6) femmes sont des leaders de partis politiques, neuf (9) sont maires sur 200 soit 4,5 %, une seule est présidente de Conseil Général sur 59 conseillers généraux soit 0,01 % et 19 députés sur 223 soit 8,5 %. Pour porter à la hausse la représentativité féminine, le Cefci mobilise les décideurs. A la faveur d’un point de presse tenu à son siège le jeudi 29 octobre 2009, sa présidente Mme Nathalie Traoré a lancé un appel aux différents leaders des partis politiques pour positionner les femmes. Et ce, pour amener les institutions publiques et privées vers l’application d’un quota d’au moins 30 % de la participation des femmes ivoiriennes dans la gestion des affaires publiques et politiques. Notamment lors des échéances électorales en vue de la parité du Genre. « Le Cefci apprécie à sa juste valeur la déclaration solennelle de la Côte d’Ivoire sur l’égalité des chances, l’équité et le Genre signée en février 2007 par le président de la République SEM Laurent Gbagbo. Tout en le remerciant et le félicitant pour son engagement en faveur de la cause des femmes, le Cefci demande la signature d’une ordonnance modifiant et complétant le code électoral afin que les partis politiques proposent au moins 30 % de femmes sur les listes aux mandats électoraux futurs », a-t-elle déclaré. Le Cefci, par la voix de Mme Traoré se réjouit du taux de femmes enrôlées évalué à 50,08 %. Un taux qui se veut le fruit des activités de plaidoyer menées en faveur des femmes par sa structure grâce à l’appui du NED.
M.T.T
Malgré le fait que les femmes en Côte d’Ivoire représentent plus de 50 % de l’électorat, elles demeurent sous représentées dans les instances décisionnelles. Six (6) femmes sont des leaders de partis politiques, neuf (9) sont maires sur 200 soit 4,5 %, une seule est présidente de Conseil Général sur 59 conseillers généraux soit 0,01 % et 19 députés sur 223 soit 8,5 %. Pour porter à la hausse la représentativité féminine, le Cefci mobilise les décideurs. A la faveur d’un point de presse tenu à son siège le jeudi 29 octobre 2009, sa présidente Mme Nathalie Traoré a lancé un appel aux différents leaders des partis politiques pour positionner les femmes. Et ce, pour amener les institutions publiques et privées vers l’application d’un quota d’au moins 30 % de la participation des femmes ivoiriennes dans la gestion des affaires publiques et politiques. Notamment lors des échéances électorales en vue de la parité du Genre. « Le Cefci apprécie à sa juste valeur la déclaration solennelle de la Côte d’Ivoire sur l’égalité des chances, l’équité et le Genre signée en février 2007 par le président de la République SEM Laurent Gbagbo. Tout en le remerciant et le félicitant pour son engagement en faveur de la cause des femmes, le Cefci demande la signature d’une ordonnance modifiant et complétant le code électoral afin que les partis politiques proposent au moins 30 % de femmes sur les listes aux mandats électoraux futurs », a-t-elle déclaré. Le Cefci, par la voix de Mme Traoré se réjouit du taux de femmes enrôlées évalué à 50,08 %. Un taux qui se veut le fruit des activités de plaidoyer menées en faveur des femmes par sa structure grâce à l’appui du NED.
M.T.T
