Elles sont de plus en plus nombreuses en Côte d’Ivoire, mais créer une Institution de Microfinance (IMF), désormais appelé Systèmes Financiers Décentralisés (SFD) relève d’un véritable parcours de combattant.
La législation en vigueur dans ce secteur d’activités permet de distinguer deux grandes catégories de SFD. D’abord celles constituées sous forme d’Institutions mutualistes ou de Coopératives d’épargne et de crédits, et ensuite celles existant sous des formes juridiques de droit commun (à l’exemple des Sociétés Anonymes) et qui sont régies par la signature d’une convention cadre avec le Ministère de l’Economie et des Finances, le ministère de tutelle. La première question que tout investisseur devra se poser avant d’installer sa structure de microfinance est de savoir s’il opérera en tant que mutuelle ou coopérative, donc il devra obtenir l’agrément de la tutelle, ou encore s’il interviendra sous forme de Société Anonyme, qui nécessite la signature d’une convention cadre toujours avec le même ministère de tutelle s’imposera à lui.
La législation en vigueur dans ce secteur d’activités permet de distinguer deux grandes catégories de SFD. D’abord celles constituées sous forme d’Institutions mutualistes ou de Coopératives d’épargne et de crédits, et ensuite celles existant sous des formes juridiques de droit commun (à l’exemple des Sociétés Anonymes) et qui sont régies par la signature d’une convention cadre avec le Ministère de l’Economie et des Finances, le ministère de tutelle. La première question que tout investisseur devra se poser avant d’installer sa structure de microfinance est de savoir s’il opérera en tant que mutuelle ou coopérative, donc il devra obtenir l’agrément de la tutelle, ou encore s’il interviendra sous forme de Société Anonyme, qui nécessite la signature d’une convention cadre toujours avec le même ministère de tutelle s’imposera à lui.